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    Opération Paperclip

     

    Originellement appellé Opération Overcast, l’Opération Paperclip fut menée à la fin de la Seconde Guerre mondiale par l'état-major des armées des États-Unis, à l'insu du Président Roosevelt, afin d’exfiltrer et de recruter près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel allemand pour lutter contre l'URSS et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich. Ces scientifiques effectuèrent des recherches dans divers domaines, notamment sur les armes chimiques (Zyklon B), sur l'usage des psychotropes, sur la conquête spatiale, sur les missiles balistiques et sur les armes à longue portée (bombes volantes V1 et V2).

    Loin de les affecter à des postes subalternes, le Département de la Défense des États-Unis leur confia la direction de ses programmes de recherches. Ils furent affectés aux bases de White Sands, dans le Nouveau-Mexique, et à Fort Bliss, au Texas. Grâce en partie à l'aide de ces scientifiques, l'avancée technologique des États-Unis fut considérable pendant la guerre froide.

    Le projet est stoppé en 1957, lorsque l'Allemagne de l'Ouest proteste auprès du gouvernement des États-Unis qui la dépouille de ses compétences scientifiques et l'opération Paperclip sera déclassifiée en 1973.

    Préliminaires

    Avec l'entrée en guerre des États-Unis, est créé un camp d'internement à Fort Hunt près d'Alexandria en Virginie en 1942 pour interroger les prisonniers de guerre allemands ayant des connaissances techniques et scientifiques sur le complexe militaro-industriel allemand et ses systèmes d'armes perfectionnés tels les officiers de U-Boot, officiers de l'Afrika Korps ou scientifiques.

    Près de 3 400 détenus sont ainsi passés par Fort Hunt entre 1942 et 1946 ; 600 interrogateurs avaient pour mission de leur soutirer des informations, en particulier sur les avancées technologiques du Reich.

    Une partie de ceux-ci rejoindra la Joint Intelligence Objectives Agency chargé de l'opération Paperclip.

    Quelques scientifiques et responsables allemands

    • Arthur Rudolph
    • Kurt Blome
    • Major général Walter Schreiber
    • Reinhard Gehlen
    • Alexander Lippisch
    • Hans von Ohain
    • Wernher von Braun
    • Bernhard Tessmann

    Opérations parallèles à l'Est, en Europe, en Argentine

    L'Union soviétique chercha aussi à récupérer le savoir des spécialistes allemands (surtout pour les moteurs d'avions et de fusées) encore présents sur le territoire qu'elle occupait. Ce fut le Département 7 (opérations scientifiques) qui fut chargé de l'opération. Tout d'abord, les personnels furent regroupés et purent continuer leurs recherches. Au bout d'un certain temps, ils furent tous emmenés avec leurs familles dans le cadre d'un déménagement surprise dans plusieurs villes d'Union soviétique où tout avait été préparé pour les recevoir.

    Ils furent cependant renvoyés en République démocratique allemande à partir de 1952 lorsque les spécialistes russes qui les entouraient eurent rattrapé leur retard technologique.

    Le Royaume-Uni et la France menèrent des opérations similaires avec des moyens plus limités pour récupérer le savoir technologique de l'Allemagne, par exemple plusieurs installations d'essais aéronautiques furent démontées en Allemagne et reconstruites en France. Une centaine de techniciens et ingénieurs allemands du IIIe Reich travaillèrent à la mise au point des premiers moteurs à réaction de la chasse française (SNECMA Atar), du premier Airbus et des premières fusées françaises. De même, le premier hélicoptère construit dans l'usine devenue plus tard Eurocopter à Marignane, le SE 3000, était une évolution d'un modèle récupéré en Allemagne, le Focke-Achgelis FA 223 Drache.

    L'Argentine fut aussi dans la course et ses services secrets proposèrent à partir de 1944 à des ingénieurs allemands comme Kurt Tank, le concepteur du Focke-Wulf FW 190, de travailler dans son industrie aéronautique. Quand le président Juan Peron perdit le pouvoir en 1955, l'équipe des anciens de Focke-Wulf se dispersa, beaucoup partant aux États-Unis ou en Inde.

    Observation

    Comme l'a écrit Vincent Jauvert dans le Nouvel Observateur paru le 11 juillet 2002 :

    « Quoi qu’il en soit, en ouvrant un grand nombre des dossiers secrets de la guerre froide, l’Amérique a montré sa face hideuse mais aussi son attachement à la transparence démocratique. Quelle autre nation ose mettre sur la place publique les preuves de ses compromissions ? Aucune. Ni la Grande-Bretagne, ni la Russie, ni… la France. Ces pays se sont-ils mieux comportés que les États-Unis ? Rien n’est moins sûr : le SDECE, le MI6 et le KGB ont, eux aussi, recruté bon nombre d’anciens SS et bourreaux de la Gestapo. Mais eux ne l’avouent pas. Il faut dire qu’à Paris, Londres et Moscou, personne ne les y invite, ni les parlementaires, ni les opinions. »

     

    L'opération Paperclip

    D'abord nommée "Overcast", c'est en février 1945 que le traité de l'opération est signé afin de préparer l'après-guerre, mais dans une violation flagrante et précoce des accords de Yalta. Ce traité, conclu par les chefs d'état anglais, américain et russe, est entre aures mené par la section T-2 pour identifier et mettre la main sur les scientifiques et ingénieurs nazis ayant travaillé sur les programmes aéronautiques du Reich, notamment les fusées : l'usine allemande des V-2 de Dora-Mittlebau est placée sous contrôle russe. Pourtant, les services secrets américains décident de faire main basse sur tout ce qui peut être pris dans l'usine.

    Le 2 mai, peu après la nomination de Harry Truman comme président des Etats-Unis suite à la mort de Roosevelt, Wernher Von Braun et son équipe sont récupérés du site de Dora-Mittlebau par les alliés.

    Le 31 mai, le dernier convoi de camions du colonel Holger Toftoy quitte le site de Dora-Mittlebau, quelques heures à peine avant l'arrivée des troupes soviétiques. Les éléments saisis sont d'abord acheminés à Anvers, puis transportés par bateau jusqu'à la Nouvelle-Orléans, pour finir leur transit secret au sein de l'arsenal Redstone dans l'Etat de l'Alabama.

    Pour calmer la colère des soviétiques, les américains promettent de rendre ce qu'ils ont pris mais envoient en lieu et place un chargement de pièces de tracteur défectueuses. Si l'immédiate issue de la 2nde guerre mondiale a donné le sentiment d'une relative entente entre russes et américains, cette opération coup de poing est l'un des nombreux incidents qui vont alimenter de manière souterraine le terreau d'une terrible guerre froide.

    Au total, près de 2000 nazis sont convertis (à l'aide de méthodes de contrôle programmé de l'esprit selon certains). Parmi eux, Von Braun et ses collègues qui vont être amenés à lancer dans le désert du Nouveau-Mexique des V-2 récupérés par les troupes américaines.

    En septembre, 1946, convaincu que les scientifiques allemands pourraient aider aux efforts d'après-guerre américains, le président Truman donne son accord pour autoriser le "Projet Paperclip" ("Trombone", intitulé ainsi parce que les dossiers scientifiques étaient attaqués avec à trombone aux dossiers d'immigration de ces scientifiques), un programme pour sélectionner des scientifiques allemands pour travailler pour le compte des Etats-Unis durant la "guerre froide". Cependant, Truman exclut expressemment toute personne ayant été membre du parti Nazi et plus qu'un participant nominal dans ses activités, ou un supporter actif du nazisme ou du militarisme.

    Le département G-2 est responsable de la dissimulation, du secret et de la sécurité de l'opération Paperclip. Il se doit de surveiller l'activité de toute personne pouvant représenter un risque pour le projet.

    Le JIOA mène des enquêtes de fond sur les scientifiques à récupérer dans le cadre du projet Paperclip. En février 1947, Bosquet Wev, directeur du JIOA soumet pour examen le première groupe de dossiers de de scientifiques aux Département d'Etat et de la Justice.

    Les dossiers sont accablant. Samauel Klaus, le représentant du Département d'Etat au comité du JIOA, indique que tous les scientifiques du premier lot étaient des "nazis férus". Leurs demandes de visa sont refusées. Wev est furieux au JIOA. Il rédige un memo d'avertissement indiquant que les meilleurs intérêts des Etats-Unis ont été subjugués aux efforts consacrés à "battre un cheval nazi mort". Il déclare également que le retour de ces scientifiques en Allemagne, où ils pourraient être exploités par les ennemis de l'Amérique, représente une menace de sécurité bien plus grande pour ce pays que tout affiliation à l'ancien nazi qu'ils aient pu être ou même toute sympathies nazies qu'ils aient pu avoir.

    Lorsque le JIOA fut formé pour enquêter sur le fond et la forme des dossiers des nazis, le chef du renseignement nazi Reinhard Gehlen rencontre Allen Dulles, directeur de la CIA. Dulles et Gehlen hit it off immediatly. Gehlen était un maître espion pour les nazis et avait infiltré la Russie avec son vaste réseau de renseignement nazi. Dulles promet à Gehlen que son unité de renseignement est protégée au sein de la CIA.

    Apparemment, Wev décide de contourner le problème. Dulles fait réécrire les dossiers des scientifiques afin d'éliminer tout élément incriminant. Comme promis, Dulles livre l'unité de renseignement nazie à la CIA, qui débouchera par la suite sur de nombreux projets masquant la prolongation de recherches folles nazies (MK-Ultra/Artichoke, Opération Midnight Climax)

    L'équipe de scientifiques allemands à Fort Bliss (Texas) en 1947. En médaillon, Wernher Von Braun (7ème à partir de la droite)
    L'équipe de scientifiques allemands à Fort Bliss (Texas) en 1947. En médaillon, Wernher Von Braun (7ème à partir de la droite)

    Le Renseignement Militaire "nettoie" les dossiers des références nazies. Un bon exemple de la modification de ces dossiers est le cas de Wernher von Braun. Un rapport du 18 septembre 1947 sur le scientifique allemand des fusées indique Le sujet est perçu comme une menace potentielle pour la sécurité par le Gouverneur Militaire. En février suivant, une nouvelle évaluation de sécurité de Von Braun indique Aucune information dérogatoire n'est disponible sur le sujet... L'opinion du Gouvernement Militaire est qu'il ne devrait pas constituer de menace pour la sécurité des Etats-Unis.

    L'opération Paperclip aboutit à la naturalisation d'un premier groupe de plus de 50 scientifiques allemands le 11 novembre 1954 à Birmingham (Alabama). En 1955, c'est plus de 760 scientifiques allemands qui ont obtenu la citoyenneté américaine et des postes proéminents dans la communauté scientifique américaine. Nombre d'entre eux ont longtemps été membres du parti nazi et de la Gestapo, ont mené des expériences sur des humains dans des camps de concentration, ont exploité le travail d'esclaves, et commis d'autres crimes de guerre.

    Dans un exposé de 1985 dans le Bulletin des Scientifiques Atomistes, Linda Hunt déclare avoir examiné plus de 130 rapports sur des sujets liés au Projet Paperclip -- et chacun d'entre eux a été modifié pour éliminer la classification de menace pour la sécurité. Truman, qui avait explicitement ordonné de ne pas admettre des nazis dans le cadre du Projet Paperclip, n'a apparemment jamais été averti de la violation de cette directive. Les archives du Département d'Etat et les mémoires d'officiels de l'époque confirment cela. En fait, d'après le livre "Opération Paperclip" de Clare Lasby, les officiels du projet couvrèrent leurs plans d'un tel secret qu'ils abusèrent leur propre président; à Potsdam il refuta leurs activités et augmenta indubitablement la suspicion et le manque de confiance envers les Russes, alimentant ainsi probablement encore plus la Guerre Froide.

    Le projet est stoppé en 1957, lorsque l'Allemagne de l'Ouest proteste auprès des Etats-Unis qui la dépouillent de ses compétences scientifiques.

    L'opération Paperclip sera déclassifiée en 1973.

     

    Vincent Jauvert
    Quand l’Amerique recrutait des officiers SS

    Nouvel Observateur, 11.7.2002

    Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Etats-Unis savent qu’ils devront bientôt affronter le communisme en passe de conquérir la moitié de l’Europe. Dans cette nouvelle lutte à mort, tous les coups sont permis. Même le recours aux organisateurs de l’Holocauste. On savait que les relations entre les services secrets américains et l’appareil nazi étaient troubles. En scrutant les archives récemment ouvertes aux Etats-Unis, Vincent Jauvert a découvert l’incroyable ampleur de cette alliance contre nature: celle qui a conduit les hommes de Roosevelt et Truman, pour combattre Staline, à recruter les pires criminels de Hitler

    Le février 1954, un officier du contre-espionnage de l’armée américaine écrit à propos d’un citoyen autrichien, un certain Hermann Höfle: «Le sujet est ponctuel et courtois. Il pourrait être pour nous un agent fiable […] malgré son passé dans la SS et la Gestapo…»

    Dans la note adressée à ses supérieurs du CIC (Counter Intelligence Corps), l’Américain ne livre aucun détail sur le passé de ce Höfle, comme si cela n’était pas important. Pourtant, grâce aux archives biographiques des SS récupérées par l’US Army en 1945, il sait que sa future recrue, cet homme si «ponctuel et courtois», fut l’un des pires bourreaux nazis – un des maîtres d’œuvre de l’Holocauste.

    En 1942, l’officier supérieur SS Hermann Höfle était en effet commandant adjoint de l’opération Reinhard: l’extermination de tous les juifs vivant en Pologne occupée. C’est Höfle qui a organisé le planning des déportations des juifs de Varsovie, Lublin, Radom, Cracovie et Lvov. C’est Höfle qui a supervisé la construction des camps de la mort de Sobibor, Treblinka et Belzec. C’est Höfle qui y a fait installer des chambres à gaz et des fours crématoires. Et c’est cet homme, poursuivi par la justice polonaise et qui a réussi à fuir pendant douze ans, que le CIC décide, en février 1954, de recruter sous le faux nom de Hans Hartman, moyennant un salaire de 100 deutschemarks par mois.

    La carrière américaine du nazi Höfle ne durera pas. Dès juin 1954, il sera remercié, non pas à cause de son passé mais parce que son rendement d’espion n’est pas bon. Relâché, seul, dans la nature, l’ancien SS sera finalement arrêté pour crimes de guerre en 1961 et se suicidera dans une prison de Vienne, avant d’avoir été jugé – et d’avoir révélé ses relations particulières avec le contre-espionnage de l’US Army.

    Combien de criminels nazis ont-ils été ainsi recrutés par les services secrets américains dans les années d’après-guerre? Combien ont été aussi protégés, soustraits aux justices européennes et envoyés en Amérique du Sud par ces mêmes services? Il y a eu, on le sait, Klaus Barbie (voir encadré ci-dessus), le chef de la Gestapo de Lyon, devenu agent du CIC de 1947 à 1951 en Bavière et «exfiltré» vers la Colombie afin qu’il échappe à la justice française. Quels sont les autres Barbie?

    Pendant la guerre froide, les Etats-Unis n’ont jamais voulu répondre à ces questions (à part, contraints et forcés, sur Barbie). Ils entendaient couvrir les officiers impliqués, préserver l’image des libérateurs de l’Europe et, avant tout, priver Moscou d’un thème de propagande.

    Depuis la chute du mur de Berlin, Washington a commencé, sous la pression de multiples ONG et parlementaires, à reconnaître ses liens passés avec des serviteurs du Reich. En 1990, la CIA a ouvert les dossiers de l’opération secrète Paperclip, le recrutement de centaines de scientifiques allemands (dont Wernher von Braun, le père des V2 et du programme spatial américain). Bill Clinton est allé plus loin. En 1998, il fait voter une loi contraignant toutes les administrations, y compris les services secrets, à ouvrir l’ensemble de leurs archives sur les criminels de guerre nazis. L’opération doit être terminée en 2003.

    Des milliers de documents ont été rendus publics cette année. Certains mettent fin à de vieilles rumeurs concernant la prétendue collaboration de nazis célèbres avec la CIA. En particulier, il apparaît que le chef de la Gestapo, Heinrich Müller, qui a disparu quelques jours avant la capitulation du Reich, et dont la propagande soviétique avait fait un agent américain, n’a jamais été un collaborateur de la CIA, et qu’au contraire celle-ci a multiplié les efforts pour retrouver le criminel – en vain: Müller étant probablement mort dès mai 1945.

    D’autres découvertes dans les archives sont beaucoup moins flatteuses pour la CIA et ses prédécesseurs. Elles sont même atterrantes. Il s’agit du nombre de tortionnaires enrôlés, en parfaite connaissance de cause, par les services secrets de Washington. «Au total, il y eut au moins plusieurs dizaines de cas et peut-être plus de cent», explique l’historien Richard Breitman, qui prépare un rapport sur le sujet pour le Congrès.

    Les premiers recrutements d’officiers allemands par les organes de renseignement de l’US Army commencent pendant la débâcle de la Wehrmacht au printemps 1945. L’armée américaine veut empêcher les dignitaires du Reich de fuir, et d’emporter leurs butins dans leur cavale. Des SS ou des hommes de la Gestapo vont dénoncer leurs anciens maîtres, révéler leur planque. A cette époque, cette compromission avec des nazis embarrasse quelques officiers traitants américains. L’un d’eux écrit en avril 1945 à propos d’une recrue: «[X] est, évidemment, un homme dangereux. (…) Pour éviter que l’on nous accuse de travailler avec un nazi réactionnaire [sic!], je crois que nous devons avoir avec cette source des contacts aussi indirects que possible.»

    Mais, en quelques mois, l’atmosphère change radicalement. C’est le début de la guerre froide. L’ennemi n’est plus l’Allemand défait mais l’ancien allié soviétique qui installe sa dictature dans les zones qu’il occupe et menace d’accroître ses conquêtes territoriales, vers l’ouest. Dès le 1er mars 1946, le CIC décrète que la «cible principale» est désormais l’Union soviétique. Il lui faut connaître l’ordre de bataille de l’Armée rouge et du NKVD (l’ancêtre du KGB), la biographie de leurs responsables et leurs intentions. Il doit aussi infiltrer les partis communistes européens, chevaux de Troie de Moscou. Mais, sur ses alliés d’hier, le contre-espionnage américain est totalement démuni: il n’a ni informations ni informateurs. Les nazis ont dix ans d’avance. Depuis les années 1930, les espions du Reich ont tissé de vastes réseaux d’agents en terres staliniennes, ils ont constitué des milliers de dossiers. Les Américains décident de les enrôler en masse.

    L’un des responsables du CIC pour l’ Europe, Richard Helms – qui deviendra patron de la CIA à la fin des années 1960 – écrit dans un mémorandum de septembre 1946: «Il est de la plus urgente priorité de découvrir […] tous ceux [les Allemands] qui ont une expérience en matière de renseignement concernant la Russie et [de repérer] ceux qui pourront continuer ce même travail pour nous.» Dans cette note, Helms n’exclut personne, ni les nazis ni les SS, quel que soit leur passé.

    Les officiers allemands qui vont collaborer avec les Américains contre l’Union Soviétique ne sont pas tous des criminels de guerre. Ainsi, les anciens de l’Abwehr – le service de renseignement de l’armée allemande – ont souvent été des ennemis acharnés des SS, parfois même des opposants déclarés du régime. Ils n’ont, en général, pas participé directement aux massacres de civils (qu’ils ont néanmoins laissé faire). Le plus célèbre d’entre eux est le général Reinhard Gehlen, qui a dirigé l’Abwehr sur le front de l’Est et qui mettra son organisation au service des Américains dès juillet 1945, avant de devenir en 1956 le patron fondateur du BND (le service secret de l’Allemagne de l’Ouest)

    Etait-ce immoral de recruter ces Allemands-là, plus «propres» que beaucoup d’autres et si utiles dans la guerre secrète contre l’armée stalinienne? Peut-être pas au tout début mais, d’après les archives, les Américains se sont vite aperçus que les réseaux utilisés par ces anciens de l’Abwehr, et réactivés au profit de l’US Army, comprenaient beaucoup d’ex-membres de la SS et de la Gestapo. Et ils n’ont pas fait grand-chose pour mettre un terme à ces collaborations déshonorantes (voir encadré).
    Le CIC a donc aussi recruté lui-même bon nombre de barbares, de tortionnaires, en n’ignorant rien de leur passé. Ainsi, le docteur Emil Augsburg, alias Alberti, alias Althaus, qui est enrôlé le 1er mai 1947. Sa fiche signalétique le décrit comme un homme grand (1,85 mètre), «albinos, qui fume énormément». Il est présenté par ses officiers traitants comme un intellectuel «honnête, idéaliste, qui aime le vin et la bonne chère», «un excellent scientifique antisoviétique» et «sans préjugés». On ajoute qu’il était membre du parti nazi et capitaine SS. Pourquoi est-il recruté? Parce qu’il est l’un des meilleurs experts du monde communiste. Il a dirigé l’institut Wannsee de Berlin, qui menait des études sur l’Europe orientale au profit du service d’espionnage des SS. Il a eu accès à tous les renseignements recueillis par les agents du Reich en Union soviétique. C’est une perle rare de l’antistalinisme.

    Mais la fiche mentionne aussi qu’Emil Augsburg est recherché pour crimes de guerre par la Pologne. Avant de rejoindre l’institut Wannsee, le bon docteur a fait partie, en 1940 et 1941, d’un Einsatz Kommando, qui menait en Pologne et en Russie des opérations dites «spéciales»: le massacre de juifs et autres personnes jugées indésirables par les nazis.

    Malgré ce terrifiant passé qu’elle connaît, l’US Army ne livrera pas Emil Augsburg à la justice polonaise. Et l’assassin travaillera pour les services américains jusqu’en 1956 (en dépit des réserves de son premier chef, un certain Klaus Barbie, qui craignait qu’Augsburg ne soit un agent double trahissant le CIC au profit des… Français). Finalement Augsburg rejoindra le BND qui l’emploiera pendant dix ans, jusqu’en 1966.

    Autre exemple de cette collusion si longtemps niée: le major SS Wilhelm Höttl recruté en 1948. Lui aussi fut un artisan zélé de la Shoah. A la fin de la guerre, il était le conseiller politique du représentant de Hitler à Budapest. En mai et juin 1944, il a participé à la déportation de 440000 juifs hongrois vers le camp d’Auschwitz. Arrêté en 1945 par les Américains, il témoigne au procès de Nuremberg. C’est lui qui livre le premier «chiffrage» de l’Holocauste. A la barre du tribunal, il déclare: «A la fin du mois d’août 1944, Eichmann m’a dit que, dans différents camps d’extermination, approximativement 4 millions de juifs ont été tués et que 2 autres millions ont été liquidés d’autres façons. Il a ajouté que ce chiffre [de 6 millions] était un secret d’Etat.»

    Confident d’Eichmann, cet Höttl est un monstre, mais c’est aussi un spécialiste de l’implantation communiste en Europe du Sud-Est. Il est donc libéré en 1947 par l’US Army et rejoint le bureau du CIC de Vienne. Son embauche ne fait pas l’unanimité parmi les officiers. L’un d’eux écrit dans une note: «Si elle venait à être révélée [notre] utilisation de Höttl serait incompréhensible pour tous les Allemands et Autrichiens "propres".» Mais les manœuvres soviétiques balaient toutes réserves morales. En 1948, c’est le coup de Prague et le blocus de Berlin. Dans sa guerre de l’ombre contre Staline, Washington est prêt à employer n’importe qui, y compris un Wilhelm Höttl.
    A l’ancien major SS, le CIC de Vienne confie la direction de deux réseaux de renseignement. Le premier – nom de code «Mont Vermont» – est chargé d’espionner la zone d’occupation russe de l’Autriche. Il est composé d’une vingtaine de sources; parmi elles, «Edi» et «Walter», deux anciens lieutenants SS. Le second réseau – nom de code «Montgomery» – doit infiltrer les forces russes installées en Hongrie. L’adjoint de Höttl pour cette opération est un Hongrois fanatique et tortionnaire, un certain Karoly Ney, qui a créé un détachement SS dans son pays. Il sera remplacé par autre ancien SS, Erich Kernmayer, qui a pris, pendant la guerre, la direction de journaux viennois «aryanisés» (spoliés à leurs propriétaires juifs).

    Höttl est remercié un an plus tard par le CIC pour mauvais résultats, mais il est réembauché sur-le-champ par la toute jeune CIA, via l’organisation du général Gehlen (voir encadré p. 23). De l’agence américaine, Höttl recevra 600 deutschemarks par mois jusqu’en 1954, avant que la CIA ne décide, à son tour, de se séparer de l’encombrant personnage, déclaré «escroc du renseignement». Mais le criminel a des ressources. Pendant la guerre, il a volé de multiples biens «aryanisés», notamment des bijoux. Grâce à une petite fortune ainsi accumulée, il montera une maison d’édition à Vienne, où il mourra en… 1997, sans jamais avoir été inquiété.

    Il y a d’autres cas nauséabonds. En décembre 1947, alors que les Occidentaux craignent de voir le Parti communiste prendre le pouvoir en Italie, le CIC confie à l’ancien major SS Karl Haas un réseau d’espionnage à Rome dont le nom de code est «Los Angeles». Haas et ses agents ont pour mission d’«obtenir des informations sur les activités et les personnalités du PCI et [d’]établir la liste des éléments communistes les plus dangereux». Qui sont les sources de Haas, stipendiées par l’armée américaine? Des «dignitaires du Vatican» (dont le chef du service de presse), mais aussi deux anciens responsables de l’organisation chargée par Mussolini d’assassiner les antifascistes italiens ainsi que «des membres d’un mouvement néofasciste clandestin».

    En 1948, le CIC de Rome envisage d’élargir ce réseau «Los Angeles» et d’installer un agent permanent à Palerme. Dans une note, un officier américain justifie ainsi ce projet: dans la capitale sicilienne, écrit-il, un «ancien du SD [NDLR: le service d’espionnage de la SS] affirme être en contact direct avec le bandit Giuliano et sa bande. [Ceux-ci] pourraient réaliser pour nous des missions spéciales clandestines [autrement dit, des meurtres]. Cela ne nous que coûterait 200 dollars par mois». Giuliano a-t-il effectivement été enrôlé par le CIC? Les archives ne le disent pas encore.

    De même, elles livrent peu de détails inédits sur la fuite des criminels de guerre en Amérique latine. Seule une note secrète de la CIA datée du 3 avril 1950 rapporte avec précision les conditions de vie des fuyards du IIIe Reich en Bolivie: «Entre 1200 et 1800 anciens nazis qui ont émigré vers l’Amérique du Sud après 1946, et quelques-unes de leurs épouses, vivent dans de petites implantations situées le long des vallées du rio Madidi et du rio Beni dans le nord-ouest de la Bolivie. […] Cette colonie s’étend sur environ 15 kilomètres sur les rives des deux fleuves.» Le mémo ajoute: «Chaque implantation possède au moins deux mitrailleuses (soit 500 au total), un nombre considérable d’armes légères de fabrication allemande et une grande quantité de munitions. […] Tous [ces exilés] parlent très mal l’espagnol.»

    Combien ont été amenés dans cette colonie par les services américains? Mystère. Les dossiers déclassifiés n’apportent rien de neuf sur la fameuse opération Rat Line, l’exfiltration en Amérique latine de certains agents menacés, opération mise au jour, en 1983, dans un rapport explosif du ministère américain de la Justice décrivant les liens entre la CIA et Klaus Barbie. A part « le boucher de Lyon », combien d’autres tortionnaires ont-ils bénéficié de ce canal clandestin, organisé, de Rome, par le prêtre oustachi Krunoslav Draganovitch (voir encadré) et financé par l’US Army? On ne le saura sans doute jamais. Le principal «client» américain de la Rat Line, le major James Milano du CIC, a récemment publié ses Mémoires («Soldiers, Spies and the Rat Line», Brassey’s, 1995). Il y explique que presque tous les documents liés à cette opération ont été volontairement détruits. Et, dans son livre, il ne décrit que des cas de «défecteurs» de l’armée soviétique passés à l’Ouest, puis envoyés, via la Rat Line, en Argentine. Il nie s’être occupé de nazis – à part Klaus Barbie. Dit-il la vérité?

    Beaucoup de criminels de guerre ont fui grâce à l’autre fameux réseau d’exfiltration monté par d’anciens SS: Odessa. Y avait-il des liens entre les services américains et Odessa, comme cela a été souvent dit? Les documents désormais accessibles ne le disent pas. Mais tout n’est pas encore ouvert. «Sur certains sujets, la CIA traîne les pieds, explique Richard Breitman. Elle applique la loi de 1998 de manière restrictive. Nous essayons de la convaincre d’être plus transparente encore.»

    Quoi qu’il en soit, en ouvrant un grand nombre des dossiers secrets de la guerre froide, l’Amérique a montré sa face hideuse mais aussi son attachement à la transparence démocratique. Quelle autre nation ose mettre sur la place publique les preuves de ses compromissions? Aucune. Ni la Grande-Bretagne, ni la Russie, ni… la France. Ces pays se sont-ils mieux comportés que les Etats-Unis? Rien n’est moins sûr: le Sdece, le MI6 et le KGB ont, eux aussi, recruté bon nombre d’anciens SS et bourreaux de la Gestapo. Mais eux ne l’avouent pas. Il faut dire qu’à Paris, Londres et Moscou personne ne les y invite, ni les parlementaires ni les opinions publiques. En la matière, il y a un modèle américain.

     


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    MK-ULTRA:
    "KONTRÔLE" DE L'ESPRIT
     

     

    Déshommage à Reagan:
    partie 1
    Brice Taylor, esclave présidentielle monarque du projet MK-Ultra,
    dévoile ses moments
    avec Uncle Ronnie.
     


    Brice Taylor (nom civil Susan Ford)

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    L'histoire que vous vous apprêter à lire n'est pas rose; le témoignage bouleversant de Brice Taylor est des plus courageux, honnête et intègre qui soit. Très peu d'esclaves du MK-Ultra ont survécu à ce programme. Je ne vous blâme pas d'éprouver de la difficulté à croire ce récit pris hors texte car on voudrait tellement que cette affaire ne soit pas vraie. Surtout lorsqu'on éprouve des sentiments d'admiration pour une personne dont on apprend les agissements cachés. Mais les accusations sont aussi pénibles à porter. Cette affaire est tellement grande et le témoignage de Brice Taylor tellement important.
    Pourtant vous n'avez jamais entendu parlé de cette femme, ou de son histoire. J'ai eu la chance de discuter longuement avec Susan Ford (qui est le nom civil de Brice Taylor) et croyez-moi cette histoire est réelle et cette femme est plus que sincère.
    J'ai vu les vidéos de ses conférences avec Ted Gunnerson et les autres victimes réchappées de ces projets du contrôle de l'esprit. Son dévouement acharnement à récuperer sa fille agée aujourd'ui dans la vingtaine et qui est encore sous leur emprise hospitalisée dans un institut psychiâtrique subissant la prolongation de ses mauvais traitements afin qu'elle ne puisse parler.

    Mais Susan Ford n'est pas la seule victime du projet de contrôle de l'esprit MK-Ultra. Cathy O'Brian en est une autre. David Icke a aidé à la faire connaître en citant dans son livre "Le plus grand secret" tome 2 (chez Louise Courteau Éditrice) un extrait de son histoire vécue avec les mêmes têtes ou presques. Mais il n'y a pas que des femmes dans ce programme diabolique. Paul Bonaci en est un autre qui a survécu aux sévices du projet Monarch. Il a témoigné devant une court aux É-U et ce qu'il a révélé au grand jour n'était que la pointe du glacier. Il a gagné. Fritz Springmeir et Cisco Wheeler en ont longement expliqué les ramifications et techniques. La liste des victimes-esclaves de "contrôleurs" dirigeants, militaires, acteurs, financiers et autres membres de l'Élite du Nouvel Ordre Mondial est très longue.

    L'histoire telle qu'on vous l'a raconté est un grand mensonge. Les héros qu'Hollywood et les médias nous dépeignent sur leurs écrans lumineux sont créés et montés de toute pièce alors qu'en réalité beaucoup de ces acteurs, chanteurs populaires, musiciens, politiciens, ministres, présidents, financiers, médecins, psychiâtres, haut-gradés militaires,vedettes du sport et des arts ne sont que de pauvres victimes ou pantins manipulées par leurs maîtres, en mal d'Égo, de pouvoir, d'honneurs, de gloire, de $écurité, de protection, parfois crapules, ignobles et pervers, d'autres malgré eux, mais la plupart possédés par diverses séductions ou tromperies suivi d'un chantage bien calculé se font attrapper dans les tentacules de la pieuvre, de la bête.

    Mais les maîtres-joueurs du Conseil (selon le terme que vous désirez utiliser pour traduire "The Concil") du Nouvel Ordre Mondial sont très intelligents et astucieux, guidés et inspirés par les forces invisibles d'un égrégore encore plus puissant que toute l'Élite mondiale réunie ensemble. Elle appartient même à un autre monde, une autre espèce, un autre temps.

