•  

    Les Illuminati

     

    Présentation générale: 

    C'est un ensemble de personnes qui ont un objectif commun et qui possèdent un certain nombre de connaissances qu'elles cachent au grand public afin de maintenir leur supériorité sur ce dernier et l'amener à adopter la conduite qu'elles veulent le voir adopter. Parce qu'elles savent, ces personnes s'appellent les Illuminati (les éclairés, ceux qui savent). Les Illuminati ne désirent pas que quiconque puisse avoir le droit de tout savoir. 

    Ils ont existé sous diverses formes durant des siècles (ceux qui voulaient le pouvoir grâce à leurs connaissances et en maintenant les masses dans l'ignorance); mais il ne faut pas croire que les ères d'obscurantisme ont disparu: la connaissance circule effectivement librement aujourd'hui, et chacun est libre d'apprendre ce qu'il veut, mais cette liberté est contenue dans le cadre de la connaissance qui est "contrôlée et estampillée" par les services officiels de l'éducation, et les tenants en titre du savoir officiellement reconnu (scientifiques, historiens, sociologues, économistes, etc réputés). Or, il y a tout lieu de croire qu'une vaste quantité de connaissances reste à être découvertes et surtout qu'un petit nombre de personnes en détiennent déjà quelques unes d'importance majeure, mais ne les dévoilent pas (contrôle énergétique: voir les machines à énergie libre (energie.php) , contrôle économique: voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruits(armesil.php) et contrôle technologique : voir le gouvernement secret). 

    Ces personnes ne sont pas de simples particuliers, mais des responsables de multinationales, de banques, de trusts mondiaux, de hauts responsables politiques,...qui ont de par leur situation la possibilité de contrôler et d'utiliser les connaissances dans les domaines les plus sensibles, et ceci dans un but bien particulier: une restructuration complète du fonctionnement du monde à travers l'acceptation commune des pays du globe de laisser s'instaurer un gouvernement mondial. Ce peut être une noble idéologie ou bien un de ces "chemins pavés de bonnes intentions et qui mènent vers l'enfer", mais tant que leurs agissements restent volontairement cachés du grand public, quelles qu'en soient les raisons, nous serons nombreux à essayer au contraire d'informer les gens, à eux de décider du bien et du mal pour eux-mêmes, et non à d'autres. 

    Plan des Illuminati: 

    Leurs objectifs actuels ont été élaborés en 1773 : préparer la voie pour leur Gouvernement Mondial unique jusqu'à environ l'an 2000 au moyen de trois guerres mondiales. Cet objectif est connu depuis le 19ème siècle et a été exécuté (la troisième guerre mondiale est en cours depuis les années 1950: c'est la guerre économique [ voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit ]). Ce plan de longue haleine a été poursuivi depuis 2 siècles par des personnes différentes, grâce au soutien économique de riches et puissantes familles. Des adeptes de l'idéologie ont été recrutés au cours du temps grâce à des sociétés secrètes oeuvrant dans les hautes sphères économiques et politiques et c'est avec grande ingéniosité et patience qu'aujourd'hui la grande majorité des classes dirigeantes influentes et des trusts économiques font partie des adeptes de leur grande idée. Ils ont maintenant les moyens de réaliser leurs ambitions qui sont d'envergure mondiale, comme nous le voyons à travers les documents sur le Groupe Bilderberg, la commission Trilatérale et le CFR. 

    Petit historique: 

    Les Illuminati: 

    C'est au 14ème siècle que surgirent pour la première fois les Illuminati, en Allemagne. Ils étaient les plus grands "initiés" d'une société secrète appelée la Confrérie du Serpent (le mot biblique originel pour serpent, nahash, découle de la racine nhsh qui signifie déchiffrer, découvrir et illuminati provient de illuminare qui signifie illuminer, connaître, savoir, en latin). L'histoire du moyen-âge regorge de ce genre de sociétés secrètes réunissant certaines personnes ayant des buts idéologiques particuliers at sachant recruter ses membres parmi les riches et influents afin d'essayer d'accroître son impact et ses idées. Citons à titre d'exemple une très célèbre société secrète chrétienne qui a été tellement puissante et riche que même le roi de France les a craint en tant que principal débiteur (ils étaient plus riche que lui et possédaient de nombreux châteaux à travers le pays indépendants du régime de France et donc du roi) et les a exterminés: les Templiers. 

    Les Sages de Sion: 

    Une organisation secrète très influente exerçait un contrôle sur l'Angleterre. Les riches rabbins juifs de l'époque, qui étaient les dirigeants politiques et religieux du peuple juif anéanti unirent leur force dans un groupe connu sous le nom de Sages de Sion. Ils intriguèrent beaucoup et projetèrent la révolution anglaise en Hollande de 1640 à 1689. En prêtant de l'argent à qui il fallait et en soutenant et aidant un duc Allemand appelé Guillaume II , ils obtinrent la redevabilité du roi Guillaume III d'Angleterre, fils de Guillaume II, qu'ils avaient aidé à monter au pouvoir en renversant les Stuart du trône d'Angleterre (que d'intrigues!). En échange ce dernier persuada le Trésor Britannique d'emprunter de l'argent aux banquiers juifs affiliés aux Sages de Sion, et la dette de l'état augmentant très vite, ce dernier dut acquiescer aux conditions exigées qui permirent l'instauration de la première banque centrale privée: la Banque d'Angleterre. 