    Sans le savoir ni s'en rendre compte, nous contribuons quotidiennement, pour ne pas dire horairement, à l'agenda du contrôle planétaire des masses et dirigeants des pays en la nourissant de nos énergies, nos sueurs, nos pensées, nos émotions et en demeurant figés et tacites devant l'ampleur de cette conspiration dirigée directement contre nous tous, l'humanité entière. C'est une moquerie gigantesque qu'il faut dénoncer à tout prix. Nous nous devons de démolir l'édifice du mensonge dans lequel ils habitent et se cachent. Ils sont en possessions de technologies au-delà de votre imagination, et maintenant les puces micro, émetteurs d'ondes, radio, télévision, journaux et maintenant la nanotechnologie. Ces prédateurs ont tout en main. Pas vraiment. C'est pourquoi ils ont peurs et se hâtent d'installer leur système de "La Guerre des Étoiles" mais cela est une autre histoire. Une bouchée à la fois.

    Tout ceci dans un seul but: l'avancement de la race humaine et sa qualité de vie ? FAUX" Un seul but: le contrôle total de la masse planétaire après l'avoir épurée des gênes défectueux, les bouches inutiles et les indésirables pour conserver les meilleurs pour "le meilleur des mondes" avec une nouvelle race de bleus.

    Les extraits de son livre ci-bas sont seulement ceux
    qui font allusion à Ronald Reagan,
    en l'honneur de sa mort qui en a libéré plusieurs...

    Couverture du livre "Thanks for the memories"
    ("Merci pour les souvenirs" ici a deux connotations)
    (titre en moquerie pour la chanson
    que chantaient entre autre Frank Sinatra et Bob Hope,
    deux des contrôlleurs de Brice Taylor)


    PRESENTÉE AU GOUVERNEUR RONALD REAGAN

    J'ai été progressivement présentée à Ronald Reagan pendant mon adolescence. Bob Hope organisait des rencontres privés avec Reagan dans la petite salle de l'Hôpital Régional du Cinéma (Motion Picture Country Hospital (MPCH)) à Calabasas, Californie, à juste 10 minutes de ma maison d'enfance de Woodland Hills. L'hôpital appartient au Screen Actor's Guild ( l'Association des Acteurs Cinématographiques). Après l'attaque cardiaque de mon pére, ma mère prit une activité et fut employée là pendant 10 ans, à la fin des années 60 et au début des années 70, comme secrétaire et comptable du Directeur Exécutif Adjoint. (Ses parents étaient manipulés autant qu'elle et n'étaient pas conscients de ses "missions").

    J'étais programmée pour me rendre à pied ou à vélo à l'hôpital afin de visionner des films dans le petit cinéma du rez-de-chaussée. J'avais l'instruction d'en regarder de nombreux destinés à des " buts de programmation " pour m'instiller certaines attitudes ou humeurs déterminées. Parmi eux : My Fair Lady, Gone With the Wind, The Unsinkable Molly Brown, des films de Disney, et le Magicien d'Oz. Souvent, durant la projection, un homme s'approchait derrière moi et me visait avec un appareil électronique. D'autres fois, voir un film était juste une couverture pour rencontrer Ronald Reagan en privé. J'avais aussi pour instruction de lire le livre 'des fleurs pour Algernon', destiné à brouiller, obscurcir et couvrir ma mémoire de ce qui arrivait au MPCH et ailleurs.

    C'était là, en privé, au MPCH, que Ronald Reagan commença à faire connaissance avec moi et aussi avec les nombreuses de mes personnalités créées. On m'avertissait à l'avance que j'aurais un " invité important " et que je devrais " lui faire une bonne impression, et lui donner le traitement complet. " Le Conseil avait de grands projets pour Ronald Reagan et il remplissait les conditions nécessaires pour ce qu'ils recherchaient - quelqu'un de malléable et qui pouvait être dirigé. Il l'a prouvé en suivant leurs directives depuis le début, même avant qu'il soit élu Gouverneur. C'était une personne patriote, de belle prestance et vue comme saine, bonne et authentique aux yeux du public. C'était un " bon acteur " et volontaire pour se laisser ligoter sans poser de questions. Ils lui disaient toujours qu'il travaillait pour le " bien de son pays " et il ne semblait jamais contester quoi que ce soit. Mais je m'éloigne de mon propos.
    Au cours de cette première rencontre, Reagan et moi étions seuls dans le petit cinéma. l'extinction des lumières dans la section des spectateurs était mon signal pour commencer ma prestation. Le " traitement complet " consistait à chanter et danser pour lui sur la petite scène et à terminer par un striptease. Après cette scéne de séduction, je marchai vers l'endroit où il se tenait seul et grimpait nue sur ses genoux pour réciter mon programme. Suivant mes instructions programmées, je lui dis que je pouvais satisfaire tous les désirs ou caprices qu'il pouvait imaginer, que je présentais toutes les garanties de haute sécurité, et que j'étais recommandée par son ami Bob Hope.
    Il sembla embarrassé, une réaction qui le suivra toutes ces années en relation avec moi, et un peu accablé, mais sa réponse fut, " Je suis vendu... dit à Bob que je suis vendu ! "
    Ayant, tel qu'il m'avait été demandé, soigneusement et exactement enregistré sa réponse grâce à ma mémoire photographique, je quittai ses genoux, ramassai mes vêtements sur la scène et m'habillai.

    Je disposais de plusieurs personnalités spécialement créées pour plaire sexuellement à Ronald Reagan. L'une devait lui assurer une dévotion totale au fil des ans. J'ai beaucoup été utilisée vers 1968, à l'âge de 17 ans, par le Gouverneur Reagan et peu après par Richard Nixon, Président des Etats-Unis. Ces politiciens de haut rang avaient la garantie que mon entraînement leur assurait le plus haut niveau de sécurité. Le degré élevé de contrôle mental que je subissais certifiait que je pouvais être exploitée par ces dirigeants impliqués dans certains des plus hauts niveaux de sécurité nationale sans que j'en sois moi-même consciente créant par conséquent le niveau de sûreté le plus sophistiqué que notre nation pouvait offrir. L'espionne ne sait même pas qu'elle espionne !

    Les rendez-vous avec Reagan avaient souvent lieu au MPCH et étaient organisés de façon très secrète. Les dimanche après-midi ou en soirée, j'accompagnais ma famille au petit cinéma du rez-de-chaussée. Tandis que nous faisions la queue dehors, j'avais pour instruction de pretexter me rendre aux toilettes et me glissais par la porte arrière du petit cinéma pour le guetter. Souvent, il attendait à l'arrière et je délivrais rapidement le message puis retournais à ma famille. Il arrivait aussi que je patiente au fond de la salle plongée dans l'obscurité. Il arrivait comme un conspirateur cherchant à préserver son "incognito". Après la prise de contact, je me levai et allai rejoindre ma famille à l'avant du cinéma alors qu'il prenait ma place laissée libre. Pendant le film, je disais à ma famille que j'allais aux toilettes et j'en profitais pour me glisser dans la rangée de sièges en face de Reagan. Dès que j'étais en face de lui, je débitais rapidement un paquet d'informations destinées à le guider. S'il passait ces tests en faisant ce qu'on lui demandait de faire, il accédait alors à un plus haut niveau de l'arène politique. Il fut peu à peu informé que j'étais un robot qui lui rapportait simplement ce qui venait du sommet. Au début, ils lui dirent de ne pas sous-estimer mes capacités simplement parce que j'étais jeune, que j'avais des années d'entraînement intensif qui avaient fait de moi ce que j'étais et qu'il devait m'utiliser le plus complètement possible.

    Une fois qu'il fut élu Gouverneur, ils m'utilisèrent comme agent de liaison entre Nixon (Président) et Reagan (Gouverneur). Ils travaillaient ensemble et furent capables d'effectuer d'importants changements législatifs à eux deux. Ceci s'intensifia quand Reagan devint Président et plus tard ils utilisèrent Pete Wilson de la même manière. De nombreuses législations sont sorties et avant que Wilson devienne Gouverneur et Reagan Président, ils avaient nettoyé les canaux des communication pour passer les lois, les décrets et n'importe quoi d'autre dont le Conseil avait besoin pour son propre avancement.
    Il y avait un homme âgé grisonnant et d'apparence faible, portant une bague en diamant à l'auriculaire, auquel je rendais fréquemment compte au MPCH. Il m'amenait souvent un papier à faire signer par ma mère. Parfois il coordonnait des rencontres avec différentes personnes et m'amenait pour cela dans différentes pièces ou villas. Il me disait d'aller à l'intérieur et d'attendre. Souvent Reagan était la personne que je devais attendre. D'autres fois, ils disaient " Attends ici à l'intérieur " et je m'asseyais dans un hall ou dans une pièce où un agent des Services Secrets venait pour me conduire au Gouverneur Reagan. Il m'amenait souvent dans une petite maison de domestiques pour avoir des rapports sexuels avec Reagan et lui délivrer des messages. Plus tard, le vieil homme à la bague de diamant venait me chercher pour me ramener au bureau de ma mère. Il ne voyait même pas qui j'étais chargée de rencontrer. Les Services Secrets disaient qu'ils le préféraient ainsi parce l'incident s'effaçait de leur mémoire et qu'ainsi c'était moins risqué.
    Il y avait certains cas où ma mère ouvrait un tiroir de dossiers dans son bureau, en prenait un fichier et le mettait sur son bureau pour que je le lise et l'enregistre. Affichées en face de moi, il y avait les lignes de dates et heures des rencontres que je devais avoir avec Reagan ou d'autres au MPCH. D'autres fois, il y avait des papiers remplis d'instructions de choses à dire, incluant des phrases spécifiques, à certaines personnes, ou des listes de colonnes de nombres à quatre chiffres que je devais encoder et déchiffrer.
    Lors de certaines rencontres, Reagan effectuait un discours en face de moi dans la salle de cinéma. Je le restituais tel quel au Conseil et ils pouvaient en corriger une ligne ou deux, donner l'exacte formulation à utiliser, et je délivrais de nouveau le message à Reagan et il modifiait son discours pour le rendre tel qu'ils le dictaient.
    D'autres fois, j'avais pour instruction d'aller à bicyclette au MPCH ou j'accompagnais ma mère à son travail quand elle avait un supplément de travail à effectuer et je devais dire que je sortais. Elle ne questionnait jamais. Après que j'aie commencé à conduire à l'âge de 16 ans, j'avais pour instruction de rendre compte au bureau de ma mère et de lui demander de l'argent ou la permission de faire quelque chose, avant d'aller au cinéma, de sorte qu'elle ne suspecte rien si plus tard quelqu'un lui disait m'avoir vu. L'employé du cinéma qui me laissait entrer pendant les heures de fermeture était en apparence le gardien, mais je suppose qu'il faisait également partie du système. Parfois, un groupe d'hommes se rencontraient à une table ronde alors que je me tenais à l'écart en " mode d'attente ", pendant qu'ils discutaient de ce qui devait être fait ensuite et une fois ils débattirent de ce à quoi j'avais été " exposée ". Un homme termina l'argumentation en expliquant, " C'est ce que le chef a ordonné. " Le patron était Bob Hope. Ces hommes semblaient tout savoir sur moi. Mais Bob n'aimait pas me rencontrer ou avoir des relations sexuelles avec moi au MPCH parce qu'il disait, " Franchement, les gens ici sont trop vieux. " Cela semblait le déprimer de songer à la vieillesse.

    Des nanas à un million de dollars
    J'ai surpris des conversations au cours desquelles le Président des Etats-Unis et d'autres politiciens de haut rang auxquels on proposait les services " d'escortes " - la dernière technologie de robot humain de la CIA - esclaves programmées pour le sexe et l'espionnage. Ils étaient encouragés à utiliser ces escortes pour satisfaire leurs besoins sexuels et émotionnels, au lieu de s'exposer eux-mêmes à des individus de l'extérieur, parce que ces escortes étaient des garanties 'sûres et sécures'- qui avaient passées de nombreux tests pour assurer la sécurité, étaient capables de fournir la garanti du silence et n'avaient pas de maladies vénériennes.
    Le président et les autres étaient hautement découragés par la CIA contre les autres voies, susceptibles d'indiscrétions sexuelles, par peur de les voir exposés au public. Cette peur des conséquences de rechercher l'assouvissement sexuel à " l'extérieur ", peur de publicité défavorable ou de maladies, et autres risques sécuritaires, a créé une grosse demande pour l'utilisation de cette dernière technologie humaine.
    Comme je l'ai appris plus tard, les esclaves sexuels beta du Projet Monarch étaient appelées " nanas d'un million de dollars " en référence à la grande quantité d'argent que chaque esclave ferait rentrer dans les caisses depuis un âge très précoce. Dans les années 60, l'utilisation du modèle présidentiel d'esclave sexuel du Projet Monarch coûtait environ 1200 dollars par soirée. Henry m'appelait sa " machine d'un million de dollars ".
    Mon père et ses contrôleurs avait fait leurs devoirs, s'assurant que j'étais victime du Désordre des Personnalités Multiples, certifiée sous total et complet contrôle mental et prête à être utilisée par certains individus hauts placés dans la politique ou l'industrie du 'show-bizzness', avant même d'être adolescente.
    Mais ce dont de nombreux officiels de la CIA pouvaient ou ne pouvaient pas avoir été conscients étaient qu'un groupe puissant auquel je me réfère en tant que "le Conseil", gouvernait secrètement le pays, voire le monde. Ils étaient aussi capables d'accéder aux " escortes contrôlées mentalement " et de les programmer pour influencer subversivement les plus hauts responsables gouvernementaux d'une manière qui puisse bénéficier au Concile. La dernière technologie humaine de la CIA était maintenant utilisée contre notre propre gouvernement.

    " Chacun de nous sera un jour jugé selon ses propres standards d'existence...
    Non par nos standards de vie ; en fonction de ce que nous donnons...
    Pas d'après notre fortune ; sur notre simple bonté...
    Non par notre grandeur apparente. " William Arthur Ward

    _______________________________

    Chapitre 11
    CONTRÔLE DE L'ESPRIT DANS LES PRISONS

    Vêtue de sandales blanches, d'une chemise et d'une jupe rouges, je m'envolais en hélicoptère pour Sacramento en Californie, arrivant à la Prison de Vacaville. C'était une autre expérience de contrôle mental, mais seulement cette fois, ce n'était pas sur moi. Les programmes de contrôle mental étaient mis à l'essai sur les détenus - les programmes qu'ils voudraient éventuellement implémenter sur les criminels, les soldats, etc., s'ils fonctionnaient. Le Gouverneur Reagan, qui était occupé à visiter les installations, n'était pas dans les environs quand ils torturèrent et programmèrent les prisonniers. Il sortit avec un fonctionnaire de la prison pendant qu'on m'emmena pour délivrer la partie verbale de la programmation aux hommes.
    Sur l'un des côtés du passage, les détenus étaient laissés tranquilles, et de l'autre, on leur avait agrafé des électrodes avec un bandage autour de la tête et des poignets, et on leur donnait des décharges électriques. Alors, un garde m'utilisa pour dire des phrases de programmation telles que " Je ne commettrai pas de crime. Je me comporterai en société comme un bon citoyen. Je n'offenserai plus personne. Je ne violerai plus. Je serai calme. Je serai paisible. Je ne me battrai pas. Je ne jurerai plus. Je serai un atout pour la société. Je suivrai les ordres. J'obéirai aux directives. Je servirai mon pays au mieux de mes capacités. " On avait même relié leur pénis aux électrochocs en tant que tactique de programmation par traumatisme. Quand ils étaient torturés, les hommes se mettaient à suer à grosses gouttes et certains pleuraient, et après le traumatisme, on me faisait délivrer les phrases. Chaque fois que je me retrouvais seule avec eux, une personnalité renégate en moi et qui pouvait établir un rapport et sympathiser avec leur état critique, glissait dans la suggestion : " Je combattrai pour ma propre liberté ".
    Un homme était assis en se tenant la tête entre les mains et en pleurant. Son gros orteil était soumis à des décharges par le biais d'un manchon qui l'entourait. Ces hommes étaient en train de se tordre de douleur et étaient émotionnellement brisés quand on les amenait devant moi pour leur délivrer les suggestions de la programmation. On m'avait dit de délivrer les messages lentement, distinctement et doucement de sorte que leur esprit subconscient devrait essayer de s'en emparer. L'esprit conscient était à ce moment largement hors course. Certains hommes urinaient sur leur lit quand ils étaient électrocutés. Leur corps était pris de secousses, ils transpiraient abondamment et criaient. Un homme qui pouvait encore parler me supplia ensuite : " Pourquoi me font-ils cela ? Aidez-moi. S'il vous plaît, aidez-moi à sortir d'ici ". C'était atroce.
    Reagan et moi avons étés conduits ici puis ramenés par hélicoptère. C'était un projet top secret. Quand ils en eurent fini avec ces pauvres hommes, ils n'avaient même plus besoin de fermer les cellules à clef. Ils apparaissaient et agissaient comme s'ils étaient comateux.
    À un moment, ils dirent que cela revenait moins cher de garder les criminels en prison que de les condamner à la peine de mort. C'était probablement pour qu'ainsi ils puissent poursuivre leurs expériences sur l'esprit.
    (NdeN: Vacaville a fait les frais de telles nouvelles à plusieurs reprises. Voir le lien suivant. Anglais.)

    Le système pénitentiaire d'Ottawa

    Au début des années 1970, il y avait une colonie pénale à Ottawa, au Canada, avec laquelle Reagan correspondait et collaborait pour comparer leur taux de succès avec les nôtres. J'étais transportée là-bas par avion avec Reagan de manière à retenir complètement et efficacement dans ma mémoire 'compartimentée' toutes les données statistiques sur leurs projets relatifs aux détenus. Au début des années 70, les détenus étaient particulièrement ciblés, comme les préscolaires le furent à la fin des années 70. Une fois sur les lieux de la prison, Reagan dut montrer un laissez-passer spécial à l'homme devant la porte. C'était une porte à l'intérieur, pas celle par laquelle tout le monde passait pour entrer. La zone où nous fûmes escortés était de sécurité maximale, ce qui semblait indiquer qu'elle avait reçu cette dénomination à cause de dangereux criminels, mais on y maintenait le plus haut niveau de sécurité à cause de la nature sensible des expériences qui s'y déroulaient. Reagan dit aux gardes quand nous sommes passés : " C'est OK, elle est avec moi ". Ils se contentaient généralement de me faire signe [d'avancer] à ces seuls mots. Une fois, dans l'une des prisons où nous allions, un garde noir dit : " Que diable … ? " quand Reagan lui montrait son badge et essayait de me faire passer..
    Cela énerva tellement Reagan qu'il regarda le gars et lui dit : " Avez-vous une autorisation ? ". Le gars répondit : " Non ". " Bien, c'est pourquoi vous êtes derrière ce bureau et que je suis autorisé à passer " répondit Reagan en colère.
    Le garde répondit simplement : " Comme vous voudrez, Monsieur ". Et nous sommes passés. Après ça, ils m'obtinrent une autorisation quelconque de sorte qu'il n'y ait plus problèmes ou de questions posées lorsque nous passions ensemble. Mon travail, une fois que nous étions dans la zone de sécurité, consistait à enregistrer avec ma mémoire photographique toutes les statistiques sur les projets. Ensuite à New York, je fournissais à Henry les dernières données. Henry prenait de brèves notes, peut-être pour exploiter certaines données statistiques. Je ne sais pas trop.
    Reagan et moi allions de la même manière dans des zones de sécurité de la NASA. On m'y faisait pénétrer pour enregistrer aussi de manière photographique les données de ces zones dans les fichiers de mon esprit.
    Parfois nous portions des casques blancs et d'autres, des lunettes de protection étaient requises dans différentes zones. J'aimais quand je devais les porter parce qu'alors je ne restais pas si longtemps. La raison pour laquelle j'étais là n'était généralement pas acceptable ou compréhensible parce que j'étais une fille (et plus tard une jeune femme)... C'est pourquoi ils créèrent " mon fils Danny " parmi les fichiers de mon esprit. C'était peu commode de recevoir autant de questions là où, si j'avais été un homme, les gens n'auraient pas été aussi curieux.
    Les fonctionnaires de la prison canadienne étaient très coopératifs dans leur effort de partager leurs données sur le contrôle mental des criminels. Ils voyaient le contrôle mental comme un moyen de contrôle bienveillant d'une population qui était destinée à faillir. Ils voyaient les expériences et recherches comme utiles à ces criminels en tant que moyen de se déplacer plus librement dans la société sans la mettre en danger. Ces statistiques représentaient le travail préparatoire pour la prolifération d'un beaucoup plus haut niveau technologique que ce qui avait été possible auparavant. Ils avaient commencé à travailler sur les enfants de la maternelle chez qui on installait la structure de programmation de base de sorte que cette fondation soit déjà en place dans les années à suivre pour une utilisation future, avec une structure solide sur laquelle n'importe quoi pouvait être construit.
    Kissinger était totalement partisan du système des cibles préscolaires parce qu'il était sûr qu'il était infaillible et indépendant, tandis qu'il voyait constamment le système pénitentiaire comme une zone de vulnérabilité puisque les sujets étaient plus âgés et n'avaient pas la programmation fondamentale verrouillée en eux et reliée à autre chose que les médicaments ou la torture. Nombre de ces hommes étaient placés dans des cellules capitonnées individuelles et drogués, électrocutés, soumis à des expériences. Ils expérimentaient les effets de médicaments, de musiques, d'implants et de suggestions hypnotiques en combinaison avec ces autres stimuli.
    De nombreux pays étaient intéressés par la technologie du contrôle mental. Dans certains endroits, elle était marchandée contre des faveurs ou différentes affaires faites avec un pays, mais nous conservions la technologie d'avant-garde.

    La NASA

    Au cours des années suivantes, Reagan amena quelques prisonniers à un certain endroit pour en faire la démonstration devant les officiels de la NASA. Il leur montra les progrès qu'il obtenait en lobotomisant "artificiellement " ces criminels (auxquels Reagan se référait souvent en tant qu'" indigents "). Il ne s'agissait pas d'une réelle chirurgie, mais d'implants qui d'une certaine manière contrôlaient les réponses neuronales au cerveau, rendant les prisonniers incapables de faire autre chose que ce qu'on leur demandait. Il démontra comment, lorsqu'ils étaient en colère, ils ne répondaient pas violemment. Il avait même des personnes qui leur jetaient des choses (comme un seau rempli de liquide) - quelque chose qui aurait normalement rendu n'importe qui en colère. Il décrivit comment il pouvait justifier le licenciement d'une partie du personnel pénitentiaire, éliminant ainsi une partie de la coûteuse direction du système carcéral de manière à réduire le budget de l'état. J'avais le budget d'état dans mes fichiers mentaux, fichiers qui étaient particulièrement utilisés durant l'époque pendant laquelle Reagan était Gouverneur.

    Démonstrations de contrôle mental

    Durant une démonstration, Reagan dit : " Déshabilles-toi comme effet surprise et rend ces scientifiques dingues, comme tu m'as fait à moi la première fois ". Ils faisaient la démonstration de toutes les utilisations possibles pour l'application du contrôle mental - comme pour le contrôle du comportement (violence), ou pour les agents secrets comme moi, un fichier mental ou un esclave sexuel pour le gouvernement, pour que les hommes ayant de hautes fonctions puissent avoir leurs besoins satisfaits sans risques pour la Sécurité d'État. Ces hommes pensaient qu'ils avaient effectivement une telle importance. L'élite, en fait.
    Reagan dit : " notre travail est si vital pour combler les besoins de la majorité qu'avoir une petite aide comme celle-ci fait la différence quant à la manière dont nous pouvons nous acquitter de nos tâches dans notre champ d'action. Vous verrez que c'est la technologie du futur ".
    Lors d'une autre de ces démonstrations, il y avait un militaire en uniforme vert avec un tas de décorations sur sa poche et un amiral en casquette blanche et un uniforme orné de toutes sortes de pièces métalliques. Ils étaient là pour la démonstration d'esclaves sous contrôle mental et pour voir ce qui pouvait être fait pour les aider pour tirer le maximum de leurs " hommes ". Ils prirent soigneusement des notes pendant que le Gouverneur Reagan parlait et regardèrent attentivement pendant qu'on faisait la démonstration sur moi.
    Quand il faisait ma démonstration après 1976, Reagan expliquait à l'audience : " Maintenant, celle-ci a eu un enfant et vous pourriez penser que comme esclave sexuel ceci la met hors de service. Faux ! Ce qui arrive est qu'elles deviennent aussi maternelles dans leur aide au développement du gouvernement que dans celle apportée à celui de leur enfant, et, comme je suis sûr que vous le savez tous très bien, rien ne met plus en rogne une mère que quelqu'un touchant à son enfant. Et ceci, Messieurs, est précisément ce que nous faisons. La mesure dont cette femme aime son enfant est celle de ce qu'elle fera pour le protéger. Tout ce que nous avons à faire est d'altérer légèrement sa perception de manière à lui faire craindre que son enfant ne soit blessé, et vous accédez ainsi à la plus haute source de dévouement et d'émotion intense qui puisse être régulée en fonction de l'occasion ".
    Nous poursuivimes avec le " discours " suivant : " nombre des plus grands esprits de la nation supportent cet effort, depuis la recherche scientifique jusqu'au financement bancaire, et ces hommes sont parmi ceux qui garantiront que nous, dans ce pays, ne serons pas dépassés par le Communisme. Ceci serait notre mort si nous échouions à poursuivre ces recherches particulièrement utiles, car les Communistes sont déjà leaders dans le domaine du contrôle du comportement. Ils ont déjà envoyé un singe sur la Lune et nous savons qu'ils font des progrès majeurs dans le domaine du contrôle mental sur leurs victimes. Donc, nous ne devrions pas devenir la proie de leur intention diabolique, mais nous efforcer de conserver quelques longueurs d'avance. Nous devons au peuple de ce pays d'avoir la meilleure technologie que l'homme ait à offrir. Nous ne pouvons attendre. Nous devons le faire maintenant de manière à préserver notre liberté ".
    D'une certaine manière, Reagan croyait réellement qu'il défendait les droits de prisonniers et favorisait la sécurité du peuple. Ce dont il parlait était finalement de soulager l'esprit perturbé de ces criminels en altérant leurs fonctions cérébrales. " Des lobotomies sans lobotomie ", comme le disaient toujours ceux qui parlaient de cette technologie.
    Kissinger pensait que le truc des prisonniers était " un gaspillage de temps précieux quand des technologies plus productives pouvaient être appliquées sur des sujets plus brillants plutôt que de les gaspiller sur les populations de prisonniers ". Henry disait qu'il pensait que Reagan était un imbécile absolu qui n'avait pas l'autorisation d'opérer. Je ne savais pas exactement ce qu'il voulait dire par là.
    Reagan fit des choses horribles pour démontrer ses progrès avec la population carcérale, jusqu'à même enfoncer une longue aiguille dans l'un des prisonniers pour montrer qu'il ne ressentait désormais plus aucune douleur, interne ou externe, et ne serait plus un problème ni pour lui-même, ni pour la société. Reagan dit comment ils étaient capables de définir un nouveau cadre pour la vie de ces gens. Il parlait des projets de contrôle mental faits pour " normaliser " les prisonniers qui devaient retourner dans la rue. De cette manière, ils pensaient qu'ils pourraient vider les prisons et réduire une grande portion du budget de l'état, et cela aiderait aussi bien le financement fédéral. Sa vision était qu'un jour tous les criminels pourraient être " soignés " de cette manière et vivre une vie exempte de crimes en société, non enfermés derrière des barreaux.
    Il y avait de vrais programmes instillés dans l'esprit des prisonniers avec le recours à des équipements audio et autres situés en divers points du pays. Certains d'entre eux ressemblaient à des chaises électriques, mais ils étaient modifiés de manière à délivrer des doses de courant contrôlées pour simplement ralentir ou altérer l'esprit dans certaines zones. Il disait que ces hommes étaient simplement " ritualisés ", ce qui voulait dire qu'ils se réveillaient à la même heure chaque matin, prenaient leur petit déjeuner, allaient au travail, rentraient chez eux, regardaient la télévision, mangeaient leur diner, allaient se coucher. Reagan se mit à rire quand il dit : " nous sommes allés même aussi loin que de leur suggérer de conserver leur pelouse et leur cour impeccables de manière à préserver l'image du quartier. Ceci se répand dans toutes les couches de la société. Ces gens deviendront productifs et le coût de nous tous, contribuables, sera réduit et, finalement, en améliorant encore cela nous pourrions même ne plus avoir besoin de notre système pénitentiaire. Nous aurons une société libérée du crime. Imaginez cela juste un peu !"
    Henry devenait crispé quand il entendait parler des idées de Reagan et il le réprimandait souvent devant moi pour agir de manière irresponsable en faisant sortir un produit qui n'avait pas passé l'épreuve du temps. Henry disait qu'une expérience faite dans le domaine public (même s'il s'agit de criminels) était risquée, parce qu'il n'y avait aucun contrôle en place pour s'assurer que la mémoire de la personne resterait verrouillée. Pas plus que, Henry raisonnait, " nous ayons passé l'épreuve du temps pour savoir si les expériences marchent. Vous renvoyez ces gens dans la société sans aucun contrôle extérieur et aucun moyen de les surveiller. Cela mène au désastre, Ron." Bien sûr, je n'ai jamais imité l'accent d'Henry quand je délivrais ses messages, mais c'est ainsi que je les ai entendus.
    Mais Reagan avait le pouvoir de faire ce qu'il voulait et donc il le faisait, et Henry se contentait de secouer la tête et de dire : " Ce sont des gens comme lui qui vont régner sur tout le territoire pour le reste d'entre nous ".
    Henry travaillait derrière la scène à essayer de rallier contre Reagan d'autres politiciens californiens puissants, comme Alan Cranston, dans des secteurs qui ne seraient pas détectés mais seraient sentis par Reagan. Il voulait le mettre hors jeu avant qu'il " ne ruine les perspectives d'avenir ". Peut-être que le décès récent de Ronald Reagan est plus qu'un effet ou conséquence de la maladie d'Alzheimer.

    Kissinger et Reagan avaient souvent des discussions vives quand Henry faisait part de son opinion, mais Reagan rationalisait cela et le repoussait en disant qu'Henry était un " crâne d'œuf déséquilibré " ou un " intellectuel déséquilibré " selon son interlocuteur. Mais publiquement, il se comportait comme s'il s'entendait bien avec Kissinger. Cela n'a jamais été le cas, en dépit du fait qu'Henry me préparait avec de soi-disantes " faveurs " pour Reagan, comme utiliser des fichiers mentaux spéciaux et des plaisirs sexuels. Il ne laissait pas son mépris pour Reagan aller jusqu'à l'utiliser pour son propre bénéfice. Alors que Reagan poursuivait et menait à bonne fin sa grande contribution à la société, Kissinger me glissait toutes sortes d'informations à transmettre à Reagan. J'étais censée essayer de le faire changer certaines lois ou mettre son véto à certains projets ou se montrer accueillant envers des politiciens ou des dirigeants étrangers - la liste était sans fin et Henry Kissinger " travaillait sur Reagan" depuis des années. Puisque j'étais si intimement liée à Reagan au fil des ans, Henry saisit l'occasion en or d'influencer Reagan à la Maison-Blanche. Henry sentait qu'il était important de voir au-delà de l'apparente faiblesse de Reagan et investit sur lui pour son propre bénéfice et ses propres fins.