    Les Rothschild: 

    La maison Rothschild est un centre important dans l'affairisme bancaire international. Leur fortune originelle provient d'habiles transactions financières de Mayer Amschel, qui avait acheté une banque à Francfort en 1750, à la suite desquelles débuta pour eux le commerce bancaire international. Chacun des fils de Mayerouvrit une banque dans un pays différent: à Berlin, Vienne, Paris et Naples. Mayer écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée par l'avenir et il indiquait que les comptes devaient rester secrets, en particulier pour le gouvernement (et l'histoire montre que les Rothschild sont un des empires bancaires actuels les plus importants du monde). En 1773, Mayer Amschel Rothschild aurait rencontré les Sages de Sion à Francfort pour mettre à l'étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale. Ils soulignèrent le fait que la fondation de la Banque d'Angleterre avait permis d'exercer une influence considérable sur la fortune anglaise et déclarèrent aussi qu'il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu'ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale. Ils en retinrent les grandes lignes par écrit et ce plan aurait fini par être connu sous le nom de des Sages de Sion. L'origine de ce protocole remonte en fait à des siècles en arrière et ils auraient été remaniés par Rothschild avant d'acquérir leur vraie signification. C'est aussi Mayer Amschel qui aurait fondé les plans pour fonder la société secrète des "Illuminés de Bavière" et désigné son créateur, Adam Weishaupt, société qui va prendre une tournure importante et rassemblera de nombreux Illuminati. Les buts des illuminati incarnés par la société secrète des "Illuminés de Bavière" sont exposés dans le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruit. On associe souvent les Illuminati comme étant les" Illuminés de Bavière", mais bien que les Illuminati soient en fait plus anciens, cette assimilation est sans importance car ce qui compte, c'est ce qu'ils veulent faire; se perdre dans des détails historiques étant en fait sans importance. 

    Les Illuminati de Bavière: 

    Les "Illuminés de Bavière"étaient organisée en cercles concentriques et dès qu'un initié prouvait sa faculté de garder un secret, il était admis dans un cercle plus restreint et lié à des secrets encore plus profonds. Seuls ceux qui se trouvaient dans le plus petit cercle connaissaient les vrais buts des "Illuminés de Bavière". Ils étaient divisée en 13 grades symbolisés par les 13 marches de la pyramide représentée sur le billet d'un dollar américain. 

    Le fondateur de la société s'y entendait pour attirer dans son ordre les esprits les meilleurs et les plus éclairés qu'il choisissait dans la haute finance, l'industrie, l'éducation et la littérature. Il utilisait la corruption par l'argent et le sexe pour contrôler les personnes haut placées et il les faisait chanter pour être sûr de les garder sous son contrôle. Les illuminés de Bavière se mirent à conseiller des gens du gouvernement en se servant des adeptes aux grades supérieurs. Ces spécialistes s'y entendaient pour donner aux politiciens en place les conseils pour qu'ils adoptent une certaine forme de politique qui correspondait à leurs visées. 

    En 1777, Weishaupt fut initié à la loge franc-maçonnique de Munich qu'il eut tôt fait d'infiltrer. En 1782 l'alliance entre les francs-maçons et les "Illuminés de Bavière" fut scellée à Wilhelmsbad. En contrôlant les "Illuminés de Bavière", les Rothschild exerçaient maintenant une influence directe sur d'autres loges secrètes importantes. Des documents montrent qu'ils ont manipulé les idées et qu'ils ont été des initiateurs de la révolution française entre autres. 

    La conquête des USA: 

    Les États-Unis ont eu leur déclaration d'indépendance signée en 1776. Ce pays en création était pour les Rothschild l'occasion de créer de vastes et puissants nouveaux réseaux bancaires. Benjamin Franklin et Thomas Jefferson étaient opposés à l'idée d'une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de Benjamin Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent Alexander Hamilton au poste de ministre des Finances. Celui-ci créa la First National Bank of the United States, la première banque centrale américaine. Elle était structurée comme la Banque d'Angleterre et contrôlée par les Rothschild. Après moult endettements des USA envers cette banque, elle est devenue la Federal Reserve Bank et aujourd'hui la banque centrale américaine. Lors de la guerre de sécession, la banque Rothschild de Londres finança les États du Nord, celle de Paris, les États du Nord. Résultat: les Rothschild vainqueurs et les américains du sud et du nord vaincus. 
    A travers leur influence par la franc-maçonnerie dont 1/3 des présidents américains ont fait partie et qui sont largement représentés au Sénat et au Congrès américains (Le sceau américain, la pyramide à l'œil qui voit tout, les armoiries de l'État au verso du sceau, le phénix ainsi que la bannière d'origine avec les 13 étoiles et les 13 rayures sont d'anciens et importants symboles francs-maçonniques; de plus sur ce même billet de un dollar il est écrit sur la pyramide: Novus Ordo Seclorum ce qui en latin signifie: Le Nouvel Ordre des Siècles, que nous pourrions réactualiser en: Le Nouvel Ordre Mondial), les Rothschild ont pu avoir les appuis nécessaires à l'édification de leur fortune et de leur contrôle aux USA. Ceci permet d'expliquer pourquoi c'est ce pays qui est "choisi" par le gouvernement mondial comme "base" stratégique. 

    Plan pour des guerres mondiales: 

    Dans une lettre du 15 août 1871, un plan décrivant la "conquête" du monde par trois guerres mondiales pour ériger le Nouvel Ordre Mondial est décrit, que l'on peut résumer ainsi: 

    La Première Guerre Mondiale devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. A la suite de quoi la Russie pourrait être utilisée comme la bête noire qui servirait les desseins des Illuminés de Bavière à l'échelle mondiale. 

    La Deuxième Guerre Mondiale serait créée de toute pièces en manipulant les divergences d'opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d'influence et entraînerait la création d'un État d'Israël en Palestine. 

    La plan de la Troisième Guerre Mondiale serait basé sur les divergences d'opinions que les Illuminés auraient créées entre les sionistes et les Arabes. On programmerait une extension du conflit à l'échelle mondiale. Une partie de la troisième guerre mondiale consisterait à confronter nihilistes et athées pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d'une brutalité et d'une bestialité jamais vues. 

    On peut évidemment se dire que ces plans peuvent avoir été remaniés et repensé, améliorés au vu de nouveaux facteurs (voir Armes silencieuses pour des guerres sans bruit armesil.php), mais on voit là les grands traits de leurs idées: manipuler la politique à travers des individus bien particuliers, et de larges puissances économiques qui ont le choix de financer ou non les politiques qui sont conformes à leurs idées, décidant ainsi des vainqueurs dans les conflits, souvent après les avoir faits provoqués par manipulation politique et financière dans ce but.


  •  

     

    Petit listing des projets U.S.

     
    MOONSTRUCK, 1952, CIA:

    Implants électroniques dans les dents et le cerveau, ciblage : longue distance
    Implantation pendant une opération chirurgicale ou une " abduction ".Fréquences d'utilisation : HF - ELF (fréquences extrêmement basses) implants transmetteursButs recherchés : Tracking, contrôle de l'esprit et de l'attitude, conditionnement, programmation, Base fonctionnelle : Stimulation électronique du cerveau, E.S.B.
     
     


    MK-ULTRA, 1953, " Project Artichoke " ( Projet artichaut ) CIA:

    Drogues et électroniqueciblage : courte distanceFréquences d'utilisation : VHF (fréquences très hautes) HF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes) modulées en ELF (fréquences extrêmement basses).Transmission et Réception : production localeButs recherchés : programmation des comportements, création de mentalités " cyborg "Effets: transe narcoleptique, programmation par suggestion Sous Projets : multiples. Base fonctionnelle : Dissolution électronique de la mémoire, E.D.O.M.


    ORION, 1958, " Dreamland " (" Pays du rêve "), U.S.A.F:

    Drogues et hypnoseciblage : à courte distance, sur l'individuFréquences d'utilisation : ELF (fréquences extrêmement basses) modulées.Transmission et Réception : Radar, micro-ondes, modulées en fréquences ELF (fréquences extrêmement basses) Buts recherchés : " débriefing " de personnel " Top sécurité ", programmation, assurer la sécurité et la loyauté.


    MK-DELTA, 1960, "Deep Sleep", (" profond sommeil ") R.H.I.C, CIA:

    programmation subliminale électromagnétique à syntonisation fineCiblage : Longue distanceFréquences d'utilisation : VHF (fréquences très hautes) HF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes) modulées en ELF (fréquences extrêmement basses)Transmission et Réception : antennes de télévision , antennes de radio, lignes de puissance, ressorts de matelas en spirale, modulation en 60 Hz filaire.Buts recherchés : programmation des comportements et d'attitudes de la population de façon généraleEffets : fatigue, mouvements d'humeurs, dysfonctionnements de comportements, criminalité sociale, phases alternatives d'euphorie/dépression.


    PHOENIX ,PHOENIX II, 1983, " Rainbow ", (" Arc-en-ciel ") - ZAP U.S.A.F, NSA:

    Localisation: Montauk, Long Island
    Ciblage multidirectionnel électronique de groupes de populations sélectionnées.Ciblage : Moyenne distanceFréquences d'utilisation : Radar, micro-ondes. EHF UHF moduléesPuissance : estimée en Gigawatts ou même TerawattsButs recherchés : chargements de grilles magnétiques telluriques, création de tremblements de terres sur des points particuliers du globe, programmation de masse pour des individus sensitifs.


    TRIDENT, 1989, " Black Triad " (Triades noires). A.E.M.C, ONR, NSA:

    Ciblage directionnel électronique de groupes d'individus ou de personnes isolées.
    Ciblage : groupes importants de personnes rassemblées Déploiement : Hélicoptères noirs évoluant en triades par trois.Puissance : estimée à 100,000 wattsFréquences d'utilisation : UHF (fréquences extrêmement hautes)Buts recherchés : contrôle et monitoring de comportement de foules, contrôle d'émeutes.
    Agences coopérants : FEMA (Agence des mesures Fédérales pour les cas d'urgence)


    RF MEDIA, 1990, " Buzz Saw " E.E.M.C. CIA:

    Suggestion et programmation subliminales multidirectionnelles électroniquesLocalisation: Boulder, Colorado ciblage : Citoyens des Etats Unis.Fréquences d'utilisation : ondes VHF (fréquences très hautes) HF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes)
    Puissance : estimée en GigawattsImplémentation : Télévision et communications radio, signaux de type " vidéodrome " Buts recherchés : Programmation et déclenchements de désirs comportementalistes, altération et subversion des habilitées psychiques des membres d'une foule, processus d'initialisation de contrôle électromagnétique des masses.


    HAARP, 1995, CIA, NSA, ONR:

    Induction de résonance électromagnétique, contrôle de population, contrôle de la météoLocalisation: Gakona, AlaskaFréquences d'utilisation : ondes verrouillées VHF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes)
    Potentiel : altération du code génétique sur une population et modification des comportements de masse. Changement climatiquePuissance : estimée en Gigawatts ou Tera-watts
    Fréquences d'utilisation : approx 1.1 GHz, fréquence de résonance couplée à celle de l'ADN humain, verrouillable en phase avec le système cellulaire humain.


    TOWER, 1990, " Wedding Bells " (cloches de mariage),CIA, NSA:

    Suggestion et programmation subliminales électroniques sur l'ensemble d'un territoire.ciblage : groupes importants de personnes rassemblées, à intervalles réguliers courts, effet cumulatif sur le long terme.Fréquences d'utilisation : Micro-ondes, EHF — SHFMéthodologie: système des téléphones cellulaires, modulation en ELF (fréquences extrêmement basses)Buts recherchés : Programmation à partir de la résonance neurologique et informations encodées. Effets produits : dégénérescence neurologique, modification génétique de l'ADN, harcèlement psychique

    CLEAN SWEEP, 1997, 1998, CIA, NSA, ONR:

    Induction électromagnétique résonnante et modification de comportement de masseLocalisation : sur l'ensemble du territoireFréquences d'utilisation : correspondant à celles des émotions chez l'être humain — Données rassemblées et archivées pendant des évènements médiatisés par hélicoptère. Reprogrammation en vue d'opérer une seconde stimulation des niveaux émotionnels dans le cadre de création ou de recréation de scénarios évènementiels.Potentiel : Modification des attitudes et des mouvements d'une foulePuissance : Inconnue. Rediffusion possible à l'aide du réseau GWEN, coordonnées à partir du NBS dans le Colorado.


    L.U.C.I.D TM

    Le projet LUCID TM est un système de gestion et de contrôle des systèmes biométriques implantables. Par définition, la biométrie prend en compte des paramètres biologiques. Les expériences faites sur les spectres d'ondes (FEM ou EMF) cérébrales générés par nos cerveaux, afin de pouvoir les analyser, les contrôler, les stimuler ou les altérer sont totalement occultées et ignorées du grand public. Les signaux subliminaux ne sont pas uniquement visuels mais peuvent être infra ou ultra sonores. Le principe du projet L.U.C.I.D TM est un système de transmission de données multilingues personnalisées encryptées à partir de supports mobiles éloignés, peu importe leur localisation, dans n'importe quelle langue donc, vers un mégacalculateur capable de les centraliser à l'échelon mondial.