    Henry Kissinger et l'engouement pour le Nouvel Âge


    Henry Kissinger manipula également le mouvement du Nouvel Âge. Henry disait que les gens qui croyaient que des guides et des maîtres les dirigeaient méritaient d'être guidés par des maîtres, et il se considérait lui-même comme tel. Henry disait que je pouvais faire confiance à quiconque portant un cristal comme faisant partie de ma " famille humaine "… c'est-à-dire ce qu'il appelait notre groupe d'esprits contrôlés parce que c'était une expérience de famille en dynamique : reproduction, éducation, etc. Ces expériences englobaient tout ce qui affectait une personne, et ils sensaient qu'ils pouvaient aussi bien inculquer aux esclaves ce qui seraient le meilleur pour leur propre future progéniture.
    Tout un business était fait à partir du Nouvel Âge pour la communauté d'esclaves. Alors que des livres et des gadgets étaient créés pour ceux qui cherchaient la vérité, ceux qui s'autoproclamaient " les élus illuminés ", qui étaient " dans la connaissance " manipulaient les idéologies spirituelles de manière à cacher nombre de leurs réalités d'esprits contrôlés. Ce qu'il y avait derrière le gros de ce mouvement était en réalité un groupe d'hommes qui contrôlait des robots à l'esprit contrôlé et conduisant le troupeau dans la direction voulue.
    J'étais programmée pour délivrer à un célèbre channel de Los Angeles les mots à dire juste avant un forum du Whole Life Expo (Exposition pour la Vie Globale) au cours duquel il transmettait le message par channeling, dans un auditorium, à un très large groupe de gens qui étaient dans un état méditatif altéré de la conscience. Henry me donna les mots exacts à dire. Ils ciblaient des esclaves de haut niveau et ceci englobait ceux qui étaient programmés avec les baleines et les dauphins, les anges, les maîtres ascentionnés, les religions orientales, l'énergie, la physique des quanta, les OVNIS, les aliénigènes, le channeling, et le fait d'écouter vos guides ou les anges. Ils sentaient que si cet agenda échouait avec Los Angeles alors le reste échouerait aussi parce que la plupart des adeptes du Nouvel Âge étaient modelés d'après Los Angeles.
    J'ai rencontré des personnes souffrant du Désordre des Personnalités Multiples qui pensaient faire du channeling avec des entités, quand, en fait, ils se trouvaient juste recevoir des parties de leur propre structure de personnalité. Un jour, une femme channel dénommée Shirley offrit gracieusement de me faire du channeling en privé. Plus tôt, d'autres personnes l'avaient payée 50 dollars pour le même service, mais je n'étais pas parmi elles. Je lui dis que j'aimerais lui poser une question relative à elle-même pendant qu'elle se trouvait en état de channeling. Elle était d'accord. La réponse à la question de savoir " si Shirley avait était impliquée dans un quelconque truc d'abus rituel " fut : " Shirley n'est pas encore prête à faire face à cette réalité ". Le channeling peut être une manière très astucieuse de masquer le Désordre des Personnalités Multiples et offre une couverture quand le système de personnalités surgit en pleine conscience, car il est alors toujours expliqué comme une " entité ".
    Quand on dit à un esclave que " c'est le destin que tes guides et maîtres t'aient conduit ici ", ou " de se sentir attiré par un lieu " ou qu'on lui dit encore : " Tu sais que ce n'est pas par hasard que tu es ici ", ceci peut le rendre détraqué, car inconsciemment il sait que c'est vrai, et il sait qu'il n'est pas supposé en parler, aussi, cela produit une double injonction contradictoire dans son système mental contrôlé.
    Quand je suis arrivée à Kauai, des gens que je n'avais jamais rencontrés auparavant m'approchèrent chaleureusement et affectueusement, m'embrassèrent et me laissèrent le message : " Bienvenue à la maison ". J'étais suffisamment consciente et guérie pour savoir qu'ils n'étaient pas conscients de venir de délivrer une puissante phrase de programmation Oz destinée à verrouiller ma programmation, assurant ainsi que je ne pourrais accéder aux niveaux les plus profonds de mon esprit qui étaient utilisés pour la " sécurité nationale " et n'étaient pas supposés m'appartenir.
    Le mouvement Nouvel Âge a été utilisé pour introduire le Nouvel Ordre Mondial. C'était une partie d'une mini expérience sur le contrôle mental total et complet. Henry a créé de nombreux concepts à utiliser. Cette expérience pilote fut mise en oeuvre à Los Angeles. Elle utilisait une nouvelle forme de philosophie pour abrutir les gens jusqu'à ce que les technologies plus avancées puissent prendre la relève en créant la parfaite utopie vers l'an 2000. Le Nouvel Âge était la formule pour achever la prise du pouvoir - une manière de conduire de nombreuses personnes dans les directions voulues pour se trouver en total contrôle de Los Angeles vers l'an 2000. Alors que j'habitais encore en Californie, on m'avait donné des instructions pour lire, regarder ou aller à des trucs du Nouvel Âge.
    Ils commencèrent alors à faire en sorte que les gens identifient la " globalisation " avec l'amour, la paix et de bons sentiments. De nombreuses chansons préparaient aussi les gens à cette réalité globale et unitaire du monde avec une programmation au niveau de chaque mot prononcé. Et il y avait toujours liste après liste des séries de nombres à quatre chiffres. Je ne sais pas ce qu'ils signifiaient, mais je les débitais rapidement plus tard à différentes personnes, spécialement à Reagan.
    J'étais aussi programmée pour rapporter des informations à différentes banques dans la région. L'une était la Safra Bank à Woodland Hills. Un jour comme un autre, je me dirigeai vers le parking souterrain et lorsque je pénétrai dans la zone des emplacements de parking, j'étais programmée pour basculer sur Sharon. Ensuite, je me rendis à la banque. Quand j'entrai dans la banque, un homme en costume attendait et me fit signe d'aller vers une caissière. Je fis comme indiqué et lui remis l'enveloppe que deux hommes venaient de me donner dans le parking. Je ne savais jamais exactement ce qu'il y avait dans les enveloppes, mais quand le caissier les ouvraient, il y avait généralement des chèques et des billets. À la fin de la transaction, je retournai au bureau, basculais maintenant sur Susan, et n'avais pas la moindre idée d'avoir été utilisée juste avant pour effectuer une opération bancaire illégale pour mes contrôleurs. Des années plus tard, lorsque je préparais mon divorce, mon avocat Californien, Doug Wolfe, me dit d'aller signer des papiers à la Safra Bank avant que la procédure de divorce ne puisse avoir lieu. Je me rappelle m'être sentie réellement effrayée, mais allais à la banque comme il m'avait dit et signai un papier qu'un homme posa sur son bureau pour signature. Bien que je fus à la banque, un homme pressa un pistolet paralysant dans mon dos près de ma taille en me disant : " Tu es perdue. Fais ce que je te dis, ni plus ni moins, ou tu vas être dans de beaux draps ".

    Reagan est Président et notre Vice-Président est pédophile

    Au long des années, Kelly fut de plus en plus prise dans le même traumatisme que j'avais reçu. De manière répétée, elle était torturée, traumatisée devant moi, dans un effort de me maintenir tranquille. Ses tortures fragmentaient son psychisme de façon à créer de multiples personnalités en elle-même, pour qu'ainsi elle puisse suivre mes pas et devenir ensuite " modèle présidentiel ". Malheureusement, elle n'eut pas à attendre très longtemps pour ce soi-disant " privilège ", alors que notre Vice-Président nouvellement élu à l'époque, George Bush, était et est toujours un pédophile et Kelly a été créée pour être, comme je le découvris plus tard d'un agent renégat de la CIA, ce qui était appelé un " Bébé de Bush ".

    Barbara Bush apporta des casses-croûte sur un plateau, au grand plaisir des enfants rassemblés autour de son mari. Les enfants dévorèrent à belles dents les biscuits saupoudrés du sucre en forme d'animaux pendant qu'ils écoutaient le Vice-Président leur lire des histoires. La réalité créée et le programme d'accompagnement qu'il délivrait étaient : " Vous êtes ce que vous lisez " C'était à l'époque où ils vivaient dans la maison avec la cheminée plate en pierres. Cette cheminée était pourvue d'un banc sur lequel on pouvait s'asseoir en face du feu et George avait son fauteuil près d'elle. Il y avait une table à café de couleur brune et un canapé, et des toiles de chiens Springer Spaniels, tenant des oiseaux dans leur gueule et en arrêt, décoraient les murs. George était friand de ces sortes choses.
    Barbara pensait que j'étais ici en tant que représentante d'un nouveau système éducatif mis en place en Californie, ce qui était vrai, bien que je n'en étais pas pleinement consciente, et on lui avait dit que les enfants étaient là pour démontrer simplement au Vice-Président comment le nouveau système marchait bien. Mais plus tard, quand la démonstration était terminée, Bush amenait Kelly ou un autre jeune enfant à la salle de bain ou pour " leur montrer quelque chose de spécial ".
    Durant la disparition du Vice-Président avec ma fille, Barbara parlait souvent beaucoup, toujours souriante, gaie et aimable, à propos de rien de bien important. Elle parlait en général beaucoup, spécialement quand son mari n'était pas dans la pièce. J'étais nerveuse, même sous contrôle mental, car une partie de moi sentait que ma petite fille était en train d'être violentée. La connexion entre une mère et son enfant rend généralement non nécessaire la présence physique pour connaître l'état de l'enfant, et il était difficile de suivre la conversation avec Madame Bush alors que mon enfant était violée. Le Vice-Président ramenait Kelly quand il avait terminé. Elle paraissait hébétée et dans les vapes.

    Bob Hope arrangeait les choses de nombreuses autres fois pour que George soit avec Kelly dans des cadres différents et plus privés. Un week-end, les Bush étaient allés à leur maison dans la montagne pour se reposer, et George amena son chien à la chasse aux oiseaux. Barbara restait à l'intérieur à cuisiner et faire une tapisserie, telle une femme d'intérieur typique. Je crois qu'elle n'était pas consciente que son époux attentait à la pudeur de quantités de petites filles. George disait toujours qu'il avait une place spéciale dans son cœur pour les petites filles.

    Bob Hope utilise sa petite " pouliche "

    Quand Kelly était amenée aux réceptions données par Bob, il la prêtait à des pédophiles connus qui aimaient les petites filles. Alors, il possédait réellement ces hommes. Il se comportait avec des hommes qu'il savait être pédophiles comme si ce n'était pas un problème d'avoir des relations sexuelles avec un enfant. Sans réellement le dire clairement, il décrivait l'attitude et, après que la personne ait violé l'enfant, il disait quelque chose du genre : " Savez-vous ce qu'une nouvelle de ce type pourrait faire à votre carrière ? à votre famille ? "… Pendant les réceptions, ces enfants étaient gardés dans une pièce arrière. Le soir venu, j'étais programmée pour agir comme " l'hôtesse ". Je recevais pour instructions d'accompagner les hommes jusqu'à la chambre où les enfants attendaient dans ce but délibéré. J'étais même programmée pour faciliter leur choix de l'enfant désiré pour la soirée. Parfois, agissant par la programmation, j'offrais même ma propre fille à ces hommes.
    Kelly était amenée à Bob les nuits où les hommes avec une " préférence pour la jeunesse " étaient présents. Bob avait recours à cela avec des gens tels que George Bush. Quand Kelly avait presque trois ans, elle fut fournie à George Bush pour satisfaire ses désirs pédophiles. Bob invitait un groupe d'hommes " préférant les plus jeunes " et leur procurait ensuite un groupe d'enfants, des deux sexes, pour leur plaisir.
    Avec les gens qu'il voulait réellement posséder ou utiliser, il prenait des photos de la maltraitance avec des appareils cachés. Il savait simplement comment posséder ces gens. Alors par la suite, il leur montrait les photos du viol des enfants et disait : " Nous ne voulons bien sûr pas que ces photos ou d'autres du même genre tombent entre de mauvaises mains et ruinent totalement votre carrière, n'est-ce pas ? " Ensuite, il disait simplement à l'homme ce qu'il voulait en échange de l'impunité. Cela avait souvent un rapport avec le fait d'avoir un autre " ami " dans une position " clef " au gouvernement, changer d'orientation au cours d'un procès, ou faire en sorte qu'une loi passe ou subisse un véto. Il savait simplement comment contrôler ces hommes et habituellement ils s'y conformaient sans dire un mot.
    En 1993, alors que j'essayais de me libérer et de faire publier mon premier livre, à cause du fait que je ne coopérais pas et que je ne me " tenais pas tranquille ", on m'a violée puis forcée, sous contrôle mental, à poser pour des photos qui, si on les montrait à d'autres personnes, m'auraient totalement discréditée, me faisant apparaître auteur. Dans ce type de scénario, les médias sont contactés et une personne est publiquement discréditée - fin de la menace ! Dans les années 60 et 70, j'avais observé des personnes en position d'autorité être compromises de manière similaire de sorte qu'elles puissent être utilisées. Et dans les années 90, j'observais avec horreur que de nombreux individus sérieux qui tentaient de mettre fin aux abus et d'aider les victimes étaient publiquement discrédités, souvent dans les principales chaînes télévisées.

    Chassée par Bush sur le ranch Jordan de Hope
    George Bush était l'un des hommes en uniforme de safari, sur la propriété de Bob Hope, à m'avoir chassée quand Kelly était petite. Bob se mit à rire quand il énonça les règles. " Il n'y aura pas de course, ni de cachette. Tu te promèneras simplement le long du chemin, en sautant si tu veux, en dansant si tu le souhaites, mais PAS de course, jusqu'à ce que tu sois PIÉGÉE. C'est inévitable. Il n'y a pas d'échappatoire, spécialement avec un chasseur aussi expert que George ". Me regardant dans les yeux, Bob dit : " y a-t-il des questions ? "
    Je fis non de la tête.

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    Mission à Maui

    J'entendis mes contrôleurs expliquer, alors qu'ils parlaient entre eux, que le Puamana était spécialement sélectionné pour des raisons de sécurité et avait l'avantage de pouvoir être accessible aussi bien par terre que par mer. Des hydravions pouvaient voler secrètement et transporter des dignitaires étrangers pendant la nuit. C'était un complexe avec une porte gardée qui était facilement protégé par les Services Secrets, assurant secret et intimité.
    J'étais à Maui pour un séjour de dix jours, supposée être en vacances avec ma famille, et utilisée la plupart du temps comme intermédiaire entre Reagan et beaucoup d'autres politiciens et dignitaires étrangers. Pendant que j'étais à Puamana, mon travail était de contribuer à rendre plus agréble le séjour de Ron et Nancy. Je recherchais les restaurants et les lieux où l'on pouvait commander de la nourriture et faisais tout ce que l'on m'avait dit de faire pour les aider, en plus d'être la " secrétaire " pour les fichiers de mon esprit, fichiers utilisés pendant leurs réunions, et d'avoir ensuite des relations sexuelles avec Reagan. Je prenais des notes en sténo, mais pouvais aussi, chose plus importante, secrètement " enregistrer " tout ce que je voyais et entendais pour plus tard en faire le rapport à Kissinger ou au Conseil.
    Nancy pouvait voir que j'avais un travail crédible, mais quand elle disait quelque chose d'accusateur sur moi, Reagan le niait et lui disait qu'elle ne faisait que réagir de manière excessive, et il l'embrassait alors très amoureusement sur la joue. D'une façon ou d'une autre, elle n'était pas contente que je sois là. Elle était en colère et désagréable avec moi. Elle n'aimait pas du tout quand j'étais dans les environs. Je n'aimais pas non plus lorsqu'elle était dans les parages. Tout le monde était sur ses gardes à cause de son attitude. Reagan parlait parfois d'elle en disant qu'elle n'était pas raisonnable, mais la plupart du temps, il la défendait, disant qu'elle était probablement juste un peu fatiguée ou grincheuse.
    J'aimais quand Ronnie (c'est ainsi qu'il me demandait de l'appeler quand nous étions seuls) et moi marchions sur la plage ensemble pendant la nuit, parce qu'il n'y avait personne pour nous interrompre. Nancy ne savait jamais où nous étions " réellement " parce que Ronnie disait aux agents des Services Secrets de lui dire qu'il allait à une réunion. Ils avaient pour instruction de garder un œil sur elle et de s'assurer qu'elle restait à l'intérieur pour sa sécurité parce qu'il faisait noir dehors. Reagan leur disait qu'il aurait besoin de moi à la réunion, car j'étais à certaines occasions sa secrétaire, et il aurait besoin de mon aide. Ensuite nous sortions ensemble pour " faire le travail ".
    Parfois nous travaillions réellement, mais plus souvent nous sortions seuls et je lui procurais ma " pleine attention sexuelle ". Je lui donnais aussi toute information que j'avais pour instruction et programmation de lui transmettre de la part du Concile ou d'autres personnes. Une fois élu, Ronnie me dit : " Peux-tu croire que je suis Président maintenant ? Est-ce que cela fait une différence pour toi d'être ici avec moi ? ". Il se plaignait souvent à propos de son travail et de sa difficulté. Cela semble être quand je traduisais ses mots par " S'il te plaît, dorlote-moi, bichonne-moi, prends soin de moi, choies-moi ", et je le faisais. Quel que soit ce qu'il voulait ou ce dont il avait besoin, j'étais programmée pour le lui fournir.
    On m'avait assigné une chambre côté plage à Puamana. La chambre n'était en fait qu'une autre de ses chambres, un endroit où on me conduisait pour être seule avec lui. Les agents des Services Secrets faisaient comme s'ils ne voyaient pas ou ne regardaient pas, mais parfois je remarquais qu'ils ricanaient ou souriaient à propos de choses que je faisais avec Reagan.
    Le Concile me disait quoi faire, quand le faire, quels mots utiliser, et quoi dire plus tard dans la soirée pour avoir le plus grand impact sur Reagan. Je ne pense pas qu'il ait jamais su que j'étais " une actrice " - distribuant les faveurs pour lesquelles j'avais été programmée -, mais il adorait ! Il en fut de même pour Tricky Dick (Nixon). Ces tactiques marchaient spécialement bien sur des hommes âgés, et c'était exactement ce qu'ils étaient.
    Ce dernier rendez-vous nocturne au Puamana, à la petite piscine donnant sur la mer, je sautai hors de la piscine et commençai à dégrafer le haut de mon maillot de bain. Je l'ôtai et me mis à danser, le faisant tournoyer comme on me l'avait appris, et chantai : " Let me entertain you (laisse-moi te divertir) " comme je l'avais fait pour Bob Hope. Reagan riait et était un peu embarrassé, je suppose à cause de la présence des Services Secrets, mais il ne me stoppa pas. J'enlevai doucement le bas du maillot, dansai davantage autour de lui, puis me glissai à nouveau dans la piscine près de lui et nue. Cette personnalité, spécialement créée pour et dévouée à Reagan, était très à l'aise avec sa nudité. Je n'ai même pas ensuite envisagé de remettre mon maillot. Alors que je grimpai hors de la piscine, Reagan m'entoura d'une grande serviette de plage et les agents des Services Secrets ramassèrent mon maillot mouillé et l'amenèrent à l'intérieur.
    Les agents des Services Secrets étaient généralement plus jeunes que le Président, et je pouvais voir dans leurs yeux que j'avais leur respect et admiration, mais j'étais troublée en me demandant pourquoi. Parfois, après cette démonstration, un petit sourire apparaissait sur leur visage.
    Les mots qui vinrent avec ces petits gestes n'étaient pas politiques, mais étaient utilisés par le Concile pour divertir Reagan et le rapprocher de moi, pour lui donner envie de m'avoir. Ils se figuraient que s'il voulait être avec moi, ils pouvaient m'utiliser pour lui glisser d'importants messages ensuite, après avoir fait l'amour, alors qu'il se réveillait, ou le soir quand il s'endormait. Le Concile savait que, s'ils pouvaient le maintenir intéressé et dorloté au fil des ans, ils pouvaient maintenir leur contrôle sur lui.
    J'étais programmée pour le faire se sentir bien. Je faisais tout ce qu'il voulait et l'aidais à se calmer quand il était préoccupé ou peiné, et j'avais même certaines opinions pour lesquelles il était surpris que je sois " assez âgée " pour en avoir de telles. Le Président Reagan disait que j'étais " sage au-delà de mon âge ", mais il ne sut jamais que ce n'était pas réel - le Concile me devançait simplement. Je disais que j'étais si intéressée par son succès et par le succès de notre nation que je lisais des choses dans les journaux et avais de nouvelles " idées " ou perspectives après mes recherches. Ou bien, je disais qu'une idée venait de me venir. Je ne crois pas qu'il ait su exactement à quel point j'étais préparée pour lui. Le Concile savait exactement ce qui rendait un homme heureux, et, fait plus important, ils étudiaient exactement ce que chaque homme aimait ou n'aimait pas, spécifiquement.
    Le Vice-Président nouvellement élu, George Bush, était aussi au Puamana pour son voyage. Lui et Reagan recevaient toutes sortes de leaders qui arrivaient secrètement par hydravion à l'arrière du complexe, au milieu de la nuit. Mon travail était d'aller accueillir beaucoup d'entre eux à leur arrivée et de les conduire à leur chambre dans l'obscurité. Certains étaient des ambassadeurs étrangers. Ils avaient des réunions avec ces gens et eurent une assemblée protocolaire un soir dans la grande salle des banquets qui était utilisée pour les réceptions. Elle était décorée en rouge, blanc et bleu, parce que c'était peu après l'élection de Reagan et Bush, et de nombreux dignitaires étrangers les félicitèrent.
    J'ai entendu Reagan et Bush parler avant la réception, et Bush disait à Reagan que c'était une nuit importante pour poser les fondations de futures négociations avec certains pays étrangers. Ces leaders avaient été conduits ici par avion, y passèrent deux jours, et repartirent également par avion.
    Ceux qui venaient d'Arabie Saoudite devaient être reçus à un autre moment, car j'ai entendu certains d'entre eux dire qu'ils ne voulaient pas " fréquenter " les autres invités. Personne ne parla d'eux aux autres invités. Ils portaient leur robe blanche ou vêtement et avaient pour la plupart le teint foncé.
    George Bush semblait être le patron, pendant la durée des négociations, et je remarquais que Reagan " s'appuyait " beaucoup sur lui pour des conseils et des instructions. Bush avait fait ses devoirs et étudié les différentes situations et Reagan prenait son avis d'expert. Bien que je ne me rappelle pas que Kissinger ait été présent à cette réunion, d'autres fois Reagan prenait aussi conseil auprès de Kissinger.
    George Bush me tombait dessus au moment où je m'y attendais le moins, délivrant souvent un message énigmatique particulièrement terrifiant quand je parlais à quelques ambassadeurs ou politiciens étrangers au cours d'une réception à la Maison-Blanche, d'un gala, d'une inauguration, ou d'un golf avec Hope. Mais cette fois nous étions à Maui au dîner du Président nouvellement élu. Il attendit que personne ne soit dans les environs et il dit : " Je ne sais pas ce que le Président voit en toi. Il doit avoir une de ces paires de lunettes étranges à la Elton John, ce qui te fait paraître détachée du monde, comme un petit homme vert ".
    Plus tard dans la soirée, on me dit de rester dehors sur la plage et d'attendre de recevoir le signal d'une lampe clignotante et ensuite je devais nager à travers les vagues jusqu'au bateau à voiles. Un homme me fit monter à bord. Lorsque nous sommes retournés en Californie, personne dans ma famille ne pensait encore à cette expérience cachée, parce qu'elle était enfouie profondément sous la programmation.

    Le ranch de Reagan

    On me fit aussi visiter le Président Reagan à son ranch, comme je l'avais déjà fait des fois dans le passé alors qu'il était gouverneur. Un homme en costume m'avait prise en face de chez moi à Agoura et j'étais amenée par avion au ranch situé près de Santa Barbara, en Californie. Ronnie insistait pour seller lui-même les chevaux quand il faisait du cheval, même après qu'il devint Président. Il ne voulait que personne (incluant les agents des Services Secrets) le fasse et le faisait donc lui-même. J'avais le cheval brun.
    Le Président Reagan se conduisait de manière très romantique quand nous faisions du cheval, juste comme si nous étions dans quelque vieux film ! Il semble qu'il vivait la plupart du temps dans une sorte de mentalité " de monde du cinéma ". Nous avons parcouru tout le ranch, jusqu'en bas près du bosquet de chênes du côté le plus éloigné. C'était magnifique au printemps, avec de l'herbe verte et des fleurs sauvages aussi loin que nos yeux pouvait regarder. Nous sommes descendus de cheval et il me prit la taille pour me tirer vers lui afin de m'embrasser. Il expliqua : " Un homme a besoin d'une femme jeune dans sa vie pour le faire se sentir jeune ". Je me contentai de sourire. Je le faisais souvent : utilisant peu de mots, je souriais seulement, et étais aimable, serviable et accommodante. C'était pour cela que j'avais été créée.
    Ensuite Reagan chanta " Younger than springtime " (plus jeune que le printemps). Il ota son chapeau et le plaça sur son cœur pendant qu'il chantait, tout comme s'il était dans une comédie musicale. Il pouvait être très sentimental.
    Plus tard, il expliqua qu'il avait des barbelés électriques placés entre les clôtures de bois, pour maintenir les gens à l'écart. Il dit qu'il n'aimait pas avoir à faire cela, mais les Services Secrets lui suggérèrent de s'en accommoder pour des raisons de sécurité. Il expliqua qu'il n'aimait pas avoir tout le temps des gens qui le surveillaient, mais que cela allait maintenant avec le travail - c'était différent quand il était Gouverneur, mais il expliqua que rien ne pouvait changer notre relation. Nous aurions juste à être plus prudents.
    Nancy Reagan était très méchante avec moi, beaucoup plus que Barbara Bush ne l'a jamais été. L'un dans l'autre, Barbara Bush se contentait de m'ignorer, alors que Nancy était très en colère et déterminée à me tenir loin. Je préférais largement quand Nancy n'était pas dans les environs. Quand Henry Kissinger et George Bush rencontraient Reagan au ranch, Nancy leur servait des amuse-gueule. Je n'étais jamais autorisée à en manger, mais m'asseyais simplement tranquillement quelque soit l'endroit ou on me " stationnait " et j'enregistrais les informations dans mon esprit, chaque fois qu'on me le demandait. Henry savait exactement comment me les faire engranger, chaque chose à l'emplacement correct pour pouvoir la retrouver facilement plus tard. Ils se retrouvaient au ranch assez souvent.
    Parfois nous nous envolions pour rencontrer d'importants leaders dans leur propre pays, s'ils n'avaient pas confiance en la sécurité du ranch. Mais la plupart des gens se sentaient pas mal en sécurité là, avec tous les systèmes de sécurité et les agents des Services Secrets.
    J'ai observé les nombreuses techniques de sécurité des Services Secrets, parce que parfois, Henry me laissait avec eux lorsque je n'étais pas utilisée. Henry me fit m'asseoir près de l'agent de l'écran de sécurité et lui demanda de garder un œil sur moi, mais de ne pas me nourrir, ni me parler. J'avais donc la possibilité de regarder l'écran et d'écouter les agents. Ils avaient même des agents placés dans les coins éloignés du ranch, pendant toute la nuit, pour la sécurité. Chaque agent portait un walkie-talkie pour rester en contact avec les autres et avec les agents dans la maison. Un agent des Services Secrets était positionné à l'intérieur de la maison, avec des écrans de télévision et d'autres équipements pour aider à superviser les agents au dehors, et il écoutait en permanence les hommes sur le terrain avec leur walkie-talkie. Les agents faisaient des roulements de manière à ce qu'il y ait toujours quelqu'un de frais et vigilant sur chaque " poste ", 24 heures par jour.
    Reagan en riait beaucoup quand il était Gouverneur et dans les premiers jours de sa présidence, mais il agit différemment à partir du jour où on lui tira dessus. Un peu de la même manière que Nixon devint différent après le scandale du Watergate. Comme si la vie l'avait quitté.

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    Reagan m'a donné une fois un bracelet lorsque nous étions au ranch. Mais je devais le rendre aux hommes qui me ramenaient chez moi à Agoura, en hélicoptère. Nancy était absente ce week-end. Elle n'était généralement pas là quand Reagan et moi étions ensemble pour des relations sexuelles. Mais elle me voyait quand Kissinger et Reagan ou Bush m'utilisaient au ranch pour mes fichiers mémoriels. Elle semblait haïr cela lorsqu'elle remarquait son mari s'animer quand j'étais dans le coin, et par conséquent, elle était méchante avec moi. En fait, même sous contrôle mental, la partie de moi qui était dévouée à Reagan se sentait désolée pour elle, devant être mariée avec lui, s'il avait le même genre de relations sexuelles passives qu'il avait avec moi.

    La conception de notre troisième enfant sous contrôle mental

    En 1980, je ressentais un vif désir pour un troisième enfant, bien que je n'étais pas sûre d'avoir jamais réellement été la seule responsable de cette décision ou si c'était celle du Conseil, de Bob ou d'Henry, etc. Mon mari s'y opposa pendant des mois et des mois, avec le raisonnement logique que nous avions la famille parfaite - un petit garçon et une fille, et pour lui ils étaient suffisants. Mais pour moi, ça ne l'était pas. Je ressentais les douleurs insoutenables de la grossesse depuis longtemps, et ma souffrance semblait croître encore quand le moment de l'accouchement survint. Quand je demandai de l'aide médicale, le Dr. Feldman, mon gynécologue, m'examina et dit : " vous avez un gros fibrome sur l'utérus " et sa voie de résolution, pour éviter l'aggravation de ma condition, était l'hystérectomie. En regardant en arrière cette situation depuis où j'en suis maintenant dans ma compréhension plus saine des choses, je réalise que c'était en fait la tentative de cet homme de m'aider à éliminer mon " hystérie ". Malheureusement, j'étais incapable de comprendre que cette hystérie qui se manifestait physiquement dans ma partie féminine la plus intime, était la terreur et la dévastation enregistrée cellulairement de mes enfants et moi-même. J'étais incapable de penser par moi-même, mais pouvais comprendre ce que je ressentais. Et ce que je sentais dans mon cœur était que je voulais un troisième enfant et que je le voulais désespérément. Je ne savais pas si j'étais programmée pour cela, mais je savais que l'enfant serait un garçon.
    Depuis sa position autoritaire entre mes jambes, alors qu'il m'examinait, les ordres de mon docteur étaient que je pouvais avoir trente jours pour essayer de concevoir un enfant et après ce délai, je devais revenir pour l'hystérectomie.
    Craig et moi avons utilisé la " méthode scientifique ", la même que nous avons utilisée dans le passé pour assurer que le sexe de notre enfant serait masculin. Et il le fut. Daniel Robert Ford est né le 15 mars 1982 à l'Hôpital Los Robles de Thousand Oaks en Californie. J'avais 31 ans. Je n'ai que peu de souvenirs de Danny lorsqu'il était bébé. Lorsqu'il vint me rendre visite au cours de l'été 1996, il me regarda impassiblement et me dit : " Maman, je ne me souviens de rien concernant mon enfance ". Il exposait simplement le fait. Ce qui était très évident pour moi était que mon fils adolescent n'avait aucune émotion attachée à cette déclaration ni même aucun moyen d'y penser à travers la compréhension de ce que cela pourrait signifier. Il semblait qu'il m'en faisait simplement part et, ayant avancé suffisamment dans ma propre guérison pour réaliser ce que tout ceci signifiait, j'étais anéantie. Comprenant maintenant qu'il ne servirait à rien que mes enfants se rappellent quoi que ce soit de leur passé jusqu'à ce qu'ils soient dans un environnement sûr et favorable pour le faire, je me contentais de prendre connaissance de cette réalité et m'engageais encore davantage à faire tout ce qui était en mon pouvoir pour amener cette liberté.

    Jeux de guerre au ranch Jordan pour terroriser Kelly et moi

    Quand Kelly avait environ 3 ans, on nous disait de descendre vers " La fin de la route ", ce que je savais être le ranch Jordan de Bob Hope. Une fois à l'intérieur des clôtures, on nous injectait des drogues, à l'arrière d'une limousine, et on nous disait de commencer à marcher vers le ranch. D'une manière ou d'une autre, soudainement, ma petite fille était partie. Il y avait un groupe complet d'hommes, en treillis militaires, qui, comme je le découvrais plus tard, jouaient à la guerre. Mais dans l'état mental drogué dans lequel on m'avait mise, j'étais " partie ". Quand nous arrivions à notre destination, je ne savais pas consciemment que je m'attendais à le voir, mais la partie programmée et prête pour le rendez-vous avait pour instruction de marcher vers lui quand il apparaîtrait. Parfois, il claquait des doigts devant mon visage ou secouait ses clefs devant mes yeux pour obtenir que je réponde. Il aimait souvent me rencontrer pour le sexe ou pour un échange d'informations dans une cabane de montagne. Il disait qu'il avait besoin d'être quelque temps loin du tourbillon de la vie en ville et j'étais son jouet. Il disait que j'étais meilleure que " Ginny " (le génie) parce que tout ce qu'elle faisait sortait d'une bouteille. Il disait qu'avec moi, il pouvait frotter mon point magique et il était magique - il l'avait touché ! Il s'exprimait avec des phrases courtes et fines. Je le rencontrais aussi à bord de yachts, même quand je pensais que Craig et moi allions simplement en mer avec des amis. Ce qui arrivait le plus souvent était un rendez-vous avec Bob ou avec quelque dirigeant à qui ils avaient besoin de fournir des informations. Parfois Reagan sortait faire une petite excursion sur l'océan et terminait son voyage où nous étions. J'étais alors transportée à son bord pour du sexe et des messages. Parfois je restais toute la nuit avec lui et l'on me ramenait le lendemain.

    Reagan à Mazatlan

    J'étais avec le Président Reagan à Mazatlan, au Mexique. En fait, mon mari et moi avions obtenu une location partagée, la " Suite Présidentielle " à l'Hôtel El Cid de Mazatlan, où nous étions allés les dernières années.
    Un soir, au début des années 80, alors que nous étions en vacances à Mazatlan, Craig et moi nous sommes habillés pour sortir et je commençais à paniquer parce que ma lentille de contact avait glissé à l'intérieur de mon œil et je ne pouvais plus la faire sortir. Par mes tentatives, mon œil était en train de devenir rouge et horrible. Le père de Craig était avec nous à ce moment-là et les deux pensaient que je me comportais de manière très étrange pour être si bouleversée par une si petite chose. Mais mon système interne de personnalités savait que ceci ne l'était pas quand j'approchais d'une mission avec le Président.
    La chose suivante dont je me souvienne est que j'étais escortée par les Services Secrets vers la porte arrière d'un sombre restaurant mexicain. Je rejoignis Reagan dans un box à l'arrière du restaurant et attendis qu'il finisse de manger. Il n'y eut pas longtemps à attendre pour nous retrouver dehors à marcher sur la plage. Nous marchâmes main dans la main le long de la plage, avec les agents des Services Secrets suivant à courte distance. Alors que nous marchions cette nuit-là, Reagan semblait contrarié, particulièrement nerveux. Il dit qu'il était inquiet à propos de " l'état des affaires ". Avec mon orientation sexuelle préprogrammée, mon esprit pensa immédiatement aux affaires sexuelles, mais au fur et à mesure qu'il parlait, je réalisais qu'il parlait des affaires de la nation. Il poursuivit en disant qu'être Président était difficile, que ça l'était beaucoup plus que ce que je pouvais imaginer. Il dit qu'il était préoccupé par la manière dont les choses se passaient et était dérangé par Henry qui avait autant de dossiers dans ses propres mains. Il dit qu'il savait que quelques heures avec moi l'aideraient à changer son humeur.
    Le Conseil m'avait donné quelques mots clefs pour aider Reagan à se relever quand il tombait dans l'une de ses déprimes. Il y avait des phrases très simples comme " Tout se passera bien ", dites pendant que je massais et caressais son front encore et encore. Il semblait répondre à cela comme un chaton qui se mettrait à ronronner. Je le massais généralement partout, devant et derrière, avant de me mettre sur lui pour le satisfaire sexuellement.
    Nous sommes allés dans un motel à petites cabanes sur la plage. Juste nous deux, alors que les agents des Services Secrets étaient tout autour, à l'extérieur. La petite chambre était de style mexicain, avec un dessus-de-lit rouge ayant des nuances de jaune et de bleu, et une petite paire de maracas posées sur un valet en bois. J'ai eu un rapport sexuel avec lui, puis nous sommes sortis. Il ne s'est pas mis à dormir comme d'habitude. Il me teint brièvement dans ses bras à l'extérieur du motel et m'embrassa sur la joue avant de partir avec les agents des Services Secrets.
    Un agent des Services Secrets me ramena à mon mari. C'était une rencontre très rapide, expédiée, comme si Reagan devait aller quelque part ailleurs.
    Craig et moi sommes retournés chez nous en Californie sans connaissance consciente de mon " temps manquant " ni de ce qu'il fit pendant mon absence.

    NASA

    Quand Danny était encore nourrisson, nous sommes allés ensemble nous faire programmer. Il n'avait qu'un an quand ses fichiers mentaux intérieurs ont été créés pour qu'il ait de nombreux points d'accès, sans la nécessité d'autant de traumatismes que quand les miens avaient été créés. Le temps avait montré à nos contrôleurs que les traumatismes eux-mêmes étaient une des causes de la détérioration du contrôle chez les esclaves. En conséquence, Danny a été exposé à leur plus récente technologie, depuis la naissance, et lui et moi étions massivement programmés séparément, ainsi qu'ensemble de manière croisée.
    J'étais là avec Danny quand il avait trois ou quatre ans. Cela ressemblait à une sortie scolaire, mais la série d'événements qui se déroulaient était très différente. Danny portait un short long bouffant de couleur bleue et un T-shirt bleu clair. Nous étions assis avec d'autres mères et enfants, au premier rang d'un auditorium circulaire. Des hommes en costumes de la NASA, qui étaient vêtus comme des astronautes, étaient partout autour de nous et l'un d'eux vint vers nous, souleva Danny et le plaça dans une chaise. " Comme un vrai astronaute s'assoit ! ", expliqua-t-il. Cette chaise avait des équipements partout.
    Danny me sourit si tendrement depuis l'autre côté de l'auditorium, comme s'il était vraiment fier et heureux d'être choisi pour s'asseoir sur la grande chaise d'astronaute. Il y avait un tel excitement anticipé et une telle innocence dans son sourire joyeux. Bientôt l'homme lui demanda de se pencher en arrière de sorte que sa tête soit correctement placée pour s'ajuster à une bande argentée, et quand Danny fut dans la position correcte, j'observais le fonctionnaire de la NASA serrer le dos de la bande argentée pour qu'elle s'ajuste parfaitement autour de son petit front. Danny leva les yeux vers l'agent de la NASA, les yeux agrandis par une l'innocence et l'exubérance de la jeunesse, et sourit lorsque l'homme dit à Danny, " Prépares-toi pour le voyage de ta vie ! "
    Un autre homme apporta une sorte de lunettes de réalité virtuelle pour les placer devant les yeux de Danny et lui dit de regarder dans les oculaires. Alors, à ma grande horreur, l'homme debout à côté de Danny donna un signal à un autre et je regardais, au supplice, quand le petit corps de Danny fut pris de secousses. Ils devaient lui avoir donné des électrochocs et Dieu sait quoi d'autre. Après un moment, son petit corps devint mou et Danny était inconscient.
    J'étais morte à l'intérieur, mais savais par de nombreuses expériences passées avec son frère et sa soeur plus âgés que si je faisais la moindre tentative d'interférer, les choses ne feraient qu'empirer pour chacun d'entre nous, spécialement pour Danny, et donc, contre tout instinct maternel protecteur, je gardais mon sang-froid.
    Quelques instants après, le fonctionnaire de la NASA agita des sels odorants ou quelque chose d'équivalent imbibant une boule de coton dans de la gaze, en face du visage de Danny. Il revint brusquement à lui et ils le libérèrent de l'équipement puis de la chaise. Il transpirait abondamment du front et sous le nez. Alors que l'homme l'aidait à sortir de la chaise, Danny jeta un coup d'œil vers moi et son visage fut parcouru rapidement par diverses expressions. Tout d'abord, il parut totalement humilié et embarrassé, ce qui était rapidement remplacé par une honte profonde qui se répandit sur tout son visage jusque dans son petit corps.
    Il pouvait à peine marcher jusqu'à moi et quand je me levai pour l'aider, l'homme de la NASA dit : " C'est un grand garçon, il peut se débrouiller tout seul ".
    " Maman, je ne me sens pas bien " me dit mon jeune fils alors qu'il clopinait vers moi et vint poser sa tête sur mes genoux. Les hommes firent la même chose avec plusieurs autres enfants, dont une petite fille de l'école maternelle Born Learners de Danny. Bientôt on nous raccompagna dehors, nous fit monter dans une navette pour retourner à l'aéroport, à côté du génie, " un as de l'informatique ". Il avait une très grande mémoire, affichant le niveau d'intelligence d'un " étudiant universitaire ". Danny était considéré comme ayant l'intelligence du futur, et ils disaient qu'il s'épanouirait dans le secondaire, quelle qu'en soit la signification. Ils disaient que d'ici là, Danny serait pleinement fonctionnel et particulièrement utilisé par eux dans un travail international. Henry parlait beaucoup à propos de Danny et je me souviens de Danny assis une fois sur les genoux de Henry alors que celui-ci en faisait la démonstration devant tout un groupe de personnes. En dépit de la programmation, Danny est resté très timide jusqu'à l'âge de cinq ans.
    Danny était aussi traumatisé à Disneyland année après année. L'attraction du Matterhorn (montagnes russes) était l'une de celles qu'ils utilisaient avant qu'ils l'éloignassent de moi pour d'autres programmations.
    Il y eut une programmation ultérieure effectuée à la Base Edwards de l'Air Force. Craig nous amena là-bas en famille dans notre camping-car. Nous sommes restés toute la nuit et avons été programmés le lendemain. Deux hommes en uniforme blanc sont venus chercher Danny et moi au camping-car, et nous les avons suivis l'esprit vide sans faire d'histoires. Kelly, dans son petit chemisier fraise criait qu'elle ne voulait pas que Danny parte et Craig la reteint et lui donna une tape sur la jambe pour la faire taire. Les hommes nous firent passer des portes vitrées et nous fûmes accompagnés une nouvelle fois vers la grosse chaise, où le cauchemar recommençait entièrement. Nous étions assis côte à côte dans la lourde et grande chaise de métal pendant que nous regardions dans les grosses lunettes placées devant notre visage. Avant qu'ils ne commencent, on nous a injecté une drogue. Les écouteurs diffusaient parfois de la musique, mais la plupart du temps des effets sonores, pendant qu'ils nous disaient que nous étions " un " et le système solaire que nous avons vu de nos yeux existait maintenant dans les régions les plus profondes de notre esprit. Il y avait une vision magnifique des étoiles, des planètes et de l'univers entier. Ils nous ont dit que nous avions chacun un système, mais que nous avions aussi une moitié du système des autres personnes - un peu comme ces bracelets d'amitié que l'on coupe et qui redeviennent entiers lorsque les amis se retrouvent. Après cela, les yeux de Danny semblaient bouger séparément dans toutes les directions, mais pas ensemble. Même dans mon état drogué j'étais terrifiée pour mon enfant. Regarder ce que ses yeux faisaient était effrayant. À la fin, ils nous ont raccompagnés et ont aidé mon petit garçon à entrer dans le camping-car et à s'allonger sur le lit du haut pour qu'il puisse dormir. Il était couché à l'envers sur le lit et ne bougeait pas, totalement dans les vapes pour le reste de la journée. Je me promenais à l'extérieur, dans le grand parking de graviers blancs, avec les autres enfants, et dans un état tout à fait similaire à celui d'un zombie. Je me sentais totalement droguée et absente, et je m'endormis en m'asseyant dehors. Quand je me réveillai, je me précipitais comme une folle dans le camping-car pour vérifier l'état de Danny. Je le pris dans mes bras, pleine d'amour. Il me regarda comme s'il allait mourir. Je lui dis : " Je t'aime, Danny. Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour toi ? ". Il suçait alors son pouce et se contenta de faire non de la tête. Je le serais donc seulement contre moi.
    Kelly était amenée dans les bases militaires de Ventura, Oxnard, Point Mugu, et Edwards, mais Danny allait le plus souvent à Point Mugu. La famille entière alla à base de l'Air Force d'Edwards. Parfois, depuis Point Mugu, ils emmenaient Danny par hélicoptère et je ne savais jamais où ils le conduisaient. Des parties de Danny ont été programmées très tôt pour jouer parfaitement aux échecs, de manière à reprendre les choses où je les avais stoppées dans le déchiffrage et la transmission de messages codés.

    Excursions à l'île de Catalina

    Une ou deux semaines par an étaient réservées pour des vacances planifiées. Les balades de week-end étendus étaient ordinaires, souvent décidées à la dernière minute. Mais notre séjour d'août à l'île de Catalina, à 26 miles de la côte californienne, était une date de vacance fixe depuis des années. Craig et moi y sommes allés presque chaque année depuis 1971 jusqu'à ce que je quitte la Californie en 1991, soit une vingtaine d'années. Mes enfants y vont encore avec leur père et, maintenant qu'ils sont plus âgés, ils y sont allés de leur propre chef.

    Sur l'île de Catalina, j'étais utilisée pour les rendez-vous sexuels avec Reagan et/ou parfois avec d'autres fonctionnaires gouvernementaux ou des gens du spectacle. J'étais programmée pour avoir des rapports sexuels avec Reagan à Wrigley Mansion, Zane Grey et d'autres hôtels. Il semble que Reagan était habituellement sur l'île anonymement. Pour des raisons de sécurité, personne ne devait savoir qu'il était là.
    Alors que j'étais occupée à remplir mon devoir, je n'avais aucune idée de ce que mes enfants et mon mari pouvaient bien fabriquer. Probablement qu'il y avait une raison de nous faire venir tous ensembles.

    Pourquoi payons nous des impôts ?!

    Et je suis sûre que vous, lecteur, étiez ignorant du fait que vos dollars durement gagnés partaient en impôts pour la sécurité, les vols en avion, et la programmation sophistiquée pour faire en sorte que les Présidents et dirigeants puissent être sexuellement satisfaits de manière extraconjugale, et aussi que les messages alimentant le Nouvel Ordre Mondial puissent être envoyés et restitués par le biais d'un bien à l'esprit contrôlé de la sécurité nationale. Sans parler du salaire des hommes politiques et des gens de la NSA tels que Henry Kissinger qui passent un nombre incalculable d'heures à élaborer stratégiquement leur programme pour mener à bien leurs plans personnels. Je peux seulement imaginer le coût des transports en hélicoptère, de l'assignation des tâches d'une équipe d'agents des Services Secrets, des coiffures, et de la préparation d'un agent à l'esprit contrôlé puis du paiement d'une limousine pour la conduire à son affectation. Il y a quelques années, ma fille fut transportée par ambulance après l'une de ses nombreuses tentatives de suicide, alors qu'elle mettait à exécution sa commande programmée de se tuer elle-même si elle commençait à se rappeler. Cette seule facture était insondable.

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    Chapitre 28

    REAGAN, KISSINGER, BUSH ET AUTRES HORREURS

    Un jour, au cours d'une mission, je me trouvais en haut d'un escalier de marbre très haut à quatre ou cinq étages. Le Président Reagan marcha hors d'une pièce plus bas et s'arrêta un moment avant qu'il ne regarde en haut et me voit. Il posa rapidement son doigt sur les lèvres et je savais que cela signifiait de rester silencieuse. Il fit un geste pour m'indiquer de le rejoindre en bas, à l'extérieur. Je détournai rapidement la tête pour que personne ne puisse me remarquer publiquement avec lui ou me relier à lui, et je me mis en marche. Une fois à l'extérieur, un agent des Services Secrets me conduisit à une limousine et alors que je m'en approchais, il me prit la tête pour me pousser à l'intérieur. J'attendais depuis quelques instants quand Reagan arriva. Il entra à reculons, de sorte que personne ne puisse me voir de l'extérieur. Après la fermeture de la porte, il sourit, m'embrassa et me dit que je lui avais manqué. Il dit qu'il avait besoin que je vienne avec lui au Pentagone pour me présenter à quelques-uns de ses amis.
    Là-bas, on me présenta fichier après fichier d'informations en petits caractères et on me présenta à un officier en uniforme bleu foncé avec des garnitures dorées qui ressemblait à un uniforme de la Marine. Reagan demanda à cet homme de me montrer des informations top secret. C'était des informations que j'avais besoin d'avoir dans mes fichiers mentaux pour une réunion à venir. Ensuite Reagan sortit.. Je suivis cet homme à son bureau et regardais pendant qu'il ouvrait un tiroir de classeurs, puis en sortait quelques fichiers pour les poser sur son bureau. Il me laissa avec et sortit de la pièce, en m'enfermant à clefs à l'intérieur. J'étais dans son bureau depuis quelque temps et avais parcouru quatre dossiers en détail. Je ne pouvais me rappeler les détails quand je déprogrammais les documents pour les lire à qui vous savez. L'officier continuait à vérifier où j'en étais et quand j'eus fini, il m'escorta jusqu'à une limousine qui attendait. Reagan n'était pas là.

    Humour de la Maison-Blanche

    " Une fois à la Maison-Blanche, on est toujours à la Maison-Blanche. Je connais mon chemin pour monter là-haut ! " m'avait programmé Bob pour dire aux Présidents.
    Quand je dis cela à Reagan, il dit qu'il ne trouvait pas cela amusant. Je lui dis : " Bob m'a demandé de dire cela ".
    Reagan se radoucit immédiatement, se mit à rire et dit : " Dis à ce vieux schnock que je le salue ". Une fois que vous êtes sur la liste " pour faire la Maison-Blanche ", ils ne cessent de vous utiliser encore et encore si votre Patron est d'accord.

    Cozumel, Île des Caraïbes

    En septembre 1984 ou 1986, Craig et moi sommes allés à Cozumel en vacances faire de la plonger sous-marine avec un groupe d'amis dentistes. Un jour et demi du voyage était réservé à Reagan. Des hommes en costume vinrent me chercher au milieu de la nuit. Cela arrivait souvent de cette façon, où ils apparaissaient simplement dans la chambre et m'emmenaient au loin. Ils ont dit qu'ils étaient venus pour " me préparer " ce qui, je savais, signifiait torture et isolement, pour être prête pour lorsque je verrais Reagan. On m'a installée dans une pièce utilitaire en béton. Elle était sombre, seulement éclairée par la flamme pilote d'un chauffage au gaz situé dans le coin. C'était la seule lumière en attendant celle du jour. J'étais complètement déshabillée et laissée seule dans la pièce froide de béton, pendant toute la nuit. Les hommes ouvraient de temps en temps la porte pour me soumettre à des électrochocs, au niveau des hanches. Mon corps se tordait et se convulsait sous la douleur, et mes mains se levaient dans les airs de manière incontrôlable. Ensuite, je tombais comme une masse sur le sol et ils me disaient de rester debout, pas de m'asseoir ni de dormir. Ils vérifiaient de temps en temps pour voir si je m'étais assise ou endormie, et si c'était le cas, ils me balançaient encore le haut voltage, et même d'ailleurs si je ne l'étais pas. N'importe comment, j'y avais droit.
    Si je devais aller aux toilettes, j'allais dans un coin et ils me giflaient pour cela. Les hommes en costume étaient brutaux. Ils me giflaient, me plaçaient une lumière vive devant les yeux, électrocutaient mon corps… C'était de la pure torture. Ils m'ont injecté quelque drogue dans mon bras et je me suis effondrée. L'un d'eux m'a entourée d'un drap et emporté dans une voiture noire, et la chose suivante dont je me suis souvenue était de me réveiller dans une chambre d'hôtel où l'on me dit de me doucher, me laver les cheveux, et m'habiller avec les vêtements qu'ils avaient laissés pour moi.
    Quand j'ai eu fini de m'habiller, ils m'amenèrent dans un restaurant mal éclairé où Reagan était assis dans un box éclairé aux chandelles. Reagan sourit et prit ma main gauche, activant mon programme sensoriel en la serrant. Il me lançait des coups d'œil pendant qu'il mangeait. J'étais simplement assise à côté de lui, avec les agents des Services Secrets attendant derrière lui, pendant qu'il mangeait. J'étais complètement dans les vapes, et avais des difficultés à me concentrer pour rester en un seul morceau. Mon système intérieur de personnalités était programmé pour ne jamais faire de faute selon la personnalité qui se " présentait ". J'étais avertie par mes contrôleurs que si jamais cela arrivait, ce serait une erreur fatale et j'étais programmée pour surveiller mon système intérieur de personnalité par un comité de surveillance intérieure qui décidait qui devait se retirer, le temps d'un claquement de doigts. Ce n'était pas que j'étais branchée sur la mauvaise personnalité pour l'événement. Je pense que sur le moment j'étais simplement physiquement incapable d'opérer.
    Reagan dit: " Tu es toujours aussi belle ". Je souris timidement et il leva la main pour écarter mes cheveux d'une épaule sur un côté du cou. Je me sentais comme si mes yeux se révulsaient. Il regarda les agents des Services Secrets et leur dit qu'il ne pensait pas que j'étais " tout à fait prête ".
    Les agents des Services Secrets me firent sortir prendre l'air de l'océan et marchèrent un peu autour de moi avant de me ramener vers lui. Ils me dirent : " Exécute ton rôle ! " et je me suis assise, cette fois plus alerte, pétillante et bavarde !
    Ayant alors fini de manger, Reagan me prit de nouveau la main et dit : " Sortons d'ici ! ". Nous sommes sortis via la cuisine par la porte arrière, avec les agents des Services Secrets devant et derrière nous, jusqu'à une limousine qui attendait. Je lui demandais où était Nancy et il dit : " Elle est la maison, à laquelle elle appartient ! ". Il tira mes jambes sur ses genoux alors que l'on nous conduisait et il dit : " Tu es vraiment là pour le plaisir ce soir ".
    Il était tard dans la nuit quand nous avons stoppé en face d'un grand hôtel blanc. Nous y sommes entrés rapidement, après qu'un agent des Services Secrets ait vérifié que l'entrée était déserte. Reagan et moi sommes montés en ascenseur la main dans la main jusqu'au premier étage. Nous avons suivi l'agent dans le couloir et avons attendu alors qu'il s'arrêtait devant une chambre, pendant que deux autres agents montaient la garde à l'extérieur pour Reagan. Il y avait un balcon, et nous pouvions entendre les vagues. Ce n'était pas la plus somptueuse des chambres, mais elle était jolie.
    Reagan ota le manteau blanc d'été que l'on m'avait donné pour l'occasion et s'assit à côté de moi sur le lit. Il commença à me parler, alors qu'il défaisait le dos de ma robe. Il me déshabilla, cette fois-ci, révélant le soutien-gorge satiné blanc à dentelles, le slip et les bas blancs en nylon que l'on m'avaient fournis pour me vêtir.
    Reagan était agressif cette nuit. Ce n'était pas un comportement typique chez lui, alors qu'il était habituellement si passif. Il me poussa en arrière sur le lit et m'embrassa avec empressement alors que je commençais à le déshabiller, un bouton à la fois. Il était pressé et très passionné. J'étais surprise de comment il était différent. Il mordilla mon oreille, frotta mon nombril pour accéder à la programmation tactile, et me fit un cunnilingus. Alors qu'il se mettait sur le dos, je me plaçais sur lui pour l'amener à l'orgasme. Peu après, je m'allongeais à côté de lui, et nous nous sommes endormis.
    Quelques heures après, un agent des Services Secrets me réveilla en plaçant un doit sur ses lèvres pour me faire garder le silence et ne pas réveiller le Président. L'agent saisit mes vêtements et mes chaussures et m'amena dans une autre pièce pour que je m'habille. Ils me firent monter dans une berline sombre et me ramenèrent à l'hôtel, le El Presidente.
    Le matin suivant, je me réveillais à côté de mon mari dans notre chambre d'hôtel, comme si je venais de faire une sieste, me sentant réellement bizarre, très fatiguée, et dans les vapes, mais sans le moindre souvenir du temps passé avec Reagan. Ce soir là, mon mari et moi sommes allés dîner avec nos amis et j'étais incapable de penser et de faire davantage que de manger et sourire à l'occasion à ceux qui parlaient à la table. Je parvenais à rester éveillée durant le repas, mais ne pus pas attendre une minute de plus pour aller dormir. Le matin suivant, je me réveillais épuisée et me sentant malade, mais ne savais pas pourquoi. Me réveiller lasse et éreintée était tellement commun pour moi, et je n'avais aucun moyen de savoir pourquoi j'étais réellement fatiguée. Je pensais qu'être fatiguée, hébétée et six pieds sous terre était ainsi que j'étais née. Je n'ai jamais été capable dans ma vie de penser plus loin que cela de manière à pénétrer la barrière amnésique, qu'avant beaucoup plus tard.

    L'île de Catalina
    J'étais utilisée à l'île de Catalina pour les rendez-vous sexuels avec Reagan et parfois avec d'autres personnages publics ou du show business. Si Nancy n'accompagnait pas Reagan à Catalina, cela signifiait généralement que j'étais utilisée par lui pour le sexe. Elle l'accompagnait les fois où les affaires étaient à l'ordre du jour et d'autres personnes étaient présentes aux réunions. Si Ronnie me touchait la main ou me regardait, elle était contrariée. Doucement et à l'écart, il me disait alors de ne pas inquiéter ma jolie petite tête à cause d'elle. J'étais programmée pour avoir des rapports sexuels avec Reagan aux hôtels Wrigley Mansion, Zane Grey et d'autres sur l'île. Il semble que Reagan était généralement sur l'île anonymement. Pour des raisons de sécurité, personne ne devait savoir qu'il était là.
    Il y avait habituellement deux agents des Services Secrets qui m'escortaient à mon lieu d'affectation. Nous marchions souvent jusqu'à notre destination sur l'île lorsqu'elle était à courte distance. Ils m'indiquaient où aller et restaient derrière moi de sorte qu'il n'apparaisse pas qu'ils étaient avec moi. Un agent me laissait à la chambre d'hôtel pour que j'y attende Reagan. Reagan préférait que je l'attende nue, mais il me disait chaque fois comme il voulait que je sois la prochaine fois et je faisais comme il me demandait.
    Les agents qui m'accompagnaient attendaient toujours juste à l'extérieur avec les autres quand il était temps d'y aller. Ensuite, ils me raccompagnaient à ma chambre d'hôtel.
    Quand je regardais le corps de Reagan quand il était nu, il montrait un estomac et des fesses mous, pas gras, juste mous et à l'air vieux. Quand il était programmé que je sois avec lui, je recevais des instructions préparatoires de mettre du parfum Oscar de la Renta à cinq endroits stratégiques - de chaque côté de mon cou, sur chaque poignet et entre mes jambes. Il était très orienté sensoriellement et mon corps devait être particulièrement propre. Il me disait souvent qu'il aimait mon odeur.
    Reagan restait littéralement sur le dos tout le temps de nos échanges sexuels et je devais tout faire. C'était toujours du un pour un avec lui, habituellement calme et tranquille. Ni violence, ni intensité. Il aimait que je lui frotte le dos puis l'aide à mettre son pyjama. À ce moment de la soirée, je me sentais souvent comme si je dorlotais et mettais au lit un enfant, en dépit du fait qu'il était plus âgé que moi de 40 ans ! Il veillait à ce que chaque chose soit bien et en place. C'était plutôt routinier, sans jamais beaucoup de variation.
    Une nuit au Wrigley Mansion, Reagan voulait que je fasse semblant de le forcer à avoir un rapport sexuel. Après le jeu, il plaça le pistolet hypodermique dans le creux de mes reins. Je ne savais jamais quand cela venait avec lui, parce qu'il souriait et soudainement j'étais dégommée. Je m'évanouissais alors, juste une sorte d'évanouissement dans ses bras et il m'attrapait et soutenait mon corps, puis il s'en retournait et allait dormir, mais son corps me touchait encore.
    Parfois, le pistolet hypodermique était placé sur le bas de mon crâne. Différents endroits pour différentes raisons. Sur le front, c'était supposé effacer le fichier mémoriel qui venait d'être utilisé.

    Douleur chronique

    Pendant des années, j'ai souffert de douleurs pelviennes chroniques et des élancements aigus au niveau du vagin et du rectum. Je suis allée chez le docteur dans une tentative de soulager la cause, mais en 1984 il fut décidé qu'une hystérectomie complète était le seul remède à cette douleur. J'avais 33 ans. Après l'opération, la douleur diminua, mais n'était pas supprimée complètement. À cette époque, j'étais encore inconsciente d'avoir subi des sévices, mais quand j'ai commencé à avoir des souvenirs des abus sexuels extrêmes que j'avais endurés ma vie entière, la douleur diminua. Une fois que mon passé caché fut porté en pleine conscience, je guéris et la douleur disparut pour de bon.

    Réunions secrètes avec le Hibou (Bohemian Club)

    J'avais à manoeuvrer parmi un grand nombre de programmations basées sur les contes de fées comme le suivant, pour obtenir l'accès à la mémoire des expériences dans mon utilisation comme fichier mémoriel pour Henry Kissinger dans les réunions secrètes. Il y avait un conte de fées à propos d'une forêt magnifique de séquoias, mais ce n'était pas réel, c'était juste imaginaire. Elle avait de beaux arbres géants à l'écorce rouge et elle se trouvait dans les montagnes. Il y avait une belle princesse fée qui alla la visiter et elle avait la permission de le faire parce qu'elle avait des connexions spéciales avec les animaux de la forêt. Elle se fit des amis avec le grand hibou qui la surveillait et la protégeait. Il l'alertait s'il y avait le moindre problème parce qu'il était si grand et si sage. Il lui paraissait grand parce qu'elle avait pris les champignons magiques comme Alice dans le verre de vision et elle ne pouvait pas dire s'il était réellement grand ou si elle était juste très petite, mais il pouvait la surveiller.
    Le conte de fées était destiné à couvrir et crypter le souvenir réel de la sorte de camp dans la forêt de séquoias de Californie. Il y avait une cabane de bois montée sur un arbre, avec un téléphone spécial visible à l'intérieur, téléphone que le groupe d'hommes qui se rencontraient là pouvaient utiliser pour faire des appels. Henry y avait besoin de ma présence pour l'assister avec des données. Après les réunions de la journée, il pondait le soir un conte de fées dans une tentative de crypter ma mémoire.
    Kissinger rencontrait aussi George Bush en un lieu en pleine nature dans les montagnes qui était comme un campement. Il y avait une grande construction en bois qu'ils utilisaient pour des réunions. Ils dormaient dans des cabanes plus petites. Je dormais dans une cabane séparée à rideaux et Henry me mit en mode stationnement pour rester là et ne pas quitter jusqu'à ce qu'il vienne me chercher. Henry me rencontra avec George Bush quand il était Vice-Président, davantage qu'il le faisait avec Reagan qui était président. C'était parce que Henry et George avaient davantage en commun pour cet effort particulier et travaillaient main dans la main sur le projet.
    Alors, le Vice-Président Bush, Kissinger, et un correspondant de la Maison-Blanche se rencontrèrent pour décider ce que le correspondant allait annoncer au public par les médias pour assurer le succès de leurs plans. Henry avait toujours ses stratégies et accomplissait beaucoup de choses derrière la scène en travaillant à travers d'autres politiciens ou personnes liées à la Maison-Blanche et en les dirigeant.
    Au cours d'une autre réunion, Henry et George accédèrent à mon fichier de lieux géographiques et obtinrent accès à des informations concernant des pays étrangers. Ils choisirent des lieux stratégiques parfaits pour commencer des guerres et/ou des conflits pour distraire le peuple américain et d'autres lieux pour ce qu'ils faisaient réellement dans la zone. Je débitai les informations sur une zone, décrivant le climat, le terrain, les accès maritimes, les cols montagneux, etc., et continuai à délivrer les informations jusqu'à ce qu'ils entendent un lieu qui conviendrait à leurs plans. Alors, ils me disaient STOP et je stoppai. Des réunions avaient souvent lieu en cet endroit.

    _______________________________

    D'autres aventures le long de la côte californienne

    Le gouvernement américain semblait vouloir vendre n'importe quoi, incluant des enfants, à des pays étrangers, de manière à récupérer des sommes d'argent pour financer les projets de contrôle mental et d'autres recherches. Reagan le présentait en disant que c'était la seule manière pour nous de survivre - que nous serions tous tués par la destruction nucléaire des mains de ces " crétins d'étrangers " à moins que nous soyons capables d'avoir davantage de contrôle, et les projets de contrôle mental assuraient la sécurité américaine. Il le faisait passer pour quelque chose que les Etats-Unis devaient avoir pour rester une nation libre et sûre. Mais le Conseil connaissait le tableau plus large qui était bien plus grand que ce que Reagan pensait être la " Sécurité Nationale ". C'était réellement une prise de pouvoir internationale par un groupe de mégalomanes qui ont décidé d'assurer l'avenir de leur propre progéniture génétiquement avancée. Selon ma perspective, cela n'avait rien à voir avec la sécurité ou la liberté américaine. Mais Reagan était un pion et n'avait pas toutes les informations ni ne connaissait le programme plus élevé du Concile. S'il les avait eues, il aurait su que les Etats-Unis étaient en train d'être bernés.
    Reagan m'envoya chercher et l'on me prit, une fois de plus à midi, alors que j'étais en train de " méditer " sous la croix à Pepperdine, pour servir de démonstration à des hommes en provenance de partout. Il y avait habituellement de petits groupes parce que Henry ou le Conseil travaillaient aussi cet angle, mettant ensemble différents scientifiques ou dirigeants étrangers qui seraient naturellement en compétition de sorte qu'ils puissent en tirer le maximum. Souvent, Reagan ou un officier militaire leur expliquait le projet en groupe et ils jouaient avec leur orgueil national, leur compétitivité naturelle et leur ego. Ensuite, après la réunion, l'un de nos gens les prenait à part, dans une pièce séparée, et leur disait que nous étions intéressés, mais que tel ou tel pays (L'Arabie Saoudite, par exemple) avait mieux à offrir. Ils les travaillaient ainsi pour les rendre plus coopératifs dans l'espoir que peut-être le dirigeant ou le scientifique offre davantage de services, de ressources ou de connexions, etc.. De cette manière, nous pouvions tirer encore plus de bébifice dans cette affaire. Henry savait réellement comment travailler les gens, et il savait comment être très convaincant. Il disait à Reagan et aux autres que tout était pour des raisons de sécurité nationale, la sécurité de l'Amérique, et ces hommes le croyaient tous, ils pensaient tous que Henry était tellement intelligent et pro-Américain, mais il ne l'a jamais été réellement. Il parlait juste de cette manière pour amener les gens à faire ce que lui et le Conseil voulaient. " Reagan n'est pas un robot, mais il pourrait aussi bien l'être " disait-il. Je n'en suis pas si sûre.
    Durant les années 80, j'étais enfermée avec un ordinateur dans ma chambre, où je commençais à recevoir des instructions à domicile de la part du Conseil. Je ne pensais pas que j'étais très bonne en informatique puisque j'avais pris un cours dans le domaine et me sentais comme ne pouvant réellement pas apprendre les technologies. Mais alors que le " je ", la part consciente de ma personnalité, ignorait mes compétences informatiques, d'autres parties étaient complètement en phase ! Dès mon réveil, avant de me brosser les dents, j'avais pour instruction de rapporter à mon ordinateur. Il affichait un symbole si j'avais des instructions et était là pour la suite des instructions. Ils firent en sorte que l'accès soit simple pour moi. Il y avait des codes pour les personnes " régulières ", les gens que je rencontrais chaque semaine, comme certaines des vedettes d'Alerte à Malibu ou de Beverly Hills. On me donnait un planning et des listes de gens à rencontrer, ou que je pouvais m'attendre à rencontrer, et les dates pour me trouver à certains lieux à certaines heures, afin de savoir que je devais aller chez le coiffeur, me faire faire les ongles, quelle heure, quel lieu, etc. Je n'avais plus besoin de donner mes rapports dans la chambre du Holiday Inn. Je pouvais recevoir mes instructions à la maison. Après le milieu des années 80, mes contrôleurs commencèrent à accéder à moi de manière plus directe, sans que Craig en soit autant responsable. Ils prirent un contrôle plus direct.
    Souvent, mes instructions étaient d'attendre en méditation sous la croix à l'Université. J'étais particulièrement utilisée pendant cette période, et passais de moins en moins de temps avec ma famille. Des hommes en costume ou des hommes qui s'habillaient comme des jardiniers de Pepperdine venaient me donner des messages alors que j'étais dans un état méditatif. Plus tard, des hommes en costume me reprenaient, tapant en code sur mon épaule deux ou trois fois pour que je me lève puis les suive. Certaines fois particulières, les hommes me conduisaient à un entrepôt d'armes dans lequel je délivrais des messages détaillés aux marchands d'armes et enregistrais leur réponse. De nombreuses ventes d'armes avec des pays étrangers se conclurent dans des entrepôts, ou au moins les ententes initiales. Après cela, je prenais le message en retour et le délivrais cette nuit-là où que je sois dirigée. Ensuite, je rentrais à la maison dans la soirée en pensant que j'avais " étudié " à la bibliothèque de l'université pendant toute la journée. Ça m'étonnerait !