    MOSAIC

    Il s'agit d'un système administratif de Sécurité Nationale utilisant la haute technologie spatiale en général et les satellites en particulier pour pouvoir opérer une traçabilité en temps réel 24h/24, de chaque être humain en vie à la surface de la planète. Une mosaïque est constituée de morceaux ou "tuiles" ("tessera") de céramique multicolore et chacun de ces fragments représente un individu. Ces "tuiles" seraient des biochips sous cutanés placés dans ce cas sur le front ou la main droite, tels que ceux qui sont implantés sur des animaux ou même des êtres humains comme cela se fait déjà avec des prisonniers ou des malades mentaux sous surveillance contrôlée à l'aide d'un collier placé sur un membre. La meilleure publicité promue pour cette nouvelle technologie de traçabilité tient dans l'argument de pouvoir garder un contact avec un enfant et empêcher ainsi le kidnapping.


    TESSERA

    Le projet "TESSERA" a été lancé par la NSA, L'Agence de (Surveillance ECHELON) Sécurité Nationale Américaine. Le projet consiste à mettre en adéquation la technologie informatisée avec la production de microchips implantables miniaturisées dotés de suffisamment de mémoire et gérés par le système "MOSAIC". La "tessera" était une marque distinctive portée par les prisonniers et les esclaves sur la peau du temps des Romains.
    Un téléphone portable au départ a été conçu pour pouvoir téléphoner, recevoir ou émettre un message visuel court, servir de modem en se dispensant de se connecter à un réseau filaire, etc..
    Ils sont en passe de devenir des chronomètres, des consoles de jeux, des enregistreurs vocaux, des radios FM/AM, des baladeurs MP3, des systèmes de localisation géographique (GPS), des navigateurs Internet, des téléviseurs, des webcaméras, des lecteurs de cartes de crédit (SIM + puce), des émetteurs de cartes de visite virtuelle, bref de véritables bureaux de poche sans compter les options d'accouplement avec d'autres machines et une multitude de protocoles. Des systèmes de reconnaissance d'empreintes digitales remplacent les mots de passe et neutralisent les dommages causés par les vols de plus en plus nombreux pour permettre aux malfrats d'assurer leurs trafics impunément et de façon anonyme quant à leur identité.


    BLUE BOOK

    Le projet Blue Book est une commission mise en place par l'
    US Air Force, afin d'étudier et d'enquêter sur le phénomène OVNI. Cette commission fut créée en 1952 et resta en activité jusqu'en 1969. Les premières observations d'OVNI qui suivirent la fin de la Seconde Guerre mondiale (notamment la célèbre histoire de Kenneth Arnold) mirent rapidement l'armée américaine en alerte. Dès 1947, l'US Air Force lança le projet Sign qui devait étudier la réalité de ces phénomènes. Rebaptisée projet Grundge en 1949, cette commission fut rapidement décrédibilisée par ses prises de position systématiquement sceptiques et son flagrant manque de moyens. En 1951, suite à une importante vague d'observations d'OVNI, l'armée décide de relancer le projet avec plus de moyens et de sérieux. Le 12 avril 1952, le projet Blue Book naît, dirigé par le capitaine Edward J. Ruppelt. Cette commission se divisera en une section d'étude, une d'investigation, un agent de liaison avec le Pentagone et des consultants scientifiques civils. Des observations d'OVNI extrêmement médiatisées se multipliant au cours de l'année 1952, les hautes sphères du gouvernement commencent à s'intéresser de très près à ce phénomène et décident d'accentuer l'investigation dans ce domaine. En septembre 1953, le capitaine Ruppelt démissionne de son poste. Il publiera, dés 1955, "The Report on Unidentified Flying Objects", livre relatant les cas les plus significatifs qu'il avait pu traiter au sein du projet Blue Book. Le capitaine Charles Hardin reprend le commandement du projet en mars 1954. Devant faire face à de nombreuses attaques sur l'opacité de l'armée à propos du phénomène OVNI, le capitaine décide de déclassifier et rendre public le rapport spécial n° 14 du projet Blue Book. Ce rapport, qui conclut à l'inexistence des OVNI, est mis en vente auprès du grand public en octobre 1955. Le capitaine George T. Gregory est nommé à la tête du projet en avril 1956 ; il sera remplacé par le major Robert J. Friend en octobre 1958. En avril 1963, le projet Blue Book passe sous les ordres du major Hector Quintanilla. En mars 1966, une observation d'OVNI extrêmement médiatisée et les prises de positions très sceptiques de l'US Air Force amènent plusieurs scientifiques civils du projet (dont Josef Allen Hynek) à prendre publiquement parti pour la réalité du phénomène OVNI et, donc, contre la position officielle du projet Blue Book. Ces divergences amèneront le gouvernement américain à commanditer, en 1969, un rapport d'experts auprès du docteur Edward Condon, de l'Université du Colorado afin d'établir ou non la réalité du phénomène OVNI. Le rapport Condon conclura que les OVNI n'existent pas et que tous les témoignages reposent soit sur une méprise avec des phénomènes naturels, soit sur des hallucinations et que toute recherche scientifique dans ce domaine ne présente aucun intérêt. Le projet Blue Book sera donc officiellement dissous en décembre 1969 et cessera toute activité en janvier 1970.


    MOGUL

    Le projet Mogul est un projet top-secret datant de 1947 et qui consistait, dans le cadre de la
    guerre froide, à envoyer des ballons-sondes afin d'espionner l'Union soviétique pour savoir si on y effectuait des tests nucléaires. C'est peut-être l'un de ces ballons qui, lorsqu'il s'écrasa près de la ville de Roswell, aurait causé le célèbre incident de Roswell.
     

  •                                                           

    LE BOHEMIAN CLUB

     
     
    Moloch, le dieu adoré par les élites du Boheminian
    Encore plus secret que les Skull and Bones (Tête de mort et ossements),
    l’association ultra-confidentielle dont George W. Bush fut membre (F&D
    98 et 99), apparaît le Bohemian Club, un cercle plus qu’ultra-sélectif
    exclusivement masculin et qui ne regroupe que des « maîtres du monde ».
    Pour la France, trois seules personnalités y ont été cooptées : Valéry Giscard d’Estaing, aujourd’hui président de la Convention sur la réforme des institutions européennes, son ancien ministre Jean François-Poncet, et le grand rival de François Mitterrand, l’ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard. Enquête (inédite en France) sur ce cercle qui se livre une fois par an à de bien étranges pratiques teintées de satanisme.