    Aventures de contrôle mental

    Une vente d'armes de l'Iran-Contra eut lieu dans un entrepôt de Santa Monica. Rien ne devait pouvoir faire remonter jusqu'à Reagan parce que cela devait être une opération de couverture destinée à lever des fonds pour d'autres projets, des " projets de recherche ". Ils sentaient que c'était justifier de vendre des armes à n'importe qui, dont nos ennemis, parce qu'ils pensaient que les temps de conflits armés étaient terminés. Au lieu de cela, nous pouvions maintenant gagner les guerres en utilisant notre technologie de pointe dans les domaines psychologique, chimique et électronique, si jamais nous en avions besoin, et être capables d'utiliser les technologies de contrôle mental pour nous assurer que l'ennemi dépose ses armes. Mais, pendant ce temps, nous pouvions leur vendre des armes comparativement obsolètes et gagner de l'argent pour de nouvelles recherches sur le contrôle mental.
    De nombreuses ventes de drogue et d'armes eurent lieu dans les entrepôts de Californie, spécialement aux environs de Santa Monica et de Malibu. De nombreuses relations d'affaires avec des étrangers ont été établies afin d'accroître le financement pour la poursuite des projets de recherche. Et ils ont utilisé les robots à l'esprit programmé qu'ils avaient créés pour rapporter de l'argent. Vraiment beaucoup de gens sont sous contrôle mental et ont travaillé pour eux pendant des années - des hommes et des femmes qui sont dentistes, avocats, agents de change, docteurs, psychiatres, psychologues, politiciens, banquiers, chefs d'entreprise, ingénieurs, éditeurs ou propriétaires de journaux, infirmières, professeurs, principaux, etc., etc., etc. Et tous ces gens programmés sont utilisés pour servir " la cause ", chacun placé dans une position stratégique pour être utilisé par le Conseil.
    La technologie disponible est si avancée que la plupart des gens ne peuvent même pas en rêver. Cela dépasse de loin tout ce qui a déjà été vu dans les films ou les livres de science-fiction - l'automatisation totale, même des gens.
    Ils placent les agents à l'esprit contrôlé dans des professions pour lesquelles on a besoin de voyager, et ils les utilisent internationalement pour favoriser leur cause. Ils sentaient qu'il n'y avait aucune possibilité de ne pas pouvoir réussir, puisque tant de personnes sont maintenant sous leur total contrôle et peuvent être contrôlées par des signaux universels, leur permettant de placer certains mots, phrases ou symboles dans les médias courants (films, télévision, journaux, musique, etc.) et les robots à l'esprit contrôlé sont programmés pour accroître leur rythme. Certains mots ont été appariés par programmations à différentes tâches que ces robots sont chargées d'effectuer. Ainsi, tout ce qu'ils ont à faire c'est d'entendre les combinaisons, tonalités et fréquences, etc. des mots, et ils peuvent tous être commandés en une courte période de temps pour exécuter les instructions programmées.

    S'amuser au soleil ?

    D'autres fois, je faisais mes rapports à Zuma Beach et je pensais que je passais mon temps à me reposer au soleil. En réalité, je sortais de ma chaise de plage pour marcher dans l'écume, nager dans les vagues, parfois sur de longues distances, facilement et sans efforts, comme ma programmation me le commandait, pour rejoindre un bateau juste en dehors de la vague du rivage. Un homme qui m'avait aidé à monter à bord du bateau, trempée jusqu'aux os, me tendait une serviette et dit une fois : " La mienne, mais vous devez être une personne importante ". Je ne pouvais pas comprendre ni répondre parce que j'étais en total programme et cet événement " n'était pas réellement en train de se produire ".

    Il me conduisait à Point Mugu et s'excusait quand, à cause d'une trop grande houle, il ne pouvait pas s'approcher davantage quand nous approchions de l'entrée arrière. Je lui dis de ne pas s'en faire, que j'avais l'habitude de nager sur de longues distances et que j'étais adepte de la nage sur vagues. Je lui ai dit que je venais d'utiliser les vagues pour arriver facilement. J'avais un programme qui rendait mon corps incapable de sentir la température, et ainsi je pouvais entrer dans de l'eau très froide sans avoir froid. Donc, je plongeai du bateau en maillot de bain et nageai jusqu'au rivage. Il y avait quelques trous et un rideau sous-marin que je savais devoir contourner pour parvenir au rivage. Je marchai sur la zone de plage, jusqu'à la barrière constituée d'une chaîne reliée à deux piliers de ciment. J'attendis alors qu'un homme en uniforme blanc de la marine me laisse entrer et m'escorte jusqu'à une douche extérieure qu'ils utilisaient lorsqu'ils nageaient. Il me conduisit à l'intérieur de la salle de bain, où je trouvais un uniforme de la marine, un chemisier blanc à garnitures bleu marine et or, et une jupe blanche et des chaussures à talons soigneusement empilés pour moi afin de les porter. Mes cheveux coupés tous les mois de sorte que je n'aie qu'à y passer les doigts pour qu'ils paraissent bien, puisque j'étais naturellement frisée. Le même officier me conduisit à travers une zone où ils utilisèrent sur moi un scanner à métaux, pour des raisons de sécurité, et je dûs passer par un moniteur lumineux et le fis avec des couleurs projetées. Ensuite, je fus escortée à l'intérieur pour voir la personne à qui je devais rapporter, quelle qu'elle soit - un officier, un Commandant, Reagan ou parfois Bush. Mais cette fois, j'étais là pour rencontrer Reagan et pour que l'on fasse ma démonstration à un groupe de scientifiques étrangers qu'ils voulaient recruter pour la recherche.
    On me plaça dans une capsule cylindrique transparente, peut-être pour le spectacle, et ensuite Reagan montra aux hommes comment je réagissais aux ordres. Il démontra l'utilisation de mes fichiers mentaux en me demandant rapidement des informations détaillées et des descriptions de schémas. J'accomplissais cela à toute vitesse, leur dictant les images professionnelles holographiques 3-D élaborées que je visualisais dans ma tête. Tous les hommes applaudirent. Au début, ils avaient dû me conditionner pour les applaudissements parce qu'ils me plaçaient en état critique et me faisaient revenir, et j'étais alors surprise de me trouver là où j'étais. Habituellement, après la fin des démonstrations, Reagan m'amenait en limousine avec lui pour une rapide rencontre sexuelle quelque part dans les environs. Plus tard, ils me mettaient dans une autre voiture et me redéposaient à la plage, où je remettais de nouveau mon maillot de bain. Allongée sur ma chaise de plage, appréciant le soleil californien, j'obéissais à mon programme qui commandait : " Sors doucement de ton état méditatif ".
    Plus tard, quand je retournais à la maison, je me plaçais devant mon ordinateur et pressais les touches que j'étais programmée à sélectionner, de manière à taper un message ou une réponse de Reagan ou quiconque d'autre avec qui j'avais été, pour que Henry reçoive le message. Je ne sais pas comment cela marchait, mais il y avait souvent une réponse instantanée affichée en retour à l'écran, associée avec un ordre " d'effacer la journée, et de considérer que c'était un jour de repos sous le soleil et dans les vagues ".

    Démonstrations à Point Mugu

    Il y avait des fois où j'étais amenée par le bateau des maîtres nageurs jusqu'à Point Mugu et escortée aux quartiers du Capitaine pour être utilisée. Ils me donnaient d'autres vêtements à porter, puis me transportaient en hélicoptère au Ranch de Reagan, habituellement pour des réunions avec des dirigeants étrangers. Et quand Henry n'était pas là (ce qui était souvent le cas), J'étais là debout à ses côtés, mais les participants pensaient que j'étais une secrétaire de Reagan. Reagan comptait sur les informations que j'avais dans mes fichiers mémoriels, placées là pour lui par Kissinger. Kissinger gérait une grande part de la diplomatie étrangère du Gouvernement des Etats-Unis en m'envoyant à ces réunions.

    Au cours des années, quand des gens tels que Rebozo, Sinatra et Bush voulaient me retirer du programme (me tuer, me liquider), Henry stoppait cela parce que lui et le Conseil avaient travaillé des années, et même des décennies, pour mettre en place les connexions que j'avais avec leurs gens. Henry avait des robots clefs dans des situations clefs de sorte que chacun travaillait en parfaite harmonie à trois parties.

    J'avais été placée proche des dirigeants du gouvernement US, de la royauté britannique, de Margaret Thatcher, et de dirigeants d'autres pays, et ses relations étaient " épicées par le temps " comme le disait Henry, et par conséquent, il voulait me garder le plus longtemps possible. Henry disait que ces relations étaient sans prix parce que ces contacts me connaissaient et me faisaient confiance avec le temps, avec aucune conséquence négative, de sorte que dans l'avenir ils partageraient des informations avec moi à propos de choses plus importantes sans s'inquiéter.
    Henry m'a souvent testée, spécialement après l'accident, quand je commençais une psychothérapie à plein temps. Je me détériorais, mais ils me remontaient dans d'autres directions sans que cela affecte le rythme de mes assignations. Mes personnalités qui étaient proches de leaders étrangers n'avaient pas eu l'accident et étaient coupées de cette expérience. Au lieu de cela, elles jouissaient de parfaite santé et bien-être de façon à pouvoir continuer leur travail. Différentes personnalités avaient été créées pour différents dirigeants afin qu'Henry puisse facilement instiller de nouvelles informations ou de nouveaux messages, et conservaient encore la personnalité telle qu'elle avait été spécialement créée pour les dirigeants individuels.
    J'étais transportée par des hélicoptères qui décollaient de navires de la marine en pleine mer, vers des pays étrangers, pour être l'agent de liaison dans des transactions concernant munitions ou drogue avec divers pays - Colombie, Bolivie, Mexique, Jamaïque. Je ne peux me les rappeler tous. Mais je portais un uniforme militaire et parvenais à ces endroits par hélicoptère pour y délivrer des messages, habituellement à un homme en uniforme qui était particulièrement entouré de gardes. Mais ici aussi, ils n'avaient pas la moindre idée que notre pays possédait des armes qui ressemblaient à tout sauf à des armes - qui ne pouvaient même pas être vues : des armes invisibles qui pouvaient faire tomber les gens à genoux et les rendre incapables de faire quoi que ce soit. Pas besoin de les tuer. Juste leur envoyer une énergie ciblée et contrôler l'activité de leurs ondes cérébrales.
    Je me souviens d'une fois où le pilote appela une banque étrangère pour voir si l'argent était sur le compte avant qu'il réalise la vente d'armes. L'argent provenait non seulement de la vente des armes, mais aussi davantage des arrangements financiers effectués qui créaient d'énormes revenus à partir de l'intérêt sur les emprunts de pays désespérés, prêts à payer n'importe quoi pour sauver la vie de leur peuple. Aussi, payaient-ils au prix fort pour des armes et payaient en plus l'intérêt pour les emprunts. Tout ceci était planifié, jusqu'à la fomentation de guerres qui créaient un marché international d'armes. Cela maintenait les nations occupées à acheter des armes obsolètes que l'Amérique disait être les meilleures. Nous les maintenions occupés à regarder dans l'autre direction alors que nous utilisions secrètement les profits abondants en provenance des ventes pour financer davantage la recherche sur le contrôle mental, afin que le plan de prise de pouvoir mondial puisse être mené à bien. Tout ceci était fait par des gens très intelligents et manipulateurs qui recourraient à une planification très stratégique. L'Arabie Saoudite et d'autres pays étrangers finançaient sans le savoir un grand nombre de recherches de la NASA, et quand il y avait des embargos sur les armes ou d'autres choses, tout ce que cela signifiait était que le prix était forcé à la hausse et les Etats-Unis gagnaient encore plus d'argent.

    Après les démonstrations dans l'arène circulaire de Point Mugu, Reagan partit en limousine particulièrement flanqué d'agents des Services Secrets à cause de la tentative d'assassinat. J'étais escortée au dehors et après que les agents aient fait monté Reagan à l'arrière de la limousine, l'un d'eux prit la place du passager à côté du conducteur et lui donna des instructions pour où aller. Ensuite, après que certains des agents soient partis pour rallier leur prochaine affectation, un agent restant ouvrit la porte arrière et me plaça à côté de Reagan et la voiture démarra. La vitre était levée entre les sièges arrière et de devant avant que je rentre.
    Reagan devenait bon pour me dire des choses qui puissent me faire penser qu'il était en train de devenir poli, quand en réalité il tournait autour du fait que je n'étais pas autorisée à manger. Un lundi, nous étions conduits à un restaurant de fruits de mer à Malibu, quand le restaurant était normalement fermé, mais ils l'ouvrirent à cause de l'opportunité de servir le Président. Reagan rentra d'abord, avec une phalange d'agents des Services Secrets le flanquant de tous côtés. Vous ne pouviez même pas le voir dans le groupe, et après qu'il se soit assis dans un box à l'écart, à l'arrière, j'étais amenée à l'intérieur et ils dirent au serveur que j'étais sa nièce en visite. Avec une serviette sur le bras, le serveur demanda à Reagan, " Et qu'est-ce que la jeune femme mangera cet après-midi ? "
    Reagan me regarda et je dis : " Merci, mais j'ai déjà mangé ".
    Alors, il fit quelques blagues à ce propos en commençant à manger son poisson, ses carottes, son riz et sa salade. Je m'assis et lui souriais pendant qu'il mangeait, et écoutais intensément. Quand il eut fini, les Services Secrets s'occupèrent de la note et il fut escorté dehors jusqu'à la limousine, de la même manière qu'il était entré dans le restaurant - puis ils me placèrent à l'arrière à côté de lui. Notre destination suivante était un groupement de petites villas rustiques le long de la route nationale de la côte pacifique. Le conducteur tourna en marche arrière et les agents des Services Secrets allèrent à la chambre en premier, l'ouvrirent, en réglèrent la note, et revinrent à la voiture, ouvrirent ma porte, m'escortèrent à l'intérieur, fermèrent la porte et j'attendis, stationnée en mode robot pendant qu'ils escortaient Reagan à l'intérieur.
    Après que les agents aient quitté la pièce, Reagan fit la remarque qu'il aimait l'endroit, qu'il lui rappelait le Ranch. Il prit ma main droite et demanda : " devrions-nous faire notre danse ? ".
    " Tu paries ", répondis-je. Aussi, il me fit tournoyer plusieurs fois, pour des raisons de programmation, puis m'allongea sur le lit. Je portais un tailleur-pantalon blanc avec des pompons fantaisie sur le devant, et des bottes courtes blanches. Il m'avait donné une montre Reagan à porter pour la journée, mais plus tard les agents la retirèrent. Reagan adorait la montre. Il déboutonna ma chemise alors qu'il s'allongeait sur le lit à côté de moi et s'attaqua directement à mon nombril, commençant à tourner autour avec ses doigts. Attendant que ma programmation me fasse entrer en action, il s'allongea sur le dos pour que je le satisfasse. Après, il fit un petit somme puis m'envoya dehors pour avertir l'agent qui attendait dans la limousine. L'agent fit immédiatement attention et indiqua au conducteur de se placer en position, puis ils escortèrent Reagan jusqu'à la limousine.
    Nous redescendîmes la route nationale de la côte pacifique et ils stoppèrent pour me déposer à une station service de Malibu, où je rencontrai un homme dans une voiture sans marques qui me reconduisit à la croix de Pepperdine. Quand il me laissa, il me dit : " N'étais-tu pas en train de méditer ? ". En réponse, je marchai comme un robot sous la croix et m'assis de nouveau. Il cria : " Pas trop longtemps ! " et démarra. Je me levai, totalement inconsciente d'avoir été avec quiconque, pensant que j'avais seulement été en profonde méditation pendant une longue durée. Je trouvai ma voiture et pris le canyon pour rentrer à la maison, où, avec l'aide de notre domestique, je préparai le dîner. J'étais pratiquement dans les vapes.
    J'étais utilisée par Reagan des centaines de fois sinon plus, même depuis l'adolescence. Il savait que je devais avoir du temps de récupération entre l'utilisation de mes fichiers mémoriels pour démonstration ou information et le sexe. Aussi, avoir un repas tranquille fournissait le temps nécessaire. Une réplique ou un signal devait être donnés pour fermer les fichiers mémoriels, puis à partir de ce moment-là, un certain temps devait s'écouler avant le sexe. Une fois qu'il fut Président, la croix de Pepperdine servit de point de ramassage où on me prenait pour m'amener à des cabanes, villas, ou maisons solitaires pour être avec lui sexuellement après que le Conseil m'ait fourni des informations pour lui par le biais de mon ordinateur familial. Plusieurs messages m'étaient communiqués par téléphone par Bob, ou plus souvent par Henry, lorsqu'ils étaient de nature politique, parce que les détails politiques étaient plus compliqués et prenaient davantage de temps que les simples routines bien huilées qu'était la satisfaction sexuelle de stars ou d'amis politiques de Bob.
    Au début des années 80, j'avais aussi des rendez-vous avec Reagan pour le sexe, des nuits où je conduisais moi-même la voiture, disant à mon mari que j'avais besoin d'apprendre à devenir davantage indépendante. J'entrais dans ma voiture et jouais le " jeu métaphysique " que j'avais appris des livres que l'on m'avait suggérés de lire. Par exemple, je conduisais juste spontanément et m'arrêtais magiquement quand je le " sentais bien ". Un soir, je " sentais bien " de m'arrêter à un hôtel très cher de Santa Barbara et réglai une chambre où j'attendis Ronnie. Naturellement, avant qu'il vienne, deux hommes en costume, portant des attachés-cases remplis d'équipements de programmation, entrèrent dans ma chambre et me torturèrent en préparation pour le Président.

    Une fille qui travaille encore

    J'étais en fait maintenue très occupée pendant les missions, alors que je pensais que j'allais à la plage tous les jours. Il y avait des séries de missions, mais je ne rentrais jamais à l'hôtel depuis la même direction, de manière à ne pas être repérée et ne pas devenir un visage familier pour les mauvaises personnes. À certains endroits, Kay me positionnait, et à d'autres, c'est Charles qui le faisait. Mais j'étais positionnée dans de grands hôtels n'importe où dans Kauai et dans quelques-unes des îles voisines.
    J'étais programmée pour me placer à un coin de l'autoroute et j'étais prise par un jeep militaire et amenée à Barking Sands aux niveaux intermédiaires. Il y avait des installations souterraines et si la base était menacée, même pour la sécurité des informations classifiées et top secret, ils avaient alors des missiles et des séries de bombes prêts à partir, ce qui plus tard serait présenté comme une attaque ennemie. Je ne crois pas que les gardes militaires savaient exactement ce qu'ils protégeaient. Quand je tournais au coin [du couloir] avec un officier supérieur en exercice, sur le coup, ils paraissaient surpris, mais on me faisait signe [d'avancer] avant d'être conduite dans une salle d'opération sophistiquée. Une fois à l'intérieur, ils me faisaient m'asseoir dans une grande et épaisse chaise métallique qui tournait sur elle?même et infligeait des tortures de toutes sortes, mais ils me disaient que mon esprit était engourdi de sorte que je ne pouvais ressentir la douleur. Ils m'engourdissaient l'esprit avec des suggestions hypnotiques alors que mon corps tournait. Ensuite, on me demandait de me pencher en position telle que je puisse regarder dans les grosses lunettes. Les images que je voyais commençaient avec une abeille et d'autres scènes de la nature et elles devenaient ensuite tellement rapides que je ne pouvais plus voir les images individuelles. De cette manière, l'information parvenait directement au subconscient sans aucun filtre et sans aucune intrusion du conscient pour connecter les deux. Aussi longtemps que les informations programmées passaient outre l'esprit conscient, ils sentaient que je ne pouvais pas me rappeler parce que je ne serais pas capable de me connecter à l'information.
    Quand je devais rencontrer Reagan sur l'île, je recevais une carte postale avec la date, l'heure et le lieu de la rencontre. Quand il venait seul, je le rencontrais à l'aéroport de Princeville. Il arrivait anonymement par hélicoptère, avec des agents des services secrets. Une limousine attendait à l'intérieur des clôtures de l'aéroport et l'hélicoptère atterrissait juste à côté, et on faisait sortir Reagan en courant de l'hélicoptère, puis entrer rapidement dans la limousine, et nous étions amenés à l'Hôtel Princeville.
    Une autre fois, j'étais programmée pour rencontrer Reagan à l'Hôtel Princeville sur la plage sud de l'île. Il entrait par la grande porte vitrée et j'étais assise sur une chaise dans le vestibule, avec instruction de guetter sa venue.

    C'était en 1991 et Reagan était venu sur l'île pour une visite. Quand il me vit, il indiqua du doigt le côté gauche de l'hôtel, indiquant que je devais marcher dans cette direction. Je marchai immédiatement dans la direction indiquée. Alors que j'étais hors de vue des gens et dans une arrière-salle, il marcha rapidement vers moi, me dit bonjour et que je lui avais manqué, alors, il me fit tourner sur moi-même pour des raisons de programmation et m'accompagna jusqu'aux ascenseurs. Des hommes en costume suivaient juste derrière et il expliqua qu'il avait encore des agents pour monter la garde et que nous devions faire avec.
    Nous sommes entrés dans une grande pièce couleur pêche avec vue sur la baie. Reagan dit que Nancy était en vol pour le rejoindre plus tard et qu'il voulait juste raviver ses souvenirs me concernant. Il continua en disant que je lui manquais réellement et que cela lui manquait réellement de ne plus être président. Il dit qu'il était réellement surpris de combien ça lui manquait. Il a eu un rapport sexuel dans la position habituelle, lui passivement sous moi. Après, il sourit et dit, " Tu l'as encore eu, mon enfant. " Il me complimenta et je m'étendis à côté de lui jusqu'à ce qu'il s'endorme, puis je sortis de la pièce. Je dépassai les agents dans le hall, pris une cigarette près de l'ascenseur et attendis, l'esprit vide, que le valet m'approche ma voiture. Quand je revins à la maison, j'étais en état de stupeur et allai droit au lit, toutes traces du souvenir soigneusement verrouillées derrière la programmation qui le protégeait. "
    FIN de la première partie.
    Dossier à suivre...

    TRADUIT PAR F.D. pour les ÉDITIONS NENKI.

    Note de Nenki: " Un grand nombre de personnalités importantes sont impliquées dans cette affaire et n'ont pas encore été mentionnées mais ce n'est qu'une question de temps. N'allez pas croire que ces histoires n'arrivent qu'aux États-Unis. La corruption s'est étendue dans chacun des gouvernements des grands pays pour le traffic de la drogue, des armes des esclaves et la même chose se répètent chez vous avec les programmes du contrôle de la pensée basée sur les découvertes du projet MK-Ultra et ses ramifications sous-adjacentes.

     


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    Springmeier , Monarch et les Illuminati

     

     

     

     

    W.M : Afin de comprendre comment ils sont capables de contrôler ces gens qu'ils ont mis à des postes clés dans la société, nous devons plus amplement parler des techniques du contrôle de l'esprit. Peut-être pourrions-nous en parler maintenant, et nous demander comment ils peuvent contrôler ces gens efficacement ? Par exemple, le trauma.

    F.S : Le trauma pourrait être utilisé pour un large éventail de raisons mais à un niveau élémentaire, vous traumatisez quelqu'un au point où il va presque en mourir. Pour être plus spécifique et précis, ils tuent vraiment ces personnes mais ils savent exactement de combien de secondes ils disposent pour les envoyer dans la mort et les ramener ensuite à la vie. Ils manipulent les expériences " proches de la mort " (near death experiences) et ils en ont fait une science. C'est la raison principale pour laquelle il y a eu ces essais dans les principaux camps de concentration menés par Mengele et où les gens étaient torturés. Mengele appartenait à une lignée sanguine Illuminati et effectuait des recherches Illuminati dans des buts de contrôle de l'esprit. Il a mené de nombreuses recherches sur les jumeaux. Ils ont alors découvert quel niveau exactement de trauma vous pouvez infliger à différentes personnes avant de les tuer. Le trauma a pour effet de placer le cerveau en mode de survie. Maintenant, il faut que j'explique que la conception populaire selon laquelle le cerveau est une chose monolithique est une vraie manipulation. Ce fait a été gardé très secret. Le cerveau humain n'est pas une chose d'un bloc mais il y a en réalité 7 cerveaux en un. Le premier cerveau de l'âme humaine –le médullaire- est appelé " cerveau reptilien " parce qu'il " pense " comme un reptile le ferait. Si vous traumatisez constamment une personne, vous le maintenez dans un mode de pensée reptilienne ou basée sur la survie. Le mode de pensée fondée sur la survie présente certaines caractéristiques. A un niveau très élémentaire, le trauma peut être employé pour maintenir quelqu'un dans un mode de pensée fondée sur la survie. Le trauma génère également de la peur et il y a toute une série de choses qui surviennent sur un plan spirituel quand on est englué dans la peur. Si vous pensez en termes de chantage ou de contrainte, un auditeur peut se souvenir de l'époque où il était enfant et que quelqu'un lui attrapait le bras, le tordait et disait " Répète : Merci mon Oncle " et bien entendu, vous aviez mal au bras et vous vous soumettiez. C'est un type de " Mind Control " très simple. Le trauma et la torture peuvent être utilisés de façon très élémentaire : si vous n'obéissez pas, cela va vous faire très mal. Les gens qui sont esclaves sont soumis à des électrochocs sur les parties génitales. C'est extrêmement douloureux. C'est une technique très commode pour soumettre quelqu'un. Bien entendu, il y a des techniques de trauma qui sont employées pour éclater l'esprit de quelqu'un, le morceler en milliers de pièces et créer le syndrome de personnalité multiple. C'est donc l'une des techniques.

     

    W.M : Pour rester dans le sujet du trauma, quelle importance cela a-t-il de poursuivre le trauma afin de maintenir intact le conditionnement et l'état de dissociation ?

    F.S : Ils veulent maintenir un haut niveau de transe et de comportement dissociatif auprès de la victime et pour ce faire, ils continuent à la traumatiser. Comme je l'ai mis en évidence plus tôt, il ne s'agit pas simplement de maintenir un haut niveau de dissociation. Vous tentez également de conserver la personne dans un mode de pensé reptilienne et fondamentale de survie. Comment ? En faisant en sorte qu'un état de peur continuel contrôle sa vie de façon à ce qu'elle ne se relâche jamais. Ils entraînent secrètement les parents des enfants, parents qui seront programmés pour savoir comment abuser de leurs enfants afin de maintenir chez ces derniers un état de dissociation mental. Et pas seulement cela ! Si leurs enfants vont dans des institutions religieuses, par exemple l'église épiscopalienne ou catholique, leurs prêtres, leurs pasteurs et prédicateurs ont également été formés pour abuser des enfants. Un si grand nombre de prêtres abusent des enfants. Des procès se sont tenus contre ces églises. Des gens se sont dits que ces procès allaient provoquer la faillite financière de ces églises. Il faut en déduire alors que la plus grande partie de toute cette affaire se déroule dans le seul but du " Mind Control ".

     

    W.M: Ces prêtres et membres du clergé ont-ils subis des pressions pour participer à ces actes ou bien, font-ils parties de ces familles Illuminati ? Quel est leur rôle ?

    F.S : Il y a nombre de raisons différentes pour lesquelles quelqu'un est un pédophile. L'un des problèmes au sein de l'église catholique est qu'il n'y a pas d'exutoires adéquats et normaux pour les activités sexuelles des prêtres et des nonnes. Alors, on leur offre ces échappatoires subversives pour libérer leur sexualité. Certains d'entre eux sont en réalité des " satanistes " occultes. L'enfant fait partie de la récompense qu'ils reçoivent de la part d'une congrégation, d'un groupe secret. Il y a différentes raisons au pourquoi de tout cela : certains participent à ces activités parce que la plupart des autres le font et que tout cela est permis jusqu'à ce que des personnes ne soient pas d'accord et affirment qu'ils ne tolèreront pas une telle situation. J'ai ainsi pu évoquer un certain nombre de cas où des gens étaient en désaccord avec ces pratiques. Ils ont affirmé : " nous n'allons pas tolérer plus longtemps ces abus contre nos enfants par le clergé " et en fait, la hiérarchie avait simplement pénalisé cette personne en donnant une promotion aux abuseurs et en les envoyant dans d'autres parties du pays. Pourquoi ont-ils agi de la sorte ? Dieu sait pourquoi telle personne devient un abuseur.

     

    W.M : Pouvez-vous expliquer comment la dissociation a été employée en terme de programmation et de structure de cette programmation ?

    F.S : La victime du Mind Control voit son âme se morceler en de nombreuses personnalités, en fait bien plus de personnalités que ce que la communauté thérapeutique pense en général. Cisco que j'ai tirée des griffes des Illuminati possède une programmation standard sous de nombreux aspects même si elle présente en réalité une structure unique au cœur de son système de personnalités. Elle a une grille standard de personnalités alternatives ou " alter " construite sur un schéma de 13 13 13 alter différents. Chacune de ces personnalités a reçu une histoire séparée. Chaque personnalité a ses propres préférences et dégoûts. Leur action sur la personnalité a consisté à changer ce qui était une personne en une véritable " ville " de personnes. La seule manière pour que l'esprit d'un esclave puisse fonctionner est que la victime puisse se relier à son Maître pour qu'il lui donne sa stabilité. Imaginez que votre âme est une vaste série de personnes en compétition, chacune avec ses propres idées, ses propres inclinations et dégoûts. La seule manière de ramener un certain ordre dans le chaos serait d'avoir une entité contrôleuse qui met de l'ordre dans ce chaos. Certains des esclaves ont atteint un point où ils deviennent conscients qu'ils sont multiples. Aux niveaux les plus profonds, ils réalisent qu'ils ont besoin de " Mind Control " pour leurs esprits (leurs alter) afin de ne pas tomber dans la folie totale. Il y a une autre façon de considérer cela : les Illuminati génèrent une folie contrôlée pour ces victimes du " Mind Control " afin qu'elle puisse endurer le trauma horrible qu'il leur est infligé. Il y a donc les parties de l'esprit qui ont été frappées par ce trauma. Certaines de ces parties de l'âme subissent les " saloperies " qui leur sont infligées et l'âme sélectionne ces déchets et les isole. C'est une folie contrôlée même si je déteste employer le mot " folie ". Si les murs de dissociation venaient à se briser, alors les autres parties de l'esprit devraient affronter en une fois toutes ces saloperies.

     

    WM : Pourquoi pensez-vous qu'ils ont besoin de mettre en place un si grand nombre d'identités ?

    F.S : Si vous voulez investir du temps pour créer un robot, vous allez y incorporer autant de potentiels et de capacités possibles. Vous voudrez tout compartimenter afin que cela reste secret. Une des raisons pour lesquelles les agences de renseignement fonctionnent si bien –par exemple la CIA- est qu'il compartimente tout. Vous avez seulement la " connaissance " des choses sur une base régionale. Ils font la même chose avec l'esprit de ces gens. Un esclave peut fonctionner sur différents niveaux. Un esclave possède une personnalité de façade –ils créent la meilleure façade possible- et ensuite, ils peuvent employer cette personne pour le trafic de drogue, le blanchiment d'argent, le transport de messages, la participation à des rituels sataniques, la production de films porno, l'assassinat de quelqu'un, l'espionnage. Ensuite, vous avez aussi des jobs internes. Pour revenir à ce que je disais plus tôt, souvenez-vous comment l'esprit a été morcelé en de nombreuses parties dissociées et qu'en fait, une ville entière de personnes a pu être fabriquée à l'aide de ces parties. Pour que cette " ville " de personnalités puissent fonctionner, vous devez avoir différentes tâches, différents jobs. Certaines des personnalités les plus anciennes prendront soin des personnalités internes les plus jeunes, les " bébés " de personnalités dans l'esprit de la personne. Ensuite, vous avez des fonctions, des rôles comme par exemple le rôle des " gardiens de porte ". Il s'agit une hiérarchie d'alter qui contrôlent et gardent les autres alter, une hiérarchie de personnalités. C'est une véritable science en elle-même, notamment comment structurer entre elles les parties dissociées d'un esprit.