    Sans aucune surprise, dans toute l’histoire de la presse française, un seul article a jamais été consacré au Bohemian Club, pourtant fondé en 1872. Il s’agit d’un article du Point paru il y a une quinzaine d’années. Le Bohemian Club accueille pourtant, chaque année, au mois de juillet, dans la forêt californienne, l’élite des « maîtres de la globalisation », c’est-à-dire l’élite des milliardaires et des hommes politiques américains, mélangée à quelques personnalités étrangères,
    issues d’une douzaine de pays, jugées suffisamment puissantes pour être recrutées. Il n’existe que deux ouvrages sur ce cercle hyper-sélect et on ne compte qu’une poignée d’articles alors même que le nombre de ses membres s’élève environ à
    2400 (ils étaient 2 335 en 2001).
     
     


    Pour donner une idée de sa puissance, environ un cinquième de ses membres sont membres de la direction des mille premières sociétés mondiales
    apparaissant dans le classement du magazine Fortune. Il s’agit de PDG de multinationales, de membres de cabinets ministériels ou présidentiels, de représentants de
    grandes fondations (comme le Council on foreign relations), de l’élite de la justice, du commerce, d’universitaires de premier plan, de
    militaires hauts placés dans la hiérarchie, etc. Au total, ils représentent au bas mot le quart de la fortune privée des Etats-Unis.

     



    Le Bohemian Club a été fondé en 1872, par cinq journalistes du San Francisco Examiner afin d’encourager la « bonne camaraderie » (c’est-à-dire ces saoûleries auxquelles
    il faut se livrer pour être accepté dans les pseudo-sociétés secrètes étudiantes) et pour « aider à élever le journalisme au niveau auquel il devrait être dans l’estime de la population », les journalistes
    sans le sou se considérant alors comme une « vie de bohème ».

    Parmi les membres d’honneur figurent Mark Twain ou Jack London. Mais six années plus tard, les objectifs ont largement évolué, faisant désormais
    la part belle aux hommes d’influence et une part très minoritaire aux journalistes et devenant ce que Counterpunch appelle « l’antichambre de la Maison Blanche […] Quel est en effet l’endroit où l’on peut rencontrer directement le PDG d’IBM, le couple Rockefeller, les plus grands banquiers, des juges de la Cour suprême ou Charlton Heston? ».

    Aujourd’hui, il faut compter entre 18 et 20 ans pour avoir une chance d’être admis tant la liste d’admission
    est longue, comptant déjà plus de 1 500 notables bien établis qui sont tous prêts à payer un « ticket » annuel de 10 000 $, sans parler de la
    prise en charge du déficit du club comme en 2000.

    Situé à une centaine de km au nord de San Francisco, il s’agit d’une
    immense propriété privée du comté de Sonoma, achetée par morceaux. Seuls quelques courageux investigateurs comme Anthony C. Sutton (qui édite la Phoenix Letter) ou le mensuel d’extrême gauche Mother Jones (août 1981) ont osé dévoiler quelques noms :
    George P. Schultz, Stephen Bechtel Jr
    (constructions internationales. C’est au cours de la réunion du BC de 2000 que Bechtel aurait obtenu la quasi-exclusivité de la reconstruction
    des infrastructures mises mal par l’Irak au Koweït), Gérald Ford, Henry Kissinger, William Buckley Jr (censé représenter le « conservatisme » américain), Edward Teller (le père de la bombe atomique. C’est d’ailleurs
    au cours de la réunion du BC en 1942 que fut mis au point le programme de développement nucléaire militaire), George Bush, Ronald Reagan, A.W. Clausen (Banque mondiale), Caspar E. Weinberger, William French Smith, Thomas Watson (IBM), Phillip Hawley
    (Bank of America), William Casey(patron de la CIA), etc. Depuis lors, George Bush père y intronisé, en 1999, son fils George W. Bush,
    aujourd’hui président des Etats-Unis (ainsi que son frère Jeb Bush, gouverneur de Floride), lors d’un rassemblement où on retrouvait l’actuel secrétaire d’Etat Colin Powell et Dick Cheney. Pour Suzanne Bohan du Sacramento Bee (qui faillit perdre son travail à cette occasion), c’est véritablement là que fut lancée la campagne présidentielle de George W. Bush, avec prise de contacts poussés aussi bien avec la haute administration que les principaux financiers.

     


    Inside The Bohemian Club
    envoyé par 0110110x

     


    Parmi les principales personnalités, on citera également, uniquement comme orateurs des très fermés « Lakeside Talks » : James R. Lilley, ancien ambassadeur en Chine et Corée du Sud, Martin Anderson, chercheur à la
    Hoover Institution, John Major, ancien
    Premier ministre anglais, Henry Kissinger, l’éditorialiste David Broder, le PDG de Dow Chemcal Corp Franck Popoff, l’ancien secrétaire
    d’Etat à la Défense William Perry, Lou
    Gerstner, PDG d’IBM, James A. Baker,
    ancien secrétaire d’Etat de Reagan, James Woolsey, ancien directeur de la CIA, le congressiste et ancien ministre Jack Kemp, le cinéaste Francis Ford Coppola, l’ambassadeur
    d’Italie aux Etats-Unis Ferdinando
    Salleo, le dernier gouverneur de Hong-Kong Christopher Patten, le responsable du service diplomatie de la Georgetown University Chester Crockeer, Antonin Scalia, juge à la
    Cour suprême, Pete Wilson, gouverneur de la Californie, Alex J. Mandl, vice-président exécutif d’AT&T, le général Vernon Walters, ancien chef d’Etat major de l’armée américaine, le prince Bandar Bin Sultan, Elliot
    Richardson, ex-secrétaire d’Etat à la Défense, George Schulz, ancien secrétaire d’Etat de Reagan, l’astronaute Frank Borman, Michel
    Rocard, le milliardaire Malcolm Forbes, William H.Webster, directeur du FBI, l’ancien président du Mexique Miguel De La Madrid, Alex Haley, auteur de Roots, David Packard, cofondateur de Hewlett-Packard, etc.
     