     

    WM : Vous avez parlé d'une structure, d'une grille de 13 13 13. Est-ce qu'il y a d'autres structures dont vous êtes au courant ?

    FS : Il existe de nombreuses structures différentes. Tout dépend des lubies et fantasmes du programmeur lorsqu'il façonne l'esprit de la victime. Il peut assembler cet esprit comme il le désire. Il peut le former et l'utiliser comme une sphère. Ils créent aussi des systèmes à l'intérieur de systèmes. Un système commun à l'intérieur d'un autre système se réfère à l'arbre de vie de la cabale.

     

    W.M : Est-ce que vous voyez des similarités chez les survivants avec lesquels vous avez travaillé en termes de structures ?

    F.S : Oh oui, c'est une des choses importantes ! Vous pouvez avoir un thérapeute dans un Etat et il ne saura absolument rien du MPD ou DID. Il commence à travailler avec la victime, appelle un autre thérapeute à l'aide et prend des notes. La victime dira : " Je rejette ces images, j'ignore ce qu'elles veulent dire " ou encore : . " Je suis fasciné par Star Trek (ou par Mickey Mouse ou par le Magicien D'Oz) ". Le thérapeute va appeler un collègue pour lui demander quoi faire avec ces lubies. Si cet autre thérapeute a une certaine expérience, il peut dire : " j'ai quelqu'un qui est justement comme cela ". Dans tout le pays, il y a des thérapeutes qui, comme moi, travaillent avec ces gens qui fonctionnent tous sur cette même structure encore et encore, toujours ces mêmes structures. Comme je le disais : travailler avec des gens qui étaient dans les Illuminati, travailler avec des gens qui ont eux-mêmes conçu les programmes, m'a vraiment fortement aidé à accroître ma courbe de savoir en termes de structures construites. Une autre structure commune que vous trouverez chez des victimes s'avère reposer sur un grand nombre d'images miroirs. C'est en réalité plus une " technique " qu'une structure.

     

    WM : Qu'est ce que vous voulez dire par-là ? Le miroir est le reflet d'un alter ?

    F.S : Le " reflet miroir " de nombre de choses. Il s'agit d'une partie d'une technique de manipulation et de tromperie.

     

    WM : Quel est but d'utilisation de ce miroir ? Par exemple, si un thérapeute arrive à entrer en contact avec une personnalité " alter ", il peut s'agir seulement d'un miroir de cet alter et non de la personnalité en elle-même… ?

    FZ : Nombre de thérapeutes pensent qu'ils ont affaire à une personnalité particulière mais ils se trouvent face à une image miroir. Ils programment et créent des systèmes de telle façon que si quelqu'un commence à travailler avec cet alter, il y aura tous ces mécanismes de défense qui seront déclenchés. L'un de ces mécanismes de défense consiste à avoir un alter sous la forme d'une image miroir qui prend la place de l'alter avec lequel les thérapeutes pensent travailler. Donc, les thérapeutes pensent qu'ils ont fait quelque chose de concret mais en fait, les programmeurs ont juste joué des jeux. Au sein de la programmation en elle-même, il y a donc les images miroirs des choses pour égarer l'esprit. Lorsqu'une personnalité particulière essaie de travailler sur la programmation de son esprit, l'esprit est dans un tel état de confusion sur ce qu'il est dans sa structure interne qu'il n'arrive plus à imaginer ce qu'est son propre esprit, ce qu'il est vraiment. Le meilleur " manager " est quelqu'un qui ne va passer beaucoup de temps à donner des instructions à une personne. Si vous êtes un maître d'esclaves, vous devez constamment dire ce que l'esclave doit faire. Vous devez constamment le corriger et être certain qu'il fait son travail au point que vous devenez l'esclave de l'esclave. Ce que vous voulez faire est de créer un robot humain qui va s'auto diriger et s'auto corriger. Donc, ils vont créer une hiérarchie d'alter à l'intérieur de la personne. L'une des manières d'y parvenir est de créer des personnalités alternatives à l'intérieur de l'esprit afin que ces personnalités alternatives en arrivent à croire qu'elles sont le programmeur lui-même.

    Par exemple, Ewen Cameron était un programmeur : sa victime pouvait avoir des personnalités internes qui penseraient qu'elles sont elles-mêmes Ewen Cameron. Par conséquent, les victimes vont prendre en charge et perpétrer des abus contres leurs autres propres personnalités comme ils percevraient qu'Ewen Cameron le ferait. C'est l'une des utilisations des miroirs. Une autre fonction des miroirs est que si vous réunissez ensembles deux esclaves, par exemple, vous allez combiner vous et moi. J'aurais des personnalités créées en moi qui penseraient qu'elle sont vous et vous auriez des personnalités créées en vous qui penseraient qu'elles sont moi. Cela va accroître le processus de liaison entre nous.

     

    WM : D'une façon générale, avec les gens qui ont ce genre de " Mind Control ", de combien de personnalités parle-t-on ?

    F.S: De beaucoup ! Cisco avait 30.000 alter standards et en plus, il y avait un grand nombre de fragments dissociés. Cela n'était pas anormal. Une petite partie de la communauté thérapeutique qui essaie de traiter le syndrome DID travaille en général avec les quelques personnalités de façade. Certains livres ont été rédigés par des gens victimes du DID avec lesquels les thérapeutes ont travaillé en traitant seulement 5 à 6 personnalités de façade. Les Illuminati ont fait marche arrière et leur ont permis d'intégrer certaines personnalités de façade. Le thérapeute a alors signifié à la victime : "vous êtes maintenant intégré, guéri, vous avez tout intégré, tout va bien". Ils terminent la thérapie et tout le monde est content. Les victimes pensent alors qu'elles sont libérées du syndrome MPD / DID. Le thérapeute a gagné pas mal d'argent et est devenu célèbre avec les quelques livres qu'il a écrit. Les Illuminati sont contents parce qu'il s'agissait juste des personnalités de façade qui avaient été traitées et stabilisées. Le système des alter est bien plus complexe que ce que les gens pensent.

     

    W.M: Dans votre propre travail, combien de succès avez-vous rencontrés en travaillant sur les victimes du Mind Control?

    F.S: Le problème que le " Mind Control " représente est écrasant. Il y a d'innombrables difficultés thérapeutiques et donc, il n'y a pas de fin à ces différents problèmes sur lesquels on travaille. Cisco et moi-même, nous avons donné librement notre temps pour aider autant de victimes possibles de toutes les manières possibles. Le degré de succès thérapeutique dépend d'un certain nombre de facteurs. Premièrement, tout dépend de la situation dans laquelle la victime s'est elle-même mise. Ces victimes doivent accepter de se laisser extraire de leur vie quotidienne pour se rendre dans un endroit sécurisé. Les thérapeutes vont devoir alors en faire énormément ; bien plus en fait qu'ils ne le pensent. Ils vont devoir travailler sur plus de problèmes thérapeutiques parce que l'esprit de personnes victimes de " Mind Control " ne baisse pas la garde tant qu'il ne se sent pas en sécurité. Cela nous pousse à comprendre comment l'esprit reptilien et le mode de pensée basé sur la survie peut se surimposer sur les autres régions de l'esprit. Quand vous commencez à avoir peur de perdre la vie, une peur à presque en mourir, vos instincts de survie prennent le dessus sur les autres parties de votre cerveau. Si vous avez été traumatisé votre vie entière, votre mode de pensée fondé sur la survie sera votre forme de pensée primaire. Il ne faudra pas attendre longtemps avant que vous vous retrouviez plongé dans la peur basée sur la pensée de survie. Donc, le premier critère pour faire un bon travail couronné de succès avec une victime du contrôle de l'esprit consiste à trouver d'abord un endroit sécurisé. Vous pouvez dire que 99,9% des victimes de " Mind Control " n'ont jamais obtenu un tel endroit. Les thérapeutes font donc en sorte que les victimes ou les survivants se retrouvent dans des circonstances sécurisées. Quand je dis " sécurisé ", je veux dire sûr 24h sur 24. Cisco et moi avons été seulement capables de travailler avec des victimes à un degré que la situation nous permettait d'atteindre. Il n'y a jamais de fin au travail que nous pouvons entreprendre si un bon environnement se présente de lui-même. C'est la raison pour laquelle j'espère pouvoir créer un centre de déprogrammation. Il y avait un homme à la CIA qui était totalement horrifié de ce que les agences de renseignement étaient capables d'infliger aux gens. J'ai un ami que cet homme de la CIA connaît et qui travaille également dans un établissement de thérapies pour les victimes de Mind Control. Cet agent de la CIA a écrit dans son testament qu'il faudrait donner des millions de dollars à mon ami et mes " clients " afin de faire un travail de thérapie sur les victimes du Mind Control. En retour, mon ami me donnerait deux millions de dollars pour que je démarre ce centre de déprogrammation. Les dernières volontés testamentaires de cet homme se trouvaient au moment de son décès dans le Oklahoma Federal Building (ntr : l'immeuble du FBI victime de l'attentat de T.Mc Veigh). La seule et dernière copie de ce testament à notre connaissance se trouvait là. De ce fait, j'étais très en colère lorsque le building a explosé parce que cela a court-circuité nos plans pour construire deux centres de déprogrammation. Le fait de ne pas pouvoir construire un endroit sécurisé avec du personnel compétent nous rend le travail extrêmement difficile et on ne sait pas vraiment en faire plus.

    Même lorsque j'ai accompli une thérapie positive avec une victime, tout ce que l'on peut faire est de saisir la personne physiquement et de la reprogrammer. C'est ce qui s'est passé pour moi ces dernières années à savoir de simplement pouvoir aider les victimes. A ce point de l'affaire, je constate que rien n'a pu vraiment être accompli dans la communication avec le grand public et la communauté thérapeutique afin de déjouer le Mind Control.

     

    W.M: A votre connaissance, Fritz, quels groupements sont impliqués dans l'utilisation d'esclave sous Mind Control ?

    F.S: Communément, les esclaves sous Mind Control sont employés par les organisations du renseignement, des groupes occultes, des groupes militaires et de petits groupes religieux. De nombreux criminels sont liés par des réseaux à ces groupes. Par ailleurs, l'appellation qu'ils emploient pour se désigner eux-mêmes est "le Réseau" (The Network). Si nous voulons être plus précis sur ces groupes, je peux vous donner les catégories générales au sens large. Au sein des forces militaires US, nous avons par exemple les Delta Forces, le premier bataillon terrestre (First Earth Battalion) qui sont en fait des unités sous " Mind Control ". Ensuite, vous avez les esclaves du contrôle mental qui sont disséminés dans toutes les branches " régulières " des institutions. Dans vos propres organisations de renseignement, certains des plus grands prédateurs viennent du MI6 (ndr : services de renseignement britannique) et bien entendu leur section P4. Il y a aussi les services de renseignement de la Marine (Naval Intelligence) qui s'appellent l'Office of Naval Intelligence (ONI). Mais également, de nombreuses organisations gouvernementales comme le bureau des narcotiques, le FBI, la NASA. Quand vous observez le genre de groupes occultes qui utilisent le contrôle total de l'esprit basé sur le trauma, vous trouverez le KKK (Klu Klu Klan), les Néo Nazis, l'OTO (ordre du temple Orientis). Vous allez aussi trouver des groupes comme les Francs-Maçons et les Oddfellows. Ensuite, vous avez des groupes occultes beaucoup plus "hardcore" comme la " Church Of Satan ", les " Children Of Lucifer ", la " Society of the Dark Lily ". Vous trouvez aussi des religions. Vous avez ces petits groupes religieux qui étaient intéressés par la comète Halle Bopp au point qu'ils ont perpétré un suicide collectif. Des petits groupements de ce genre. Selon une information en ma possession, David Koresh et ses dirigeants étaient des esclaves sous contrôle mental qui menaient des méthodes de contrôle de groupes sur leur propre communauté de la branche davidienne. Vous avez donc ces toutes petites congrégations jusqu'à des groupes beaucoup plus large comme l'église catholique, l'église des Mormons et le mouvement charismatique.

     

    W.M: A propos de certaines des branches militaires que vous avez mentionnées –comme les Delta Forces et le First Earth Battalion- est-ce que vous voulez dire que tous les gens qui sont dans ces unités sont sous " Mind Control "?

    F.S: A l'intérieur des Delta Forces, on parle de 100% des soldats. En ce qui concerne le First Battalion, pour ce que j'en sais, il s'agit aussi de 100% A l'intérieur de l'armée –l'armée en tant qu'unité de forces spéciales par exemple- je suis désolé de le dire et c'est absolument vrai, l'US Army a sélectionné des unités spéciales d'assassins qui voyagent dans tous les USA pour éliminer des gens. D'après mes informateurs internes qui connaissent ce sujet, ces unités ne sont pas entièrement constituées d'esclaves sous contrôle mental. Mais ils disposent d'une variété de méthodes de contrôle sur ces gens. Ce que je suis en train de dire, je pense, c'est que même si vous trouvez quelques esclaves sous Mind Control dans quelques autres branches de l'armée, les deux premières unités dont j'ai parlé sont les seules à ma connaissance qui sont entièrement constituées de robots sous " Mind Control ".

     

    W.M: Ces "opérateurs" militaires, ont-ils été l'objet de conditionnement basé sur le trauma depuis l'enfance ?

    FZ: Oui, c'est ce dont je parle !

     

    WS: Comment est-ce que les gens qui aboutissent entre les mains de ces forces sont introduits au cœur du " Mind Control " ? Via leurs familles par exemple?

    FS: Bon, ces hommes (de ces unités d'élite) sont des victimes de " Mind Control " et ils pourraient effectivement être placés sous contrôle mental depuis l'enfance.

     

    W.M :Ces victimes sont-elles typiquement issues de familles de militaires ?

    FS: Elles proviendraient d'un large panel. Si vous observez la façon dont les militaires font les choses, il y a un grand nombre de ces "morveux militaires" comme ils les surnomment, de ces enfants de militaires qui seront placés à des postes de responsabilité.

     

    W.M : Dans les meilleurs cas, jusqu'à quel point avez-vous été capable de libérer les victimes du Mind Control?

    FS: Dans les meilleurs des cas, lorsque nous avons quelqu'un qui est en situation de sécurité, nous pouvons éliminer le contrôle de l'esprit. Nous pouvons opérer de sérieuses restructurations et de sérieux progrès en aidant une personne. Nous pouvons faire un travail spirituel significatif avec elle. … Bon nombre de choses peuvent arriver. D'un côté, est-ce que ce travail se terminera un jour ? Je ne le pense pas. Les dégâts qui ont été infligés sont si étendus que vous ne rencontrerez jamais un thérapeute qui aura réussi à retrouver tous les fragments dissociés de l'esprit. Souvenez-vous qu'il y a des milliers de fragments de l'esprit parce que la traumatisation s'est prolongée pendant tant d'années. Vous avez en fait toutes ces parties dissociées de l'esprit et chacune d'entre elles a probablement un programme qui y est attaché.

     

    W.M : Selon vos estimations, combien de personnes sont affectées par cela ?

    F.S: Selon des estimations très prudentes, je ne devrais même pas dire des "estimations" parce que je les ai dénombrées sous 7 angles différents – donc selon des estimations prudentes, il y aurait 2 millions d'Américains qui ont été programmés avec le " Mind Control " fondé sur le trauma.

     

    W.M: Et cela simplement aux USA ?

    FS: Oui !

     

    W.M : Et d'après votre intuition, est-ce un phénomène mondial?

    FS: Oh bien entendu, ça l'est. Encore plus avec vos puissances politiques " primaires ". Vous avez des programmations qui se passent en Europe, en Russie, aux USA. Ce sont les zones "primaires" de programmation mais il y a d'autres endroits également.

     

    W.M : Je voudrais que nous parlions maintenant de certaines autres techniques de Mind Control . De quelle façon l'électricité joue-t-elle un rôle ?

    FS: Les chocs électriques sont une partie standard des abus quand elle se veut être une forme de trauma. Ainsi, les "Stun Guns", les armes à électrochocs sont des outils standards pour faire obéir les esclaves mais aussi pour effacer les mémoires. Ils peuvent employer aussi des armes à décharges de 120.000 volts pour effacer et compartimenter les fragments de mémoire, des mémoires d'esclaves qui viennent juste d'être utilisées. Lorsque vous électrocutez une personne, cela détruit la mémoire à court terme. Ce traumatisme la fragmente pour 24h, quel que soit l'événement qui est arrivé. Ils peuvent également utiliser les traitements de choc comme l'a fait le Dr Ewen Cameron (ndtr : chercheur psychiatre qui a perpétré de nombreux abus dans un institut mental au Canada) pour éclater l'âme comme le ferait un électrochoc. L'électricité a été utilisée par le biais de technologies qui ont été implantées dans le corps de victimes mais aussi par le biais d'équipements qui sont capables de projeter des pensées dans l'esprit d'une personne. Vous avez des tours à micro-ondes qui peuvent émettre des ondes ELF (Extremely Low Frequencies), des ondes à très basses fréquence dans l'esprit des gens. Donc, l'esprit est instrumentalisé dans le cadre de nombreuses technologies… Ils ont différentes machines comme l'EDOM, Electronic Dissolution of Memory (dissolution électronique de la mémoire) avec laquelle ils effacent complètement la mémoire. Vous avez des machines harmoniques qui sont employées et que certains de vos invités ont sans doute déjà mentionnées. Ces machines peuvent être aussi utilisées pour la déprogrammation. L'électricité est également essayée. Depuis que l'on sait que le cerveau humain dégage des fréquences, ils peuvent s'y immiscer et scanner les fréquences individuelles. Il y a une fréquence, une fréquence primaire que la personne émet et qui peut être employée pour l'identifiée à distance. Pour examiner cela sous un angle différent, si vous pensez au cerveau quand il crée une pensée particulière, il émet également des fréquences particulières identifiables. Ils " suscitent " donc simplement des pensées particulières dans le cerveau d'une personne et surveillent les impulsions électriques qui sont rattachées à cette pensée et enregistrent tout cela dans un ordinateur. Je simplifie ce qu'ils font mais fondamentalement, c'est ce qu'ils ont fait pour décoder et être capable de visualiser ce qu'un cerveau est en train de penser. Si vous surveillez les fréquences qui sont émises par une personne, alors vous êtes capable de surveiller le contenu de ses pensées. De ce fait, non seulement, vous pouvez projeter certaines pensées dans l'esprit d'une personne mais vous pouvez également les surveiller. Nombre d'opérations de surveillances et d'émissions de pensées sont effectuées à l'aide d'implants.

    (…..)

    W.S: Pouvez-vous nous parler du développement de la technologie relative aux implants cérébraux et comment ils sont employés pour le Mind Control ?

    F.S: Il y a 6 sortes d'implants différents. Des implants " audio " qui sont employés pour permettre à une victime d'entendre quelque chose. Des implants pour la manipulation du corps qui sont placés pour traiter le corps de telle façon que cela libère une hormone, empêche une personne de tomber enceinte ou pour la torturer, quelque chose comme cela. Ensuite, vous avez des implants visuels holographiques qui vont émettre des images holographiques dans la tête d'une personne. Vous avez des implants qui sont liés au cerveau ou qui les imitent. Ils agissent comme si je voulais directement charger et enregistrer quelque chose dans le cerveau. Ce sont des implants très secrets. Les implants ne sont pas employés partout avec tous les esclaves sous " Mind Control ". Ce sont des groupes sélectionnés qui reçoivent ces implants et comme pour les implants agissant comme leurres, ils sont donnés à des groupes sélectionnés. Ensuite, vous avez des implants de torture, des stimulateurs musculaires. Ensuite, celui dont tout le monde a entendu parler : les implants d'identification et de traque qui concernent tout le monde. C'est le genre d'implants que l'on a donné en grand nombre aux soldats américains à l'occasion de l'opération Desert Storm. On leur a dit qu'ils avaient besoin de ces implants afin que le système GPS puisse les suivre pour qu'ils ne se perdent pas dans le désert.

     

    W.M : Je suis curieux de savoir comment on implante aujourd'hui ces implants et de quelles tailles sont-ils approximativement ?

    F.S : Le développement des implants a vraiment pris une voie high tech. Vous avez différents types de développements qu'il faut mettre en évidence. L'un de ces implants est appelé Nanobots (ou nanorobot) – une nanotechnologie qui s'avère être de minuscules petits robots qui vont de 10 à 1/1000 milliardièmes de mètre. Le mot " Nano " signifie milliardième, nous parlons ici de robots extrêmement microscopiques qui sont capables de se répliquer eux-mêmes. Des robots de taille moléculaire. Peut-être que les auditeurs ont entendu parlé du " Scanning Tunnelling Microscope ", le microscope à effet de tunnel ? Il y a différents noms pour en parler mais ce petit appareil peut percevoir un simple atome et prendre en réalité des atomes et les déplacer. Cette technologie a été employée pour développer ces " nanobots " qui sont des robots qui peuvent se répliquer. Vous avez les fibres optiques qui ont été développées. Vous avez certaines victimes qui veulent se débarrasser de leurs fibres optiques. Il faut savoir que ces fibres optiques sont implantées dans les victimes et ressemblent souvent à des cheveux.

     

    W.M : Pourquoi utilise-t-on en gérénal ces fibres optiques ?

    F.S : Bonne question ! J'espèrerais vraiment connaître la réponse à cette question. Le verre de la fibre optique va transporter des signaux, donc de manière générale, je peux dire que ces implants sont employés pour transmettre des signaux. Je n'en sais pas plus. Je ne connais pas tous les tenants et aboutissants et quels genres de signaux sont émis. J'ai eu une victime de Mind Control qui était assise dans un restaurant : ils ont employé une sorte de sarbacane avec laquelle ils l'ont touchée en envoyant quelque chose qui ressemble à un mince cheveux. Le filament de fibre optique qui y était inséré s'est implanté dans sa peau. Alors qu'elle était assise et qu'elle mangeait, ils l'ont touchée avec ce filament. Heureusement, elle s'est rendue compte de ce qu'ils lui avaient fait et elle l'a retiré. J'ai eu des femmes victimes qui avaient des fibres optiques qui étaient maquillées sous la forme de cheveux et de poils. Ceux-ci avaient été implantés dans leur corps. Je ne connais pas le rôle complet joué par ces fibres optiques mais je sais que cela a un rapport avec la communication. L'un des plus dangereux progrès en cette matière se révèle être les bio processeurs organiques. Ce sont des ordinateurs moléculaires qui sont fabriqués sur base de matériaux d'ADN. Vous avez ces chaînes d'ADN et vous pouvez aussi avoir ces chaînes carbonées (ndtr : suite de molécules de carbones qui forment ce que l'on nomme la chimie organique, les acides aminés etc.) qui sont utilisées. Ce qu'ils font avec ces matériaux biologiques revient à les employer dans un mini ordinateur. Ils vont relier cette technologie à un virus. Les virus se dirigent souvent vers des régions du corps dans lesquelles ils aiment migrer. Par exemple, un virus " neurotrope " va migrer dans le système nerveux. Un virus dermatrope migrera dans la peau, le virus pneumotrope ira dans les poumons etc… Ils vont attacher leur petit ordinateur viral à ce virus. Comment créer un virus à l'intérieur d'une personne ? Il y a des douzaines de façon d'y parvenir, c'est facile d'avoir un virus dans le corps d'une victime / hôte. Donc, lorsque ces virus migrent vers cette région du corps laquelle ils ont une prédilection,  ces minuscules petits implants vont alors remplir toutes les fonctions pour lesquelles on les a programmés. Ils sont extrêmement difficiles à localiser. J'ai noté que les victimes qui ont ces implants viraux présentent une sorte d'implant central de contrôle qui, très souvent, sera posé à la base de la nuque. L'implant central de commande recevra des signaux externes et en retour, il surveillera les autres implants qui se trouvent dans le reste du corps. Certaines des victimes de ces implants semblent éprouver certains soulagements lorsqu'ils sont capables de tuer ces virus. Il existe des méthodes médicales alternatives qui semblent suggérer aux victimes qu'elles peuvent se débarrasser de ces bio processeurs.

     

    W.M : En ce qui concerne les implants plus volumineux, les victimes ont-elles été capables de localiser et d'enlever certains de ces implants ?

    F.S : Oui, Il y a un certain nombre de victimes qui ont été identifiées et qui ont pu se soumettre à des rayons et à d'autres technologies de scanning. Il y avait trois victimes de " Mind Control " électronique qui, en tant que groupe, se sont arrangées pour se rendre dans une chambre " Anacoic " ( ?). Ils ont obtenu des résultats lorsque leurs signaux ont été identifiés comme source. Ils ont du évacuer en cachette, hors du laboratoire, toute la paperasse relative aux analyses parce que les techniciens du labo avaient peur d'avoir des ennuis. Différentes victimes de " Mind Control " électronique se sont arrangées pour avoir des preuves. Elles ont réussi à les sortir et à les conserver dans un endroit sûr. Certains médecins sont en réalité en possession de certains de ces implants. Mais très peu de chirurgiens honnêtes acceptent d'aider les victimes. Je vais vous parler du mot Syntel ici… c'est un mot important pour les gens qui sont familiers du monde des implants et de la compréhension de cette technologie. Syntel a été un sujet de débat pour notre gouvernement et ce, de façon répétée dans certaines de leurs conférences. Vous entendrez les militaires en parler dans certaines de leurs mini-conférences semi secrètes. C'est l'abréviation de Synthetic Telepathy, ce qui veut dire que l'on envoie des voix et des pensées dans l'esprit des victimes, de ce fait, les victimes de Syntel sont des gens qui perçoivent des voix et des pensées électroniquement.

     

    W.M : Ce genre d'implant semble être employé de plusieurs manières en termes de contrôle mais aussi dans les cas où des gens affirment entendre des voix. Ces gens sont le plus souvent désignés comme étant des schizophrènes ou psychotiques. Cela semble être une manière de discréditer les gens ?

    FS : Il y a une technologie a été développée et utilisée pendant le programme spatial et que l'on appelle la télémétrie biomédicale. Ce sont des émetteurs et des transmetteurs qui sont fixés à la base du crâne. Ils enregistrent les fonctions corporelles et les ondes cérébrales et renvoient ces données à un ordinateur quelque part. En fait, ayant travaillé avec les victimes de Mind Control électronique, je peux dire avec certitude ce qui se passe : ce sont des ordinateurs qui sont programmés avec des intelligences artificielles qui seront les maîtres, les programmeurs des victimes. Plutôt que d'avoir un maître disponible humain jour et nuit ou plutôt trois équipes de " maîtres humains " contrôlant la victime, l'esclave sous Mind Control jour et nuit, ils utiliseront des ordinateurs dotés d'une intelligence artificielle. Alors, si la victime fait quelque chose qui dépasse l'ordinateur, l'ordinateur va le signaler et un être humain entrera en jeu et prendra les choses en main. C'était plutôt intéressant, ces histoires de ces victimes qui m'ont raconté comment elles avaient concurrencé et dépassé les ordinateurs qui essayaient de les prendre en charge.

     

    W.M : Je voudrais que nous parlions de quelqu'un dont vous avez mentionné le nom, Josef Mengele. Quel a été son rôle dans le " Mind Control " ?

    FS : Il est comme une sorte de père de la programmation moderne. Avant Mengele, les Illuminati avait déjà créé le syndrome MPD mais l'entraînement de ces personnalités se basait sur des méthodes non scientifiques. Mengele travaillait beaucoup avec des jumeaux dans le domaine de la compréhension du trauma et sur la façon de l'utiliser. Si quelqu'un est en passe de mourir, il est secouru par son programmeur et par conséquent, il est lié " traumatiquement " avec le programmeur. Mengele a appris comment lier à lui une victime par le trauma. Nombre de victimes du " Mind Control " en Israël et dans d'autres parties du monde se réfèrent à lui comme un " Papa ". Elles l'aiment. Et si le programmeur sait ce qu'il fait, il peut profondément relier cette victime par le trauma de façon à ce qu'elles aiment leur programmeur.

     

    WM : C'est comme le syndrome de Stockholm ?

    FS : Il a amené la programmation dans le monde de la science. En janvier 1945, quand il fut évident que les Nazis allaient perdre la guerre, les Illuminati l'ont secrètement envoyé en Occident où il a poursuivi ses recherches dans la programmation. J'ai travaillé avec un nombre de victimes de son " Mind Control ". L'une de ses victimes, une femme qui vient de cette région était dans le camp de concentration avec Mengele lorsqu'elle était enfant. Elle a expérimenté tout cela en tant qu'enfant, elle a vu toutes ces horreurs et son contrôle de l'esprit a été édifié dans les camps de concentration. Ensuite, elle a été envoyée en secret via la Ratline (ndtr : réseau d'évasion organisé par le Vatican pour les Nazis pour les sortir d'Europe vers l'Amérique) vers votre pays, le Canada pour finir entre les mains de collaborateurs de l'église catholique. Elle a été conduite au Québec puis à Portland. Et Mengele a poursuivi ses techniques du contrôle de l'esprit ici aux USA.

     

    W.M : Est-ce que Mengele a été impliqué dans des expériences de Mind Control avant la seconde guerre mondiale?

    FS : Je ne le crois pas. Il était dans les Illuminati. Sa famille est Illuminati mais je n'ai aucune connaissance de ce qu'il a fait avant la guerre. Bien entendu, je ne connais pas l'entièreté de l'histoire. Mais il doit y avoir certaines raisons pour lesquelles il a été choisi pour occuper la fonction et le poste qu'on lui a octroyé. Il doit y avoir plus de choses que la simple histoire que je connais.

     

    W.M : Il semble que beaucoup d'expériences ont été perpétrées sur des victimes de l'Holocauste. Vous avez évoqué des expériences traumatiques. Quelles autres sortes d'expériences ont été faites et qui peuvent être reliées à la technologie du contrôle de l'esprit ?

    FS : L'une des expériences que Mengele a menée et que son ami Ewen Cameron a poursuivie fut l'expérience sur la couleur des yeux. Peut-on dire que cela a un rapport avec le contrôle de l'esprit ? Bon, comme je l'ai dit plus tôt, ce genre de " Mind Control ", c'est le contrôle total de l'esprit. L'esprit, le corps et l'âme d'une victime sont totalement contrôlés. C'est bien plus étendu que ce que les gens imaginent. Ce genre de " Mind Control " régule les battements cardiaques d'une victime et bien d'autres choses. C'est pourquoi une programmation suicidaire par exemple (NDR : programmer une victime à se suicider lorsqu'un stimulus ou code particulier est activé) peut être aussi puissante. Il a commencé ses expériences sur la pigmentation qu'Ewen Cameron….(NDR : phrase non poursuivie, brusquement interrompue) Au fait, Mengele, lorsqu'il est arrivé aux USA, était connu sous le nom de programmation de Dr Green et Cameron était connu sous le nom de Dr White dans les cercles Illuminati. Concernant Cisco Wheeler (que j'ai sortie des Illuminati), son père était connu sous le nom de Dr. Black (NDR : une autre histoire circule sur cette appellation. Dr Green ou Dr Greenbaum ne serait pas le nom de Mengele mais celui d'un ancien détenu de camp, victime de Mengele et qui a réussi à survivre. Il aurait été pris en charge par la CIA et aurait poursuivi les expériences de son abuseur qui était devenu son mentor. Voir The Franklin Cover-Up de John De Camp)

     

    W.M : Vous affirmez que Cameron et Mengele étaient amis et associés ?

    FS : Oui ! Cisco rencontrait occasionnellement ces hommes (les Dr Green, White ainsi qu'un certain Dr Blue) dans la maison de son père, ici, sur la côte ouest. Ils se rencontraient et discutaient de leurs programmations, de leurs méthodologies, des réseaux, parlaient ensemble etc. Ils étaient des " Programmeurs Maîtres " au sein des Illuminati. Mengele a passé pas mal de temps à voyager dans le monde entier et pas seulement dans le Nord Ouest. Cameron avait tendance à travailler sur la côte Est. La fondation Rockefeller, si cela vous est familier, lui a donné 40.000 dollars en 1943 pour créer l'Allen Memorial Institute. Même avant que Mengele n'arrive dans ce pays, Cameron faisait déjà partie du système Illuminati.

     

    W.M : Est ce que Cameron a joué un rôle particulier dans le développement de la technologie du Mind Control ? J'ai compris qu'il était spécialisé dans l'électrochoc et a voyagé dans le pays pour apprendre aux autres psychiatres des méthodes d'électrochocs. Est-ce que cela a été son rôle ou son rôle était-il plus large ?

    F.S : Ils travaillaient tous pour savoir comment raffiner la chose. Ils sont les sommets des lignées de programmeurs. Mengele est vraiment le père de tout cela et il a enseigné beaucoup de ce qu'il sait aux Dr White, Black ou Blue. Mengele a eu l'occasion d'expérimenter les choses sur un grand nombre de détenus dans les camps de concentration où il a pu mener librement toutes ces expériences bizarres et sadiques. Cameron et d'autres étaient à la fois opérationnels et expérimentateurs. Regardez comment les militaires et la science fonctionnent. Lorsqu'ils découvrent quelque chose qui est utilisable, ils vont prendre cette information et en tirer une nouvelle technologie puis ils vont poursuivre leurs expériences pour améliorer ce qu'ils ont fait. Donc au moment même où Cameron utilisait les électrochocs pour morceler les âmes des victimes, ils examinaient également des manières de raffiner les techniques. En fait, après plusieurs décennies d'examens et de constatations, ils se manifestèrent à nouveau avec les résultats des différents programmes. Ils ont alors sélectionné les meilleurs scripts de programmation et les meilleures méthodologies et ont pu améliorer les programmes en général. Les programmations qui sont employées aujourd'hui sont bien plus sophistiquées et de loin plus raffinées que ce qu'ils employaient et utilisaient sur le terrain auparavant.

    (…..)

    W.M : A votre connaissance, est-ce que les Allemands utilisaient des agents sous Mind Control durant la seconde guerre mondiale ?

    F.S : Oh oui ! Ils les utilisaient depuis le début des années 30. Les Allemands aussi bien que les Britanniques ont créé des agents à personnalités multiples pour le travail de renseignement, l'assassinat et ainsi de suite. Avant l'éclatement de la seconde guerre mondiale, les Nazis étaient prévoyants et avaient envoyé des Allemands aux USA pour être entraînés comme personnalités multiples. Ils ont créé une implantation dans la partie supérieure de l'état de New York (Upper NY State) (NDR : il existerait également une " colonie allemande " de ce genre à Montauk selon Bielek et Moon). Ces groupes de gens continuaient à vivre comme communauté. Ces personnalités multiples ont été envoyées dans notre pays, avaient des alter qui étaient programmés pour assassiner avec des bâtons pointus ( ?) qui devaient être enfoncés dans les zones clés du corps des personnes cibles. Ils ont créé cette implantation avec l'idée que si l'Allemagne pouvait vaincre un jour les USA, ces gens pourraient alors être à la bonne place pour les aider.

     

    W.M : Est-ce que vous avez des indications selon lesquelles les USA auraient employé des agents sous Mind Control pendant la seconde guerre mondiale ?

    F.S : Je n'ai pas trouvé d'indications selon lesquelles ils ont employé des agents programmés avec des personnalités multiples mais souvenez-vous que le leadership de notre pays a été entre les mains des Illuminati tout au long de notre histoire. Nos Présidents sont reliés entre eux au tout dernier degré ! Ulysses Grant, le 18ième président était relié à Franklin Deleno Roosvelt. La famille Deleno est une ancienne famille aristocratique dont les origines remontent à Venise. Grant faisait lui aussi partie de la famille Collins. Dans l'une de mes vidéocassettes, je parle de la famille Grant et de la façon dont ils sont reliés aux Illuminati. L'une des raisons pour laquelle j'évoque cela est que Cisco est une descendante de la lignée d'Ulysse Grant, une descendante de la lignée sanguine des Collins. C'était son ticket d'entrée dans les Illuminati.

    Nombre de nos présidents sont liés à ces lignées Illuminati et ce, bien plus que les gens ne le pensent. Durant la deuxième guerre mondiale, il y avait des personnalités multiples dans notre gouvernement. Mais il a fallu attendre l'arrivée de Mengele pour que les Illuminati puisse bénéficier d'une personnalité dotée d'une sophistication scientifique et pour que, véritablement, ils aient des programmes menés de façon scientifique. Les " bénéfices " engendrés par la présence de Mengele et par l'opération Paperclip (NDR : opération de l'OSS et de la CIA d'évasion des scientifiques nazis vers les USA, lire " Opération Paperclip " de Linda Hunt) ont fait avancer les connaissances de notre gouvernement sur la manière de programmer des enfants innocents.

     

    WM : Je voudrais changer ici de sujet. Comment et pourquoi est-ce que la culture populaire est employée pour la programmation ?

    FS : Il y a différents niveaux et différentes manières d'enfermer une personne dans une procédure de contrôle. L'un d'entre ces niveaux consiste à contrôler le milieu, l'environnement d'une victime. Il est extrêmement difficile pour moi de parler de tous ces sujets. Ils construisent les images de référence d'une personne depuis sa toute petite enfance. Je demande aux gens : " qui a construit vos images de référence, qui a construit votre vision du monde ? ". Dès votre prime enfance, des groupes établis comme les églises, les écoles etc. ont dirigé votre éducation. Par conséquent, il n'y a pas vraiment d'images de référence pour les gens qui voudraient que j'illustre l'information que je voudrais leur donner. Si vous n'avez pas les référents pour comprendre n'importe laquelle de ces informations, ce sera dur de casser le contrôle qui les gouverne. Par contrôle de l'information et ce que la société fait, j'entends qu'ils gouvernent en réalité la société dans son ensemble. Les écoles sont utilisées, les loisirs et le spectacle, Hollywood, tout est employé. Le programme qu'une personne recevra va utiliser les sujets de la vie quotidienne pour les contrôler. Par exemple, Cisco a été éduquée par son père qui était son programmeur, son maître pour devenir une fumeuse dès sa petite enfance. A chaque bouffée, elle imaginait à quel point son père l'aimait et donc, lorsqu'elle recrachait la fumée, elle songeait également à une pensée programmée. Donc, le simple fait de fumer renforçait le Mind Control. Ils construisent par exemple des bâtiments dans l'endroit où vit la personne sous Mind Control et ils vont employer ces édifices pour consolider la programmation. Ils utiliseront des tas d'objets du quotidien de l'esclave pour renforcer les messages programmés qu'ils ont " étagés ".

     

    W.M : Peut-être pouvons-nous parler du film qui semble surgir des récits d'un très grand nombre de survivants de la programmation,  le " Magicien d'Oz ". Comment ce film a-t-il été employé ?

    FS : C'est l'un des scénarii standards qui est employé dans le Mind Control. De nombreuses personnes ne réalisent pas que Frank Baum a, en réalité, écrit 14 livres du Magicien d'Oz : The Tin Woodsman of Oz, The Land of Oz, Glinda of Oz, Ozma of Oz etc. En fait, ces livres furent plus employés dans la programmation que le film. Si l'on examine en détail les livres, j'ai extrait certains des scénarii de programmation et je les ai placés dans le volume 2 de mon livre (ndr : Deeper Insights) de façon à ce que les gens puissent voir comment les livres de Frank Baum fonctionnent, qu'ils aient été ou non rédigés spécifiquement pour le " Mind Control ". Ces livres s'inscrivent très bien dans la création de scripts pour le contrôle de l'esprit. Le film par la suite pourra renforcer les scripts qui ont été programmés.

     

    W.M : Est-ce que ces scripts seront principalement employés pour manipuler la réalité des identités qui sont programmées ?

    FS : La plupart des personnalités qui sont créées à l'intérieur d'un esclave sous contrôle ne vivent pas dans la réalité. Ils vivent dans un monde de fiction. Ils vivent sur base de scripts., Prenons par exemple une personnalité particulière qui transportent des drogues. Ils peuvent faire voir par hypnose à la personne le fait que celle-ci leur amène un paquet de drogue comme dans l'histoire du lapin blanc (NDR ; Alice aux pays des Merveilles) et ils peuvent faire percevoir à la victime le paquet comme un trésor, un cadeau. Les victimes vivent dans un monde totalement fictif. Puisque ces personnalités ne s'incarnent dans le corps qu'à certains moments précis, elles n'ont aucune vie cohérente qui leur permettrait de se battre contre le script qui leur a été programmé sous hypnose. Elles vivent leur vie entière dans une transe. Ces scripts sont très importants et sont employés pour contrôler les personnalités qui vivent dans leur monde fictif.

     

    W.M : Pouvez-vous nous donner d'autres exemples dans la culture populaire qui sont employés dans la programmation ?

    F.S : Batman, Bewitched, les films de Disney. L'un des films très significatifs de Disney est Fantasia. Dans mon dernier livre, " Deeper Insights ", j'ai consacré 11 pages dans lesquelles, minute par minute, scène après scène, je vais dans le détail. Je montre comment le film de Fantasia a été créé et employé pour servir de fondation à la programmation. Les films de Star War, My Fair Lady ont été utilisés dans les écoles terminales pour esclaves. Les films d'horreur de Stephen King ainsi que Startrek, Love Boat (" la Croisière s'amuse ") ont été employés pour le " Mind Control " de leur prostitués " de croisière " encore appelées " voyageuses ". Le film " E.T " : ce sont les programmations " extraterrestres " des esclaves. (NDR : à première vue, certains auteurs et victimes comme Cathy O'Brien qui ont vécu ce genre de programmation " extraterrestre " n'en comprennent pas l'usage. O'Brien croit avoir été mise en contact avec un hologramme d'un alien reptilien et non avec une vraie entité extraterrestre. Elle a pensé après coup que cette apparition avait un but : susciter la terreur par l'irruption d'entités étranges dans les programmes). Il y a encore " Alice aux pays des Merveilles ".

     

    W.M : Tout cela est vraiment très important dans notre culture et je me demande quels sont les effets sur quelqu'un qui a été programmé lorsqu'ils voient ces films par hasard à la télévision, en location vidéo ou au cinéma ?

     

    F.S : Cela les bloque, les maintient simplement dans le contrôle et accentue leur sentiment de désespoir. Pour un esclave sous contrôle qui vit dans une culture qui est contrôlée dans son ensemble par ces gens, pourquoi leur âme penserait-elle qu'elle pourrait un jour vivre libre ? Leur âme est brisée depuis qu'ils sont enfants et tout ce qu'ils voient, c'est le contrôle et la programmation.

     

    W.M : Cela ne signifie quand même pas que certains des programmes TV ou des films sont délibérément fabriqués avec le " Mind Control " en tête mais plutôt qu'ils ont été utilisés par les programmeurs, après coup ?

    F.S : Délibérément est ce qu'il y a de plus précis.

     

    W.M : Donc, certaines expressions de notre culture ont été délibérément suscitées pour ce propos. Est-ce que vous avez examiné le passé de certaines des personnes qui sont impliquées dans la production de ces produits ?

    FS : Les dessins animés " Ducktail " (NDTR : queue de canard) qui ont été produits par Disney contiennent délibérément des codes déclencheurs pour les enfants. Il y a des déclencheurs délibérés dans les publicités, des messages et des codes délibérés. Dans " Deeper Insights ", je consacre environ 50 pages à Disney, à ce qu'ils ont fait derrière les scènes, ce dont il est vraiment question dans les films. Regardez " la Belle et la Bête " et l'horloge enchantée ou regardez le personnage de poignée de porte qui est dépeint comme une personne. C'est employé dans le dessin animé " Alice aux pays des Merveilles ". Ces scènes particulières seront vues par un alter dans le système d'une personne et l'esprit va être programmé pour croire qu'il est en réalité une poignée de porte. Ces images ont été mises spécifiquement dans ces films pour certaines raisons et en plus, ils l'ont fait avec créativité.

     

    W.M : Certains des alter sont donc créés non pour être des gens ou des animaux mais pour être des objets inanimés ?

    F.S : Seule, une petite partie des alter qui servent de façade dans un système d'alter vont réaliser qu'ils sont humains.

     

    W.M : Vous avez assez bien parlé de Star Trek dans le livre que je possède, " la Formule Illuminati ",. Qu'avez-vous appris au sujet des manuels techniques qui ont été publiés sur Star Trek ?

     (NDR : manuels abondement illustrés qui expliquent le monde et la technologie de Star Trek comme s'il s'agissait d'un monde réel. Disponibles en français)

    FS : J'ai observé des personnalités multiples programmées - certaines ont été soignées et d'autres pas - qui sont complètement obsédées par Star Trek. Un ancien assistant en déprogrammation m'a donné des informations sur la programmation Star Trek et je peux les confirmer par mes propres observations sur les personnalités multiples. Au cours des années, un certain nombre de manuels hautement techniques sur les équipements, les vaisseaux et les thèmes de Star Trek ont été publiés. Lorsque vous examinez ces manuels, la meilleure façon d'expliquer le temps et l'argent dépensés pour développer des manuels si complexes est qu'ils servent dans des buts de " Mind Control ". Lorsque l'on sait comment les programmes sont inscrits dans une personne, je sais pourquoi cela a été fait de cette manière.

    L'usine de Boeing à Seattle comporte de nombreux tunnels en dessous de ses installations et certains de ces souterrains sont employés pour la programmation. Quelqu'un qui travaille pour Boeing m'a dit comment les ouvriers, au cours d'une journée standard et normale pour eux, se glissaient dans les tunnels et souterrains pour regarder des films de Star Trek. J'ai pensé que c'était intéressant.

     

    W.M : Vous pouvez nous décrire ces manuels techniques et le niveau technique qui s'y trouve ?

    FS : Ils ont des cartes de l'univers. Une carte de la voie lactée peut être employée lorsque vous divisez l'âme d'une victime et que vous avez besoin d'un certain type de schéma pour la restructurer. Vous utiliserez la carte de la galaxie comme image pour recréer, redessiner leur âme. Vous avez ces amas d'étoiles, ces planètes. Lorsque vous voulez avoir tout un groupe d'alter, en fait des personnalités qui vont seulement se relier entre elles, ils peuvent les " installer " sur une planète et la seule façon pour les alter de communiquer d'une " planète " à l'autre se fera via l'emploi d'une sorte de rayon d'émission de quelque chose. Au moment où vous êtes " émis ", vous allez vous dissocier et entrer en transe.

    Et vous avez divers moyens de transport qui sont " construits " dans le système et qui sont en fait des méthodes pour que l'esprit entre en dissociation. Lorsque vous envoyez un choc électrique dans quelqu'un ou lorsqu'un flash lumineux le frappe, vous pouvez dire en même temps à la personne qu'elle fait un voyage dans l'espace et à partir de là, qui sait le nombre de scripts qui peuvent être construits (en utilisant ces images de Star Trek).

    Les manuels techniques comportent des sections indexées. Lorsqu'ils structurent les esclaves sous contrôle, à l'image des manuels, ils construisent des sections et ces sections sont codées. Vous trouverez des manuels techniques qui comportent des nombres codés, des couleurs codées et qui représentent en réalité un autre aspect du contrôle de l'esprit. J'ai évoqué les grilles de programmation de 13 sur 13 sur 13 dans le système de Cisco. Si vous ajoutez une nouvelle dimension au cube, vous ajoutez des codes de couleurs pour certains alter.

    Chaque alter va recevoir un code de couleur typique qui sera lié et enregistré dans l'ordinateur qui est construit dans leur esprit. Ces " ordinateurs " sont construits dans leur esprit en prenant des parties dissociées de l'esprit pour les changer en ordinateurs (les alter s'identifient à un ordinateur). Ces " ordinateurs " contrôlent chacune des sections et à leur tour, ces ordinateurs sont contrôlés par des ordinateurs plus profonds. C'est très complexe mais lorsque vous regardez les manuels techniques qui ont été faits pour le thème de Star Trek, ils s'appliquent parfaitement avec les besoins de la programmation.

     

    WM : Puisque l'on parle de films, je voudrais connaître l'implication de Hollywood dans l'esclavage des esprits sous contrôle ?

    FS : Les Illuminati et la pègre ont contrôlé Hollywood. Un autre aspect de cela, c'est qu'un grand nombre d'acteurs sont des esclaves sous contrôle comme Roseanne Barr dont j'ai déjà parlé; Madonna,  Marilyn Monroe, chacune de ces femmes a été programmée de façon multiple. L'un des bénéfices de cette programmation s'avère être la manière dont leur esprit est structuré. Certaines d'entre elles sont très compétentes dans la mémorisation de scripts ou de rôles de fiction. Disneyland en lui-même est un centre de programmation. Ils créent en réalité de nombreux films avec des codes. Un autre film que je n'ai pas mentionné " I dream of Jeannie " est une programmation d'un alter de type Delta avec comme code déclencheur : " vos souhaits sont mes ordres ". Un autre aspect de Hollywood qui me vient à l'esprit concerne les films de fiction. Le propos de ces films serait fictif et mais ils montrent très étrangement des cérémonies Illuminati très secrètes, l'histoire et ainsi que la méthode Illuminati. Cela m'a vraiment stupéfié de voir certaines de ces choses dans " Hellraiser 3 " qui montrent les gardiens des portes. Regardez " Bell, Book and Candle " ou encore " Curse of the Vooddo ". Ils ne montrent pas seulement des cérémonies Illuminati mais certains de ces films montrent le " Mind Control ". Je recommande aux auditeurs, s'ils veulent en savoir plus, de voir donc le film de Charles Bronson " Telethon " ou encore " the Manchurian Candidate " (NDR : Karmapolis recommande encore plus vivement la nouvelle version de ce film avec Denzel Washington), Videodrome, Labyrinth (avec David Bowie). J'explique dans le volume 2 de mon livre en quoi Labyrinth est un script de programmation. "Transfer 2 ", " Attack of the Robots ", " Attack of the Puppet Peopke "…. On pourrait continuer ainsi la liste sans fin. Le film de Jane Fonda " The Point of No Return " est en relation avec l'OTO  (Ordo templar Orientis). C'est l'une des façades occultes des organisations très puissantes impliquées dans les Illuminati.

    Nous allons clôturer ici l'interview. Sachez simplement que Springmeier s'étend plus longuement sur Shirley Temple, Disney, Anton LaVey, Michael Aquino, l'utilisation de la musique etc.

    Par la suite nous traduirons également l'entretien qu'avaient accordé Cisco Wheeler ainsi que d'autres personnalités et chercheurs qui se sont spécialisés dans Monarch et le Mind Control. Si vous comprenez l'anglais, consultez alors sur le Web ce véritable trésor d'archives que sont les transcrits des entretiens radiophoniques de la radio CKLN

     


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    W.M : Parce qu'ils ont fait usage de techniques de contrôle de la pensé sur leur propre famille depuis des années et des années ?

    F.Z : Oh oui ! Ils ont perpétué ces techniques de contrôle du comportement aussi bien sur leurs proches que sur les autres et ce, depuis des siècles. C'est en réalité un secret très bien gardé. C'est l'une des raisons pour laquelle ils ont été capables d'en faire autant pour installer le Nouvel Ordre mondial. Ainsi, personne n'était capable d'imaginer qu'un tel événement était en réalité une conspiration mondiale. Ils sont très habiles pour mettre en œuvre des événements de façon à ce que tout ait l'air naturel.

     

    W.M : Quel est le but poursuivi lorsqu'ils utilisent ces techniques du contrôle de la pensée sur des membres de leur propre famille ?

    F.Z : C'est vraiment essentiel. Si vous allez participer à la vie secrète des Illuminati, le fait d'être programmé sur le mode des personnalités multiples est une chose très basique, essentielle. Considérant tous ceux qui y participent, il n'y a qu'une très faible minorité des Illuminati qui ne soit pas programmée sur le mode des personnalités multiples. Prenons un certain nombre de rituels standards : St Weinbald, St Agnes, Grand Climax (rituel d'apogée), Walpurgis, Beltane, tous les solstices et les équinoxes, Lamas, All Hallow's Eve, High Grand Climax, tous ces rituels standards. Ces rituels sont vraiment horribles. Ils impliquent des sacrifices humains. Des sacrifices de bébés à l'occasion du rituel Grand Climax, par exemple. Lors de différents Sabbats, un jeune homme ou une jeune femme sont sacrifiés. C'est une chose qu'un esprit normal n'est pas capable de concevoir et de supporter. Le contrôle de l'esprit et la création de personnalités multiples interviennent lorsque vous avez un effet " Dr. Jekyll et Mr. Hyde ". Il est crucial pour eux que ces choses se poursuivent de génération en génération.

     

    W.M : Est-ce qu'ils utilisent vraiment ce syndrome de personnalités multiples pour leur permettre de mener cette double vie qu'ils doivent mener… Avant que l'on entre dans le détail sur les techniques qu'ils utilisent pour le contôle mental, vous avez expliqué qu'ils avaient également un système de croyances. Pourriez-vous nous en dire plus ?

    F.Z : Les Illuminati sont le prolongement des Religions des Mystères. Lorsque quelqu'un se présente comme un adepte des Illuminati, il doit suivre une série de chemins. Ils lui donnent alors les différents types de connaissances sur les cultes, ils identifient les 12 apôtres ainsi que le 13ième qui est appelé le St Graal. Ces hommes et ces femmes deviennent alors très compétents en matière de connaissances ésotériques et occultes. Je ne sais pas jusqu'où je peux approfondir ici ce sujet. Mais je suppose que je peux vous dire qu'ils sont très entraînés en matière d'alchimie, en sorcellerie indienne, en druidisme, en magie " énochienne ", en Gnosticisme, en magie hermétique, en Cabale, dans le Platonisme, le Soufisme. En fait, ils finissent par connaître toutes les branches des systèmes occultes.

     

    W.M : Comment utilisent-ils cette information ? Est-ce qu'ils incorporent des éléments de tous ces systèmes de croyances occultes dans leur propre système de croyances ?

    F.S : Tout est lié. L'idée est d'amasser du pouvoir occulte pour vous-mêmes. C'est la raison pour laquelle la famille Collin, par exemple, s'est hissée vers les 13 lignées sanguines Illuminati. Bien entendu, la dynastie mérovingienne possède beaucoup de pouvoir magique ainsi qu'un fort pouvoir politique. De la sorte, cette dynastie occupe l'un des sommets des lignées occultes parce qu'il y avait parmi eux de très puissants magiciens noirs. La Cabale et la " 26e voie " fonctionnent ensemble. Ceci est très important dans le type de travail qu'ils font et tout cela est lié au contrôle de l'esprit. Seulement, la plupart des thérapeutes sont laïcs et ont donc une approche séculière du problème. Lorsqu'ils traitent les programmations de ces victimes du contrôle de l'esprit, ils ne touchent pas à l'aspect spirituel. Ce que j'essaie de vous dire ici, c'est que les croyances religieuses ne peuvent pas être séparées du contôle mental. Cette conception est une partie intégrante du contrôle de l'esprit.

     

    W.M : Est-ce que les Illuminati vénère une seule entité comme Lucifer ?

    F.S : Vous avez différents niveaux dans lesquels les gens opèrent au sein des Illuminati. Il y a le niveau anarchique qui correspond aux assemblés de sorciers standards, communes. Ensuite, vous avez le niveau hiérarchique.

    Au niveau anarchique, il y a des milliers et des milliers de cercles de sorciers. J'ai dressé les listes des noms et des adresses de centaines de ces assemblés dans mes livres. Ces assemblés sont très éclectiques. Elles ont leurs propres traditions, leurs propres rituels. Il y a une très large variété de pratiques magiques au niveau anarchique… tout cela donne l'image d'une totale anarchie. On n'y voit aucune connexion, aucune structure.

    Au-dessus de ce niveau anarchique, il y a le niveau hiérarchique où vous trouvez Asmodée, " votre " Grand Maître et la Mère des Ténèbres (Mother of Darkness), la Grande Mère et les Grandes Filles. Si vous avez été programmé sur base des personnalités multiples, vous pouvez par conséquent fonctionner sur de nombreux niveaux différents. Vous pouvez avoir une personnalité dans une assemblée, dans un cercle et une autre à l'occasion d'une autre cérémonie du niveau hiérarchique et une autre encore qui participera à un autre rituel satanique. Tout cela est très déstructuré en apparence. L'une des raisons pour laquelle il n'est pas facile de répondre à votre question est que fondamentalement, tout ce que nous comprenons au sujet du comportement humain et sur la façon dont nous estimons et jugeons un individu est obsolète. Pour les Illuminati, le but suprême est d'équilibrer les actes bénéfiques avec les actes négatifs ; ils sont dualistes. A leur plus haut niveau, on peut les considérer comme des Lucifériens. C'est la raison pour laquelle les plus grands philanthropes seront en même temps les satanistes hiérarchiquement les plus élevés. Si vous considérez l'affaire de près, ils ne font que se servir eux-mêmes avec leurs actions philanthropiques. Tout cela n'est pas aussi généreux que cela en a l'air. Ils tentent de faire de bonnes actions et les équilibrent avec les actes négatifs car ils croient à cette notion d'équilibre dans leur religion. C'est ce que l'on appelle du " Luciférisme gnostique ".

     

    W.M : Je pense qu'il doit être difficile pour nos auditeurs de comprendre qu'une personne peut être en public quelqu'un de bien qui pratique de bonnes actions et qui sera porteur d'une bonne image alors qu'en même temps, cette personne a un côté sombre. Je ne sais pas si vous avez lu ces derniers temps le livre de Judith Spencer –" le Grand Prêtre de Satan " (Satan's High Priest). Cet ouvrage illustre clairement comment tout cela fonctionne. C'est une histoire vraie à propos d'un culte satanique particulier, d'un grand prêtre et de son Ascension.

    F.S : Non, je n'ai pas lu ce livre mais je suis ravi que vous ayez mis cela sur le tapis pour nos auditeurs. Une manière de commencer à percevoir les Illuminati consiste à d'abord regarder comment ces gens s'arrangent pour être au-dessus des guerres, au-dessus de la mêlée et de toutes ces souffrances qui nous accablent. Par exemple, prenez Pierre Samuel Dupont, au cours de la Révolution française. Tous les gens qui gravitaient autour de Pierre Samuel Dupont ont perdu leur tête et pour une étrange raison, Samuel Dupont s'est arrangé pour conserver sa tête sur ses épaules alors que des centaines de personnes étaient guillotinées. L'une des personnes d'influence qui a manœuvré pour le protéger était la fille de Necker, Madame Germaine De Staël. Elle dirigeait une maison de passe. Elle était une intime de St Simon. Les disciples de celui-ci avaient coutume de dire au début du 18e siècle que la date cible pour l'instauration du Nouvel Ordre Mondial serait l'an 2000.

    Autre exemple historique que j'ai mis en évidence dans mon livre sur les 13 principales lignée sanguines Illuminati : lorsque les USA entrèrent en guerre après Pearl Harbor, en l'espace de quelques jours, le président Roosvelt a sorti un décret présidentiel qui était en fait un amendement semi-secret à la loi prohibant les échanges commerciaux avec l'ennemi (Trading with Ennemy Act). Cet amendement autorisait certaines personnes à faire des échanges commerciaux avec l'ennemi s'ils en recevaient la permission de la part du secrétaire au Trésor qui, à cette époque, était Hans Morgenthau. J'ai fait une copie de ces archives que j'ai sortie du Federal Code of Regulations (code fédéral des Lois). S'ils veulent exempter quelqu'un, ils peuvent lui permettre de commercer avec l'ennemi grâce à ce décret présidentiel.

    Et qui sont les gens à qui l'on a donné ce privilège ? Les Rockefeller et Onassis, tous deux des chevilles ouvrières Illuminati. Au cours de la seconde guerre mondiale, tous les bateaux marchands grecs ont été coulés par un camp ou l'autre. Ensuite, il y avait cet armateur grec, Aristote Onassis qui n'a pas perdu un seul navire alors que ceux-ci naviguaient en zones de guerre. Aucune des puissances de l'Axe ou des pays alliés n'a osé attaquer ses bateaux. Pour que quelque chose comme cela se passe, vous devez avoir une collaboration pleine et entière au plus haut niveau. Vous voyez donc que ce genre d'événement peut avoir lieu avec Pierre Samuel Dupont ou Aristote Onassis. Ensuite, vous voyez que vous avez affaire à une personne qui est un Illuminati. Ils sont installés au-dessus de la mêlée, au-dessus des conflits qu'ils suscitent pour les hommes du commun.

     

    W.M : Cette manière de contourner les lois pour commercer avec l'ennemi, comment cela a t-il été utilisé lors de la 2e guerre mondiale ou de la Révolution bolchevique ?

    F.S : En fait, il y a un livre entier qui est consacré à cela et qui s'intitule, je pense, " Commercer avec l'ennemi ". Cet ouvrage a été publié en 1983. La Standard Oil des Rockefeller a affrété des navires pétroliers et gaziers d'abord pour l'Espagne dont les produits ont été ensuite directement acheminés vers l'Allemagne nazie. Les Alliés savaient que les Rockefeller fournissaient les Allemands en carburants. Cela a prolongé la guerre de deux ans. Mais vous n'entendrez jamais parler de cela parmi les historiens officiels. Il y a eu énormément d'échanges commerciaux importants au cours de la 2e guerre mondiale qui étaient en réalité indispensables pour soutenir la machine de guerre nazie.

    Vous avez également mentionné la Révolution bolchevique. Une fois de plus –vous le savez peut-être déjà ainsi que de nombreux auditeurs- vous verrez qu'une bonne partie du financement provient de Kuhn Laib and Co ainsi que de certains personnages Illuminati. Cet argent a été utilisé par les Bolcheviques pour financer la révolution. A cette époque, un certain nombre d'accords et de choses qui furent entreprises ont permis à ces gens de réussir. Bon nombre d'aspects de cette affaire se sont passés de façon occulte, derrière la scène.

     

    W.M : On dirait qu'ils promeuvent une stratégie de la tension dans laquelle ils financent les deux camps et profitent fondamentalement des conflits consécutifs qu'ils ont fomentés.

    F.S : On pourrait continuer cette histoire longtemps. Prenez par exemple, Heinrich Müller qui était le patron de la Gestapo. Vous remarquez qu'à un moment, il a pris une très vieille famille juive en charge et a personnellement transporté leurs valises dans sa propre voiture pour les emmener en Suisse. Il a porté leurs valises ! Les gardes frontières suisses riaient de voir le chef de la Gestapo aider une vieille famille juive s'échapper de l'Allemagne nazie. Lorsque les auditeurs commenceront à observer ce genre de phénomènes, maintenant qu'ils en ont pris conscience, ils se mettront à réaliser qu'il y a dans toute l'affaire et dans le niveau Illuminati, un niveau occulte, caché et loin de tout ce qu'une personne normale est autorisée à voir. Ces gens collaborent entre eux derrière la scène, là où se trouvent les dirigeants catholiques, protestants ainsi que les dirigeants des témoins de Jéhovah et des Mormons. Vous pensez que tous ces gens se détestent mais en vérité, ce sont des Illuminati et ils collaborent secrètement entre eux.

     

    W.M : Lorsque je parle des Illuminati, je pense qu'il y a un certain nombre de personnes qui ont des difficultés à croire qu'il y a une conspiration libérale et unifiée pour contrôler le monde. Même moi, jusqu'il y a peu, jusqu'à ce que je débute mes recherches sur les Illuminati, je pensais que ceux-ci étaient un groupe fictif. En effectuant vos recherches sur les Illuminati, est-ce qu'il n'y avait pas d'autres sources d'informations en plus de ces sources intérieures, de ces gens qui ont réussi à s'échapper ?

    F.S : Mis à part mes témoins oculaires, mes sources sont constituées par un certain nombre de témoignages de policiers et d'enquêteurs privés. En fait, certaines de ces personnes sont toujours de très bons amis. Au cours de toutes ces années, j'ai étudié des centaines de livres et des milliers de documents que l'on est supposé trouver uniquement dans des bibliothèques spéciales, comme la bibliothèque généalogique de Salt Lake City. J'ai travaillé et interrogé de nombreux thérapeutes et je me suis rendu sur de nombreux sites où des programmations ont lieu, où l'on fait des rituels, où l'on commet des crimes. Par exemple, dans l'état de Washington, à quelques heures d'ici, il y a une réplique à l'échelle du site de Stonehenge. Au-dessous de cette réplique de Stonehenge qui est située sur une colline, à quelques centaines de pieds, il y a un cimetière dans lequel des rituels Illuminati sont pratiqués. C'est l'exemple d'un endroit où je me suis rendu pour constater les choses par moi-même. J'ai besoin ici de parler d'un autre concept qui est important pour les recherches. Il ne suffit pas de simplement rassembler un grand nombre de témoignages et de faits tout simplement parce que les faits bruts ne suffisent pas. Lorsque j'étais au collège et que je recevais des conseils d'orientation, le psychologue qui enseignait la classe nous a donné de très bons conseils. Il a dit : " Lorsque vous écoutez les gens ou que vous examinez la situation, ne vous attardez pas sur les détails mais regardez plutôt la vision d'ensemble et le mode de fonctionnement. Les détails risquent de vous égarer parce que les gens mentiront et vous donneront des informations contradictoires. Observez le processus ". C'est un excellent principe. C'est ce que j'ai fait : analyser un grand nombre de données brutes, de faits bruts et d'informations provenant de témoignages. J'ai rassemblé tout cela en un puzzle cohérent. Cela signifie que vous avez besoin de filtrer un grand nombre de désinformations.