    Le magazine Mac Lean (23 mars 1981) précisait que « chaque année, pour trois week-ends, près de 2 000 membres, en compagnie d’invités,
    rejoignent le lieu placé sous haute protection situé près du hameau de Monte Rio (1 200 habitants), près de la rivière Russe. La devise
    shakespearienne du club, Weaving spiders come here, est une manière de montrer que les discussions trop vives y sont bannies. Même si ce mot d’ordre y est totalement ignoré tant au niveau financier que politique. Alors que cette classe de dirigeants ne laisse que très rarement filtrer des détails sur les accords qui y sont passés, quelques-unes pourtant, comme la promesse de Ronald Reagan à Richard Nixon de demeurer en dehors de la course à l’élection présidentielle de 1967, ont largement participé à façonner le destin de l’Amérique. »

    Plus de 2 000 personnes, exclusivement des hommes, peuvent être accueillies dans d’excellentes
    conditions de confort, dans environ
    120 petits hameaux comme Hillbilies (où se retrouvent la plupart des anciens de la Yale University comme Bush), Derelicts ou Mandalay (le plus chic). La réunion principale se déroule sur quinze jours et trois week-ends (le premier étant le plus proche de la mijuillet), en dehors de réunions beaucoup moins importantes s’étalant sur le reste de l’année.
    L’objectif est de « renouer avec la nature » dans la bonne humeur, et, de l’avis de certains participants, dans des libations alcooliques poussées. Les magnats y jouent dans des saynètes saynètes et de petites pitreries (Kissinger se déguisera par exemple en portant… un masque de Kissinger et d’autres se déguiseront en femmes avec tous les attributs afférents…).




    Quelques conférences sont par ailleurs professées, mais l’essentiel se règle au cours d’entretiens
    informels (mais « juteux »). Comme
    l’écrit Peter Phillips, professeur de sociologie à l’université de Sonoma et directeur du Project censored, « On peut imaginer les aristocrates
    d’aujourd’hui comme Kissinger, Bush
    ou Rumsfeld au milieu d’un cercle d’amis en train de siroter du cognac ou de discuter comment les masses “non qualifiées” ne doivent
    pas être suivies pour établir des politiques et comment les élites doivent mettre en œuvre leurs propres valeurs pour en faire des “règles
    d’autorité”. Ces clubs d’homme ont représenté historiquement l’institutionnalisation des
    inégalités raciales, de sexe et de classe […] En surface, le Bohemian Grove est un lieu privé où les élites régionales et globales se rencontrent
    dans la joie et la bonne humeur. Mais, en réalité, il poursuit exactement les mêmes buts que la monarchie française au XVIIIe siècle ou la construction de l’empire britannique au XIXe siècle […] C’est un moyen de construire des liens étroits internes et une unanimité
    consensuelle au profit d’une solidarité de classe. Les liens renforcés se traduisent dans les réunions économiques internationales, les partis politiques, les campagnes de financement et au niveau supérieur de la “démocratie”.

    Dans un certain sens, ils vivent comme
    dans une Bastille qu’ils ont fabriquée eux-mêmes, avec le pouvoir, le prestige et les privilèges, et unis dans la peur de la démocratie
    de base (grassroots democracy). » Bien
    entendu, aucun compte-rendu n’est jamais publié et aucune liste des participants n’est jamais disponible. Quant à Newsweek (2 août 1982), il rapportait que « la colonie de vacances la plus prestigieuse du monde tient ses réunions à 120 km au nord de San Francisco. Les 1 500 hectares de retraite hautement protégés sont un véritable Etat dans l’Etat exclusivement réservé aux mâles du Bohemian Club auquel chaque président, depuis Herbert Hoover, a
    appartenu. » Et de citer par exemple l’une des conférences majeures qui
    y fut prononcée, celle de Kissinger sur Le Défi des années 80.

    A trois reprises, l’enquêteur Dirk Mathison devait réussir à infiltrer ces
    réunions avec l’aide d’opposant, réunis dans le Bohemain Grove Action
    Network. Il entendit le discours de John Leman, ex-secrétaire à la
    Marine de Reagan, sur Les Armes intelligentes, dans lequel ce dernier
    estimait à 200 000 le nombre d’Irakiens assassinés durant la ratonnade
    dite Guerre du Golfe. Les autres orateurs furent Dick Cheney (aujourd’hui
    vice-président), sur Les Problèmes majeurs de la défense du XXIe
    siècle, l’ex-secrétaire d’Etat à la Santé de Jimmy Carter, Joseph
    Califano, sur La Révolution de la santé aux Etats-Unis : qui vit, qui
    meurt, qui paye ?, et l’attorney general des Etats-Unis sous Reagan et
    Nixon, Eliott Richardson, sur La Définition du Nouvel Ordre Mondial,
    ou encore Helmut Schmidt, ex-Premier ministre allemand, sur Les
    Enormes problèmes du XXIe siècle.



    Les données recueillies sont toutefois fragmentaires en raison de l’extrême surveillance mise en place, mais quelques journalistes d’investigation, tels O’Brien ou Phillips, se sont interrogés sur le « pourquoi » de telles réunions où l’alcool coule à flots et où d’étranges cérémonies druidiques, sous couvert de « représentations théâtrales », prennent place, officiellement dans le but de célébrer l’« esprit de bohème », avec
    un étonnant rituel débutant par « l’incinération des soucis » (Dull Care, soit le « poids des soucis »), semblable au « bonhomme hiver » brûlé
    chaque année, pour célébrer le retour du printemps. Au cours de cette
    étonnante cérémonie, on voit en effet le gratin financier de la planète se
    presser autour d’un rocher de 12 mètres de haut représentant un hibou
    (assimilé à la bouche de Moloch), devant lequel est allumé un immense
    feu de joie où les « maîtres du monde » sont censés (ce n’est pas une
    blague contrairement à ce que nos lecteurs pourraient penser) se
    « décharger » de leurs soucis. Le tout étant très officiellement annoncé
    dans le programme interne sous le titre « Consecutive Cremation of
    Care », avec intervention d’un « High Priest » (Grand Prêtre en robe de
    soie d’argent et d’or), d’un « Voice of the Owl » (la voix du hibou) et
    d’un « Funeral Cortege ».

    Dans THEM : Adventures with extremism (Picador, 2001), John Ronson, quoique critique, rapporte comment il a assisté clandestinement à cette cérémonie macabre, dont il cite divers chants, hymnes et stances, divers discours funèbres et autres mascarades. Après une procession
    aux flambeaux, les hommes, déguisés, s’approchent en chantant, avec l’accompagnement d’un orchestre dissimulé, pour allumer le bûcher, pendant que le Grand Prêtre prononce des odes au soleil de l’été. Une effigie en papier mâchée grandeur nature, représentant un être humain, est alors jetée dans le brasier.

    Cet enquêteur y voit une simple preuve d’immaturité de l’élite de la planète,
    à la manière de la fête de Halloween pour les enfants : « Ma dernière
    impression était celle d’un sentiment dominant d’immaturité : les
    imitateurs d’Elvis Presley (NDLR : certains se déguisent en chanteurs),
    le rituel païen mystificateur, les saoûleries (NDLR : l’auteur a compté
    l’impressionnant nombre de bouteilles vides dans l’un des camps et
    consulté des photos). Ces personnes ont peut-être atteint le sommet de
    leurs professions mais émotionnellement, ils semblent en être resté à
    leurs années de faculté. »

    Pour d’autres, c’est quelque chose de tout différent qui se cache derrière
    de telles cérémonies. Un article paru dans le journal des environs, dont
    certains habitants paraissent peu goûter de telles fariboles et qui évoquent
    des pratiques sectaires (voire sataniques), le Santa Rosa Sun
    (juillet 1993) établit un rapport avec le culte de Canaan et la légende de
    Moloch, le dieu auquel on sacrifiait des êtres humains. Canaan, c’est la
    terre de Phénicie et de Palestine, celle qui anticipe Israël. Supposée
    dérivée de la religion babylonienne et sumérienne, elle influença très
    largement la religion israélite primitive, où Moloch devint Nemrod ou
    Tammouz, et où les pratiques sectaires faisaient appel au sacrifice
    humain. Il en est de même à Carthage avec le fameux sacrifice du
    « molk », où des nouveaux-nés étaient livrés au feu. Mille ans plus tard,
    la Bible mentionne encore de nombreux sacrifice d’enfants. Dans Le
    Paradis perdu, le poète John Milton écrit : « D’abord s’avance
    Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des
    larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et
    des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fut pas entendu
    lorsqu’à travers le feu, ils passaient à l’idole grimée. »

    Pour comprendre cette étrange fascination pour ces étranges rituels
    macabres, on reviendra sur les Skull & Bones (S&B) que nous avions
    déjà étudiés (un article très riche sur le rituel des S&B, et son inspiration
    anti-indienne, est paru depuis lors dans The Observer, 19 avril
    2001). Le Lakota Nation Journal (printemps 2000) a rapporté comment
    Prescott Bush, le grand-père de George W. Bush, s’était emparé du
    crâne du grand chef apache Geronimo lorsqu’il était en poste à Fort Sill
    (Oklahoma) en 1918. La nation apache a découvert que celui-ci fut
    transféré au siège des S&B à New Haven (Connecticut) afin de servir à
    la plupart des cérémonies d’intronisation de nouveaux membres. Dans
    les années 90 lorsque des enquêtes furent conduites et un procès intenté,
    les restes macabres disparurent.

    La plupart des documents disponibles figurent uniquement sur Internet :
    www.fair.org/extra/best-of-extra/bohemian-grove.html, une liste plus
    compète des participants se trouve sur www.sonic.net/$kerry/bohemian/
    grovenukes.html, www.counterpunch.org/bohemian.html, la principale
    association opposante est le Bohemian Grove Action Network :
    www.sonomacountyfreepress.org/bohos/bohoindex.html, et en français,
    on consultera le très complet www.chez.com/frenzy/bohemian.htm Un
    documentaire a également été tourné clandestinement par John Ronson
    pour le compte de la BBC en 1999, où l’on voit l’intégralité de la cérémonie
    de crémation, ainsi qu’un autre, Teddy Bear’s Picnic édité par
    Vision Box Pictures, qui étudie les réunions sous un ange léger, voire
    humoristique. Bibliographie : The Bohemian Grove an other Retreats,
    G. William Domhoff (Harper, 1974), The Greatest Men’s on Earth,
    Inside the Bohemian Grove, John van der Zee (Harcourt, 1974). Pour
    une bibliographie complète, il n’y a pas à chercher loin : Sex Works :
    Writings by Women in the Sex Industry, Frédérique Delacoste et
    Priscilla Alexander (Cleis Press, 1987), où un chapitre porte sur la
    prostitution à l’intérieur du Bohemian Grove, Inside Bohemian Grove,
    Philip Weiss, Spy Magazine, novembre 1989, Power Playground, John
    van der Zee, Business Month, juillet 1988, Mondo loro, Pino
    Buongiorno, Panorama, 12 août 1999, Pouvoir : le club le plus fermé
    du monde, Le Point, 27 août 1994, Power at Play : The Boho Boys
    Club, Hampton Sides, Regardie’s Magazine, janvier 1991, The Male
    Manager’s Last Refuge, Walter McQade, Fortune, 5 août 1985, Inside
    Bohemain Grove : The Story People Magazine Won’t Let You Read,
    Extra ! Magazine, décembre 1991.

    Sources : FAITS ET DOCUMENTS doc en pdf avec images... intéressant

    http://www.libertyforlife.com/religion/images/Occult2.jpg

     

  •  

    Le projet Phénix (1947-1969)

    Une histoire greffée sur celle du projet Philadelphie, par des personnes dont au moins une a été convaincue de faux.

    Anciennement connu sous le nom de projet Philadelphie, ce projet hypothétique 1 aurait redémarré sous la direction de von Neumann, aux laboratoires de Brook-haven travaillant sur l'espace-temps. Le but aurait été de comprendre le problème survenu avec l'équipage lors de l'expérience de 1943, ainsi que d'étudier les applications de ce projet pour rendre les navires et les avions invisibles au radar (la technologie furtive d'aujourd'hui).