     

    W.M : A la fin des années 70, il y a eu un certain nombre d'informations en provenance de la CIA à propos du contôle mental qui ont été portées à la connaissance du public. Je voudrais savoir ce que vous pensez du fait de tenter de prouver l'existence du contrôle mental au grand public sur base d'une documentation officielle et gouvernementale ?

    F.S : Les problèmes relatifs aux tentatives de révélations des faits par le biais de documents gouvernementaux sont une chose bien à part. La documentation a été soit détruite ou soit altérée. Essayer d'impliquer le gouvernement, de rendre publiques ces informations, revient à demander à une bande de criminels –car c'est ce qu'ils sont malgré leurs positions gouvernementales- de se révéler eux-mêmes en plein jour avec des documents et des archives. Ce n'est pas de cette manière que les choses fonctionnent. Lorsque nous pensons aux Nazis, ils ont essayé de détruire toutes les traces de leurs crimes. Ils ont essayé mais ils n'y sont pas parvenus. Ce fait me donne un certain espoir car même si un large pourcentage de la documentation gouvernementale et des preuves sur le "mind control" ont été détruites, je reste convaincu que des tonnes de documents sont toujours intactes. Et mieux encore, je crois que ces tonnes d'archives sont les preuves vivantes que nous détenons sur les milliers de victimes identifiées et encore en vie.
    L'autre face du problème sur le fait d'obtenir des documents gouvernementaux est que vous devez trouver un moyen de diffuser ces informations le plus largement possible au public alors que malheureusement, les média sont contrôlés très strictement par le gouvernement. Vous ne pouvez pas compter sur nos médias contrôlés lorsqu'il faut exposer les gens qui ont besoin d'être exposés pleinement à la lumière. Cela, vous ne le verrez jamais.

     

    W.M : Il semble hautement improbable que les médias les plus importants (mainstream media) enquêtent sur ces sujets. Il semble plus probable que cela vienne d'enquêtes indépendantes et d'éditeurs indépendants ?

    F.S : J'aimerais bien voir ces endroits où ses archives sont maintenues au secret et j'aimerais que ces informations soient révélées au grand jour mais la seule façon de voir cet événement arriver serait qu'il y ait une révolution de l'ampleur de celle qui s'est déroulée en Europe de l'Est lorsque les archives de la Stasi ont été mises au grand jour.

     

    W.M : Est-ce que vous croyez qu'une enquête gouvernementale similaire à celles qui ont été faites concernant l'affaire de la syphilis de Tuskegee et le scandale des expériences sur les radiations pourraient révéler au public l'information ?

    F.S : Je crois que cela mettrait au grand jour des informations. C'est vrai ! Cependant, demander au gouvernement d'enquêter là-dessus revient à demander à un renard s'il constitue ou non une menace pour les poules. Le renard nous dira certaines choses, suffisamment pour nous satisfaire. Mais je suis plutôt cynique sur le fait (NDR : cette opération de révélation au grand public) car cela donnera au gouvernement une autre occasion de mettre en route un autre programme, une autre manipulation. Il y a une limite à ce jeu : les enquêtes du gouvernement vont nous coûter plus d'argent via les impôts et je crois que les gens oublient que chaque fois qu'ils demandent au gouvernement de faire quelque chose, l'argent sort en fait de leurs propres poches.

     

    W.M : Est-ce que vous croyez qu'il y a un quelconque bénéfice pour la société dans sa globalité dans le fait de demander au gouvernement de poursuivre des enquêtes et donc, de leur faire admettre officiellement qu'ils ont fait ce genre d'expériences (ndt : sur le contôle mental) ? Est-ce que les gens dans leur ensemble peuvent tirer un bénéfice de telles révélations ?

    F.S : Dans leur ensemble ? La manière dont vous posez la question reflète déjà la manière dont je vais répondre. Non, ce ne sera pas le cas. La raison pour laquelle je dis cela est qu'auparavant, le Congrès U.S via la commission Rockefeller avait enquêté sur la CIA. Les Rockefeller qui enquêtent sur la CIA ! ? ! (Rires). Bien entendu, le comité d'enquête a révélé des abus. Ils devaient montrer qu'il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond mais le but de l'opération a consisté à montrer que Rockefeller était un type bien. " Oh ! Regarde, c'est un croisé qui essaie de dénoncer les méchants ". Chaque fois, ils ont en réalité un autre programme, caché. S'ils doivent faire quelque chose contre eux-mêmes, ils utiliseront cela comme une occasion de travailler sur un autre programme. S'ils révèlent le rôle joué par A, B ou C dans le contrôle mental, ils le feront sans doute de telle manière qu'ils détourneront l'attention des gens de leurs toutes dernières technologies vers un modèle plus ancien qu'ils n'emploient plus, quelque chose comme cela. Ils vont alors travailler sur un futur programme alors que les jeux sont déjà faits. Ce qui nous rendra en fin de compte un mauvais service !

     

    W.M : Comment croyez-vous que l'information sur le " Mind Control " a pu être tenue secrète pendant si longtemps ?

    F.S : Comme nous l'avons déjà mentionné plus tôt, les médias sont contrôlés. Dans un certain nombre de mes publications, je suis rentré dans les détails et j'ai montré qui étaient au contrôle des média et en quoi ces gens sont des membres des Illuminati où en quoi ils participent aux activités de façade des Illuminati. Sur base de documents, j'ai montré comment les Rockefeller et les Rothschild ainsi que William Randolph Hearst –tous des chevilles ouvrières Illuminati- contrôlent les média. Je crois qu'il serait bien de livrer ici quelques anecdotes. Je visitais un jour un pasteur chrétien. Il me demanda ce que j'avais fait depuis que je travaillais plein temps dans la révélation des informations sur le " Mind Control ", que j'aidais les victimes et que j'exposais au grand public le programme du Nouvel Ordre Mondial. J'ai été honnête avec lui. Je lui ai dit tout ce que je savais, je lui ai raconté ce que je faisais et j'ai mentionné en passant, des choses sur le contrôle des média. Alors là, les amis, ce type a grimpé au plafond. Il est devenu dingue parce que juste avant de devenir pasteur, il était reporter pour ABC. Il m'a dit : " Il n'y a pas de contrôle sur les médias ! J'étais libre d'écrire ce que je voulais sur tous les sujets que je voulais ". J'ai répondu : " Woah ! Calme-toi. Laisse-moi te poser quelques questions : lorsque tu as été engagé, ton supérieur t'a engagé et t'a gardé parce qu'il aimait la manière dont tu écrivais et dont tu t'exprimais… tout comme son supérieur appréciait sa façon de pensée et d'écrire… et ainsi de suite, tout au long de la hiérarchie. Si quelqu'un avait écrit ou pensé d'une autre manière qui n'était pas appréciée et approuvée, il aurait eu des problèmes, ne crois-tu pas ? ". Et il a répondu : " Oui ". J'ai alors ajouté : " Et bien, c'est cela…Lorsque je travaille avec des gens qui sont sous " Mind Control ", ils ne peuvent pas s'apercevoir qu'ils sont sous programmation. Aussi longtemps qu'ils font exactement ce que le programme leur demande de faire, ils ne savent pas qu'ils sont programmés. Le seul moment où ils savent qu'il y a une programmation, c'est lorsqu'ils s'en écartent ou qu'ils se rebellent. Si vous courez avec le vent dans le dos ou si vous êtes dans le courant et que vous nagez avec lui, vous ne noterez pas la présence du courant. Mais si vous avez le malheur de nager à contre courant, vous vous rendrez compte de la puissance de ce courant. Alors, si en tant que reporter, vous vous écartez des attentes qui pèsent sur vous, vous allez prendre une dérouillée et vous réaliserez qu'il y a un paquet de forces de grande puissance qui vont se mettre en travers de votre chemin ". Il m'a alors répondu : " Vous avez raison, je vois votre point de vue ". C'est mon point de vue. Les gens ne se rendent pas compte du contrôle jusqu'au moment où vous commencez à vous cabrer contre ce contrôle, alors vous percevrez à quel point le contrôle peut peser sur la société.

     

    W.M : Il semble que le contrôle dans les rédactions se situe à un niveau de non dit et que le plus souvent, pour un bon nombre de reporters, il y a en fait un mobile économique, une pression économique. Les sujets qui sont couverts par les rédacteurs en chef sont acceptés, les sujets que ces chefs de rubrique n'aiment pas ne sont pas acceptés et les journalistes ne sont pas payés pour ces sujets. Ils en viennent très rapidement à apprécier ce que leurs chefs acceptent et impriment.

    F.Z : Exactement !

     

    W.M : Je voudrais parler du contrôle mental que les Illuminati ont utilisé et des techniques qui en découlent. Quelle est votre compréhension des formes de contrôle mental qu'ils ont utilisées ?

    F.S : L'expression que j'aime utiliser est le " contrôle mental total ", -Total Mind Control- parce qu'il s'agit d'un contrôle de la personne dans sa globalité, le corps, l'âme et l'esprit. Et la personne de la rue n'a jamais pu imaginer que quelque chose d'aussi global, d'aussi enveloppant, d'aussi horrible et d'aussi puissant pourrait exister. Le genre de contrôle de l'esprit dont font usage les Illuminati – je crois que les gens pensent " Oh ! Le mind control, c'est la télévision, les messages subliminaux ". Non. Je parle de choses qui sont 1000 fois, 10.000 fois plus puissantes. Ce contrôle mental est totalement indétectable et manipule la personne dans sa totalité. Ce contrôle emploie toutes les techniques possibles à l'encontre d'un individu et qui sont regroupées en une structure, un assemblage très sophistiqué. Il est important de savoir que bon nombre de personnes n'ont rien exagéré et qu'il ne s'agit pas d'une technique mais bien d'un groupe de techniques. Ce qui rend le contrôle total du comportement des Illuminati si puissant, c'est qu'il s'agit d'un assemblage de techniques sophistiquées incorporant toutes les techniques connues sur le contrôle. Toutes ces méthodes ont été soigneusement croisées et assemblées. Lorsque vous écoutez quelqu'un faisant partie d'une agence de renseignement, il vous dira occasionnellement des choses comparables à ceci : " nous avons essayé telle et telle technique mais elles ne marchent que dans 70% des cas et combinées avec une autre technique, cela marchera dans 60% des cas, avec cette autre technique, dans 50% des Cas etc. ". Vous avez en fait une centaine de techniques qui peuvent être mises ensemble, ce qui donne un assemblage de techniques qui se focalisent totalement sur la personne et la soumet entièrement au contrôle.

     

    W.M : Pouvez-vous nous parler de ces techniques une à une et comment elles sont employées dans un assemblage de techniques ?

    F.S : Quand j'ai commencé à expliquer aux gens ce qu'il se passait, j'avais en réalité des tonnes de dossiers. J'avais près de 150 dossiers sur différentes techniques. Je me suis alors dit : " bon, je ne peux pas parler des 150 techniques, cela va saturer les gens, les submerger ! ". Puis, j'ai réalisé que toutes ces techniques pouvaient être subdivisées et regroupées en 12 sciences. L'une de ces sciences est la science basée sur le trauma et la torture. Une autre se fonde sur l'usage des drogues pour contrôler une personne, une autre encore sur la capacité à utiliser des états mentaux comme l'hypnose, la dissociation, l'état de transe. Il y a aussi l'art de tromper les gens, de leurrer les victimes elles-mêmes. Il y a toute une série de techniques d'emploi de la fiction, de leurres, de fausses identités de façade pour tromper. Il existe une science qui revient à employer des éléments spirituels pour contrôler une personne. Il s'agit en réalité de l'une des principales méthodes de contrôle d'un individu si pas la plus importante.

    Aujourd'hui, il n'est ni populaire ni politiquement correct d'admettre au niveau scientifique que le genre humain possède une contrepartie spirituelle alors que les êtres humains ont un côté spirituel et que les Illuminati savent très bien comment contrôler spirituellement quelqu'un. Leur compréhension de ce fait m'a toujours stupéfié. Ils ont toujours laissé les gens dans l'ignorance. Même les Chrétiens et leurs prêtres ont maintenu les gens dans cette même ignorance sur la façon de se développer spirituellement et ils ont préféré leur donner à consommer les miettes du gâteau en cette matière.

     

    W.M : Comment pensez-vous qu'ils ont développé cette connaissance ?

    F.S : Il faut remonter en grande partie aux Temples du Sommeil des Égyptiens. Nous devons remonter à la prêtrise égyptienne et aux religions des Mystères. Ils avaient déjà appris à cette époque comment utiliser des chocs électriques. Ils utilisaient des anguilles électriques et des poissons torpilles et d'autres choses du genre pour électrocuter les gens. Ils avaient déjà commencé à comprendre comment utiliser des drogues et des plantes pour créer des états altérés de conscience pour contrôler les gens. Ce sont des connaissances secrètes qui sont jalousement gardées par les familles Illuminati et leur prêtrise de la religion des Mystères. Au cours des siècles, ils ont poursuivi le développement de ces connaissances. Un autre exemple de ces mystères jalousement gardés réside dans leur capacité à effectuer des manipulations du crâne, des manipulations " crâniales ". Au cours du Moyen Âge et même des siècles auparavant, les familles oligarchiques qui contrôlaient les gens du peuple avaient des spécialistes qui torturaient pour le compte des rois. Ils gardaient leurs secrets de torture pour eux-mêmes et se les passaient entre eux. L'une des techniques qu'ils avaient développées était leur capacité à manipuler le crâne. Vous devez faire très attention lorsque vous commencez à toucher aux os du crâne. Nombre de personnes ne réalisent pas que le crâne humain n'est pas un os solide mais qu'il existe en fait des sutures entre les différentes parties osseuses qui composent le crâne. Vous pouvez alors faire des manipulations très subtiles et faire bouger les os du crâne. En fait, il existe aujourd'hui une technique appelée " l'ostéopathie crâniale ". Ces ostéopathes sont très habiles dans l'utilisation de leurs doigts. Ils ont développé leur art dans le cadre de familles adeptes de ce genre de manipulations osseuses et qui ont, elles aussi, appris ces techniques secrètes et occultes de manipulation.

     

    W.M : A propos de ces " manipulations crâniales " : quels en sont les effets en termes de " Mind Control "?

    F.Z : Depuis des siècles, la "manipulation crâniale" est demeurée une technique secrète au sein des lignées sanguines occultes. Ces techniques peuvent être utilisées de façon bénéfique pour guérir. Elles peuvent être employées pour changer l'apparence d'un visage ou encore dans des buts maléfiques, pour torturer quelqu'un ou contrôler son esprit. En manipulant le crâne, vous pouvez en fait changer la façon dont une personne pense de manière à rendre sa personnalité plus apte à se dissocier, plus obéissante également ou encore pour développer le processus de pensée de quelqu'un de différentes façons.

     

    W.M : Pouvez-vous expliquer comment ils commenceraient à utiliser ces techniques et à quel âge une personne pourrait en être victime ?

    F.S : Lorsqu'un enfant est conçu, il faut comprendre que sa naissance a été planifiée dès le départ. Quelqu'un qui est un Illuminati concevra un enfant au cours d'un rituel occulte avec une femme. Cela peut aller jusqu'à la dissimulation des lignées héréditaires, d'où vient un enfant etc. ? Expliquons les choses ainsi : les enfants soit disant nés d'une mère ne sont pas tous la progéniture biologique de cette mère. Il y a déjà beaucoup d'échanges de nouveau-nés dans les hôpitaux. La naissance de l'enfant a été planifiée. Alors que l'enfant n'est encore qu'un fœtus, ils mettent déjà en route certaines choses pour tester la capacité mentale du fœtus à se dissocier et le traumatise déjà pour qu'il devienne plus " dissociatif ".

     

    W.M : Comment font-ils ?

    F.S : Un fœtus n'aime pas être bousculé et comprimé. Il n'aime pas les substances qui ont un mauvais goût. Si une mère mange beaucoup de sucre, ils ont découvert en observant le fœtus que ces enfants non encore nés aiment le goût du sucre lorsqu'il se diffuse dans les substances que sa mère lui transmet. Il y a moyen de faire des choses avec cela, de combiner des tas de manipulations pour faire des choses horribles. Prenez par exemple des bruits forts : le père qui hurle sur la mère, qui la malmène, la jette dans tous les sens, la met en colère. Puis prenez de la musique très forte comme le rock, des hurlements, quelque chose de ce genre. Vous pouvez aussi donner à la mère quelque chose qui a un très mauvais goût et qui aura aussi un très mauvais goût pour le fœtus. Tout cela peut le submerger et développer sa capacité à se dissocier.

     

    W.M : A votre connaissance, est-ce que l'on a utilisé l'électricité ?

    F.S : Pas tellement dans le traumatisme du fœtus ! Ils l'utilisent une fois que l'enfant est né. Ils provoquent parfois des naissances prématurées. Cela peut se passer de différentes manières mais une des méthodes qu'ils aiment utiliser a pour effet d'obtenir une naissance prématurée. Cette naissance prématurée constitue déjà un premier traumatisme naturel pour l'enfant. Il y a toute une série de traumas naturels qui accompagnent les naissances prématurées. La peau de l'enfant est très sensible à cette période de sa vie. On installe alors des cathéters dans son postérieur etc. Ils veulent que le traumatisme débute le plus tôt possible parce qu'ils veulent quelqu'un qui puisse entrer en transe ou se dissocier rapidement face à la douleur. Vous êtes familiers des fakirs indiens ; ces hommes saints qui peuvent marcher sur des braises, se transpercer avec des aiguilles ou dormir sur des lits pleins de clous ? Comment font-ils ? C'est parce qu'ils sont capables de se dissocier, de rentrer dans des états de conscience altérée. Les Illuminati veulent créer des individus capables de se dissocier très rapidement parce que cela fait partie des exigences préalables pour obtenir des personnalités multiples.

     

    W.M : Et c'est donc là le but des traumatismes, la création d'états de dissociation ?

    F.S : C'est l'un des buts.

     

     

    W.M : Quelle est l'importance de la dissociation dans le contrôle total de l'esprit ?

    F.S : C'est très important. Ces derniers temps, vous entendrez beaucoup parler de contôle mental électronique. C'est fait à propos pour détourner l'attention des gens du sujet le plus important, celui du syndrome de personnalités multiple (MPD : Mutiple Personnality Disorder, Dissociative Identity Disorder ou DID). La capacité de créer des personnalités multiples qui seront programmées est une chose très importante. C'est la raison pour laquelle ils sont capables de rester dans le secret et de faire tant de dissimulations autour de cette affaire. Le contrôle de l'esprit par des moyens électroniques – émettre des idées, des schémas mentaux dans l'esprit de quelqu'un à distance n'est pas une si grande menace que cela. J'ai travaillé avec un certain nombre de victimes du Mind Control électronique et la majorité d'entre elles, si pas toutes, étaient capables de reconnaître le fait que quelque chose était émis dans leur tête qui leur était étranger. Mais lorsque vous êtes dans un état de dissociation et que vous avez des phases d'amnésie entre vous-même et d'autres parties de votre esprit, vous ne savez quelle partie de vous-même est le véritable siège de votre identité et de quoi il est question en fin de compte. Par exemple, j'avais un pasteur chrétien qui passait un certain temps à tenter de se déprogrammer. Il était venu me rendre visite pour travailler sur sa programmation. Vous avez donc ce pasteur chrétien qui, horreur des horreurs, avait découvert qu'il possédait une partie dissociée de son esprit qui avait fonctionné parmi les Illuminati ainsi que ces autres parties de son esprit qui étaient sataniques. Mettez-vous à sa place et imaginez être un homme de Dieu qui découvre alors que certaines parties de lui-même ont participé à des sacrifices humains… (rires). C'est la raison pour laquelle cette capacité à la dissociation en des personnalités multiples est une réalité si dangereuse.

     

    W.M : Avant que nous passions en revue les choses qu'ils utilisent, nous pourrions peut-être juste revenir un peu en arrière et parler de la façon dont une personne est conditionnée pour être un esclave sous contrôle total et principalement, au moment de la naissance de l'enfant. Que se passe-t-il en terme de conditionnement ?

    F.S : Le programmeur aime dire : " L'enfant est comme un morceau d'argile ". Ils se perçoivent eux-mêmes comme un potier sur son tour. Ils sont très habiles pour savoir comment prendre un enfant et travailler avec son esprit pour en faire ce qu'ils veulent. Nous pourrions en parler toute la journée. Une des choses que nous n'avons pas encore évoquée est leur capacité d'entrer, de s'identifier, de faire marche arrière et de sortir de l'univers Illuminati en une seconde. Ils utilisent l'électroencéphalogramme (EEG) comme outil de contrôle….Vous avez des chercheurs comme Hans Eisneck qui est né en Allemagne ainsi que d'autres scientifiques qui ont étudié nos potentiels moyens en matières d'ondes cérébrales, ce qui fait qu'ils peuvent utiliser et surveiller ces ondes pour voir quelle genre de pensée notre cerveau est capable de concevoir. Vous pouvez utiliser l'EEG pour déterminer la personnalité et le quotient intellectuel. Ils ont relié leur capacité à étudier le cerveau humain à l'aide des EEG avec le test P.A.S de John Gittinger. Quand un enfant naît, ils commencent à tester son cerveau pour voir quel sera son genre de personnalité, quel type de pensée il sera capable d'émettre, quel genre de carrière professionnelle pourra être planifiée pour lui. Donc ils utilisent le penchant naturel de l'esprit, ses capacités naturelles et ils travaillent là-dessus. De la même manière, quand ils vont traumatiser son esprit pour qu'il éclate en morceaux et se dissocie, ils travaillent avec la créativité de l'enfant et sur ce que pensent les parties dissociées de l'esprit de l'enfant.

    (……..)

     

    W.M : Une fois qu'ils contrôlent quelqu'un, quels genres de choses vont-ils devoir faire pour le compte des Illuminati ?

    F.S : La réponse à une telle question n'a pas été vraiment mise en évidence par qui que ce soit, peut-être parce qu'ils n'en ont simplement pas conscience. Le contôle mental ne revient pas juste à créer quelqu'un qui sera un esclave sexuel. Il consiste plutôt à infiltrer et à contrôler la société derrière la scène, à partir d'un bureau. Il faut comprendre cela si l'on veut contrôler quelque chose comme l'establishment médical : vous devez avoir des gens dans des positions clés parce que le maillon le plus faible de la chaîne va lâcher. Vous ne pouvez vous permettre d'avoir des maillons faibles. Prenons un autre exemple de groupes de gens sous contrôle qu'ils ont créés pour la société moderne : les " chasseurs ", les stalkers. Dans mon dernier livre, " Deeper Insights the Illuminati Formula ", je détaille la manière dont ils créent ces " chasseurs " et la raison pour laquelle ils les créent.

    Disons que vous essayez de contrôler la médecine parce que le système de l'establishment médical leur rapporte beaucoup d'argent. L'establishment médical est très puissant, donc vous devez contrôler un très large spectre d'éléments comme les hôpitaux, quels types de soins vont être mis à disposition, la formation que recevront ces médecins. Ils ont créé alors des forces de frappe secrètes comme le CCHI et le NCHF (équivalents US des ordres des médecins) qui vont garder les gens sous contrôle. Tout ce système requiert l'emploi d'esclaves sous contrôle qui seront disséminés dans tout le système. Si vous avez un maillon faible, par exemple, si vous avez une personne qui pratique la médecine alternative et que vous ne contrôlez pas le système judiciaire, vous n'allez pas être capable de le poursuivre devant les tribunaux. Exemple : un médecin homéopathe contre lequel vous ne pourriez rien faire parce que vous ne contrôlez pas le système judiciaire. Vous devez donc avoir la main sur ce vaste appareil secret. Si l'on ne comprend pas la nature du contrôle mental, on ne peut pas comprendre comment il est possible de disposer d'un tel type de contrôle.


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    L’incroyable vision satanique d’Albert Pike, Grand-Maître de la Franc-Maçonnerie, ou le plan secret des Illuminati, destiné à déclencher la troisième guerre mondiale et à manifester l’Antichrist.

    Grâce aux révélations d'un ancien membre des Illuminati, nous connaissons leur plan secret pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. C'est le Grand-Maître Albert Pike qui avait reçu cette vision satanique dès 1870. Tout ce plan s'est réalisé jusqu'ici. Prochaine étape : la troisième guerre mondiale!

    Nous avons déjà longuement étudié Albert Pike dans des articles récents. Nous avons notamment examiné d’une manière assez détaillée son guide monumental des enseignements de la Franc-Maçonnerie, intitulé : " Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry " (Morale et Dogmes du Rite Ecossais de la Franc-Maçonnerie). Pike fut le Grand Commandeur de la Franc-Maçonnerie Américaine de 1859 à 1891. Au cours de l’exercice de son mandat, Pike reçut une vision globale de ce que la Franc-Maçonnerie pouvait accomplir. Il consacra donc son immense intellect à la mise en œuvre de cette vision. C’est pourquoi Albert Pike fut considéré comme le principal Grand Maître de la Franc-Maçonnerie mondiale à cette époque. Il est sans doute le plus important Franc-Maçon de tous les temps.

     

     

     

    Avant de nous engager plus loin dans notre étude, il est important de donner certaines précisions sur la biographie d’Albert Pike. Il fut un héros confédéré de la Guerre Civile, et prit la tête de la Franc-Maçonnerie américaine après la guerre. Pike est considéré comme le plus important Franc-Maçon de tous les temps pour les raisons suivantes :

    • Il a été un génie reconnu.
    • Il parlait couramment 16 langues.
    • Il était diplômé de l'Université Harvard.
    • Il fut Général de Brigade au cours de la Guerre Civile.
    • Il connaissait parfaitement la Cabale, ce système occulte du Judaïsme, qui est au centre du Nouvel Ordre Mondial.

    Lorsque Pike eut pris la tête de la Franc-Maçonnerie Nord-Américaine, il s'installa au "Temple de la Connaissance," à Washington, à 13 blocs au nord de la Maison-Blanche, en ligne directe avec le grand obélisque maçonnique et le Monument de Washington. Quand Andrew Johnson succéda à Abraham Lincoln, Pike eut ses entrées libres à la Maison-Blanche, car Johnson était lui-même Franc-Maçon.

     

    A cette époque, la vision extraordinaire qu'avait reçue Albert Pike, concernant l'avenir de la Franc-Maçonnerie, ainsi que le fait qu'il était écouté par la Président des Etats-Unis, ont propulsé la Franc-Maçonnerie Américaine en première ligne du pouvoir, pour la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Considérez les Présidents Francs-Maçons qui se sont succédés à cette époque :

    • Andrew Johnson (1865-1869).
    • James A. Garfield (1881).
    • William McKinley (1897-1901).
    • Theodore Roosevelt (1901-1909).
    • William Howard Taft (1909-1913).
    • Warren G. Harding (1921-1923).
    • Franklin D. Roosevelt (1933-1945).
    • Harry S. Truman (1945-1953).

    Ainsi, tout au long de ces années cruciales entre la Guerre Civile et le début de la Guerre Froide, l'Amérique a été dirigée par des Présidents Francs-Maçons. Plus exactement, entre 1865 et 1953, période cruciale de 88 ans, les Présidents Francs-Maçons ont été au pouvoir pendant 44 ans ! Il faut que vous sachiez que les occultistes attachent une grande importance aux chiffres et aux nombres. Le nombre 11 est l'un des plus sacrés pour eux, ainsi que tous les multiples de 11. C'est l'une des raisons pour lesquelles les Francs-Maçons vénèrent le nombre 33, car il est égal à 11 fois 3, le chiffre de leur trinité.

     

     

    En ce qui concerne la capacité des occultistes à atteindre leurs objectifs, vous devez vous rappeler simplement ceci :

    1. Leur puissance est surnaturelle, mais elle vient de Lucifer.

    Au début du livre de Job, nous avons une incroyable révélation de la puissance de cet être surnaturel qui s'appelle Satan, pour plonger le monde dans le chaos : "Or, les fils de Dieu vinrent un jour se présenter devant l'Eternel, et Satan vint aussi au milieu d'eux. L'Eternel dit à Satan : D'où viens-tu ? Et Satan répondit à l'Eternel : De parcourir la terre et de m'y promener" (versets 6 et 7 du chapitre 1).

    Satan dit à Dieu qu'il vient de parcourir la terre et de s'y promener ! Ceci est incroyable, parce que nous voyons que la terre est immense, même pour nous aujourd'hui. Mais ce n'est pas un endroit immense pour Satan, car il peut la parcourir entièrement et s'y promener. C'est comme si vous étiez dans votre jardin. Vous pouvez certainement le parcourir et vous y promener, n'est-ce pas ? Pour vous, votre jardin n'est pas un endroit tellement immense, et vous en êtes le maître incontesté. Il en est de même pour Satan, en ce qui concerne la terre. Pour cet ange déchu, la terre est un endroit minuscule, et ses habitants humains sont des proies faciles. Nous n'avons aucune idée de la puissance de Satan et de ses hordes de démons. Aucun être humain ne fait le poids devant eux. Ils haïssent toute l'humanité et veulent se venger du fait que nous avons été créés "à l'image de Dieu." Ceci me permet d'aborder le deuxième point, en ce qui concerne la capacité des occultistes à atteindre leurs objectifs.

     

     

    2. Dieu contrôle toutes choses, même Satan et ses hordes de démons !

    Dieu contrôle absolument les événements mondiaux. Satan et ses démons ne peuvent rien faire sans la permission de Dieu. Quand Dieu force Satan à manipuler les foules humaines qu'il contrôle, pour faire quelque chose qui accomplit les prophéties de la Bible, toute la gloire en revient à Dieu. C'est pourquoi Dieu a déclaré d'une manière tellement solennelle, en ce qui concerne Ses prophéties : "Consultez le livre de l'Eternel, et lisez ! Aucun d'eux ne fera défaut, ni l'un ni l'autre ne manqueront ; car sa bouche l'a ordonné. C'est son esprit qui les rassemblera" (Esaïe 34:16).

    En d'autres termes, aucune des prophéties du Seigneur "ne manquera" de s'accomplir ! Le plus grand exemple de l'omnipotence de Dieu, en face de la rébellion de Satan, est la renaissance de la nation d'Israël, exactement comme Dieu l'avait prévue. Satan hait Israël d'une parfaite haine, parce qu'il hait Dieu, et parce qu'Israël est le peuple choisi par Dieu. Si Satan pouvait faire ce qu'il voulait, il aurait remué le ciel et la terre pour empêcher Israël de récupérer sa terre et de former à nouveau une nation, en 1948. En fait, Satan a tenté d'empêcher cela, en utilisant puissamment Adolf Hitler, et en s'efforçant d'éliminer complètement tous les Juifs de la planète. Mais il a échoué, et Israël est retourné dans son pays, comme Dieu l'avait annoncé d'avance !

    Retournons à présent au plus grand occultiste de tous les temps. Comme la plupart des occultistes, Albert Pike avait des esprits guides surnaturels, qui lui dispensaient la "Sagesse Divine" et qui lui ont révélé comment mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Un "esprit guide" est un "être surnaturel," qui se révèle à ceux qui ont consacré leur vie à la pratique de l'occultisme. Vous devez réaliser que beaucoup de praticiens de la religion du Nouvel Age ne considèrent pas du tout comme une mauvaise chose le fait d'avoir un esprit guide. En fait, ils vous diraient tous avec des cris d'enthousiasme qu'ils sont remplis de bonheur et de joie quand ils sont en relation avec leur esprit guide. Ils ne comprennent pas qu'ils ont été momentanément séduits par Satan, qui peut, comme ses démons, apparaître en Ange de Lumière, afin de les séduire. "Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière" (2 Cor. 11:14).

    Albert Pike a donc reçu une vision démoniaque, que nous allons vous décrire. Le 22 janvier 1870, Pike, et l'un des collègues de son internationale de conspirateurs, Giuseppe Mazzini, publièrent le Plan qui conduirait à l'établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ce Plan a été gardé secret. Depuis sa divulgation, il n'a circulé que dans les cercles secrets de la Franc-Maçonnerie. Il n'est connu que par les Illuminati qui conspirent au niveau mondial pour réaliser leur programme occulte. Je tiens ces informations de Doc Marquis, un ancien Illuminatus Luciférien, qui a publié un livre intitulé : "Secrets of the Illuminati" (Les secrets des Illuminati). Il y révèle de nombreux détails, qui n'étaient connus jusque-là que par les Illuminati.

    Dans ce plan secret pour conquérir le monde, Pike envisageait la nécessité de trois guerres mondiales. Réfléchissez encore à la date à laquelle il a révélé ces prédictions : le 22 janvier 1870 ! C'était 44 ans avant le début de la première guerre mondiale. Quand vous comprendrez tout ce que nous allons vous révéler, et que vous réalisez le temps passé entre la prédiction et le début de son accomplissement, vous verrez clairement que des forces surnaturelles étaient en action. En outre, la date du 22 janvier 1870 a aussi une signification occulte. Le nombre 22 est l'un des nombres occultes les plus importants (11, 22 et 33).

    Le Plan de Pike prévoyait le renversement de l'ancien ordre mondial, dominé par le judéo-christianisme, afin d'établir le Nouvel