    En 1948, on aurait finit par comprendre le problème de 1943 : les hommes d'équipages se serait retrouvés piégés dans une sorte de "bouteille isolante" (effet bocal) dans une réalité artificielle, où le temps et l'espace étaient différents. Ils avaient complètement perdu leurs repères et se trouvaient désorientés, non seulement psychiquement, mais aussi physiquement. Il était nécessaire de leur donner des points de repère pour leur permettre de conserver une sensation de normalité, une stabilité nécessaire lorsqu'ils entraient ou sortaient de "la bouteille". La 1ère étape aurait consisté à déterminer un "point zéro", ou point de référence de la vie de chacun, de relier ce point au point zéro de la Terre, à celui du système solaire, et à celui de la galaxie (le zero time). Seul l'ordinateur est capable de calculer les temps de référence de chacun, en fonction de ce Zero-time, afin que le corps et l'esprit de chacun puissent se synchroniser avec ces temps de référence.

    Cependant il semble que ce projet soit annulé la même année, après que des cercles politiques aient découvert les objectifs de "contrôle de la pensée" du projet.

    En 1951, Albert Bielek arrive du futur (de 1983), transféré dans le corps de Duncan Cameron, un bébé mort naturellement à 1 an, à l'aide d'une technologie extraterrestre (voir Montauk).

    En 1952, le projet Phoenix (apparemment non annulé) envoie un nouveau navire en Angleterre.

    En 1954, les ovnis sont en vogue, et Morris Jessup rédige The case for the UFO (Ovnis : les preuves), un exposé très clair de tout le problème. Le livre paraît en 1955, et est un gros succès. Peu après sa parution de ce livre, Jessup reçoit les lettres d'un mystérieux correspondant du nom de Carlos Allende, qu'il ne rencontrera jamais. Allende lui donne comme adresse de retour R.D. #1, Box 223, New Kensington, Pa. Dans ses lettres, Allende commente l'ouvrage de Jessup et livre des détails sur une supposée expérience secrète menée par la Marine en 1943. Suite aux lettres d'Allende, Jessup se passionne pour l'expérience de Philadelphie et déniche divers manuscrits refusés par les éditeurs. Il est amené à croire à un fantastique complot impliquant un vaste camouflage de la part du gouvernement, des expériences de physique avancée, et au moins 2 races de visiteurs : les LM qui seraient en bons termes avec les habitants de la Terre et les SM qui nous seaient hostiles.

    Cette même année, la FDA ordonne une enquête contre Wilhelm Reich et sa fondation. Celui-ci est appelé à comparaître devant la justice pour défendre ses activités, après avoir refusé d'obtempérer à l'injonction de la FDA. Le 19 mars, une décision de justice est prise à son encontre.

    En 1956 une copie du livre de Jessup est expédiée à l'ONR, annoté par écritures (de couleur) différentes, de personne(s) douée(s) d'une connaissance peu commune en la matière, et apportant même des détails nouveaux sur les ovnis. Les notes mentionnent le moyen de propulsion, la culture et le génie des occupants des ovnis dans un langage pseudo-scientifique et en terme incohérents. Jessup est alors contacté par l'ONR à Washington. Par la suite l'astronome fait preuve d'une étrange nervosité comme s'il pressentait un danger. L'astronome confie ses notes et l'un des exemplaires de son livre à un ami intime.

    La même année, Wilhelm Reich est poursuivi par un tribunal et sévèrement puni. L'Etat du Maine ordonne la destruction par le feu de ses écrits. Il est condamné à 2 ans de prison et une amende de 10 000 $.

    En 1957, mort de Von Neumann.

    En 1958, Albert Bielek intègre une école d'ingénieurs.

    En 1959 démarre une phase de collaboration avec les Gris et 75 bases souterraines sont construites pour eux. Le 20 Avril, Jessup est trouvé mourant dans sa fourgonnette (voiture ?) dans un jardin public du comté de Dade (dans un/son garage ?), asphixié par un tuyau attaché au pot d'échappement de son véhicule et passé par la vitre d'une portière. Le coroner conclut à un suicide.

    En 1967, la compréhension du problème d'équipage de 1943 trouve une solution concrète avec l'aide des visiteurs de Sirius A, qui initient les humains à la technologie de ce qui deviendra plus tard la Chaise de Montauk. Après avoir mis au point la technologie nécessaire, des scientifiques font un rapport au Congrès. Ce dernier s'aperçoit avec raison que ces techniques pourraient être utilisées pour la manipulation du cerveau humain. Il refuse alors son accord et supprime tous les fonds.

    En 1969, le groupe scientifique de Brook Heaven, désirant poursuivre ses recherches issues de la Chaise de Montauk, requièrent des moyens auprès des militaires, qui acceptent et leur offrent l'accès à la base à demi-désaffectée de Montauk, ainsi qu'un générateur de forte puissance, nécessaire pour les expérimentations. Les techniciens du vieux radar de la base, le radar-Sage, signalent aux scientifiques qu'il avait été remarqué dans les années 1960s que la puissance et la fréquence du radar influait sur l'humeur et le comportement des gens de la base. Cela intéresse les scientifiques, qui adjoignent au radar la technologie des micro-ondes. Le projet aurait alors été rebaptisé Phoenix II ou projet Montauk.

     


  •  

    Projet consacré aux recherches sur la guerre biochimique, intégré au projet M-K-Ultra. Une équipe de la CIA, dirigée par le docteur Gottlieb, travaillait en étroite collaboration avec la SOD au centre de recherches biologiques de l'armée à Fort Detrick (Maryland), où l'on produisait toute une panoplie d'aérosols mortels. Chaque bidon était rempli de toxines qui tuaient en quelques secondes, ou, si cela n'était pas nécessaire, laissaient la victime paralysée ou à tout le moins incontinente pendant des semaines. Les hommes de M-K-Delta, dont certains étaient des médecins inscrits au tableau de l'AMA, cherchaient alors à développer une toxine tirée d'un crustacé provoquant une mort instantanée. Ce poison était destiné aux agents partant pour ce que l'agence appelait des missions désespérées. Avant de quitter Washington, chaque espion recevait un dollar porte-bonheur en argent enduit de cette substance. En cas de capture, il lui faudrait serrer la pièce entre les dents.

    Les nouvelles consignes reçues par Gottlieb dans le cadre du projet M-K-Delta étaient de chercher comment il était possible de modifier le comportement d'un individu par des moyens indirects.

    Il aurait à coopérer étroitement avec Richard Helms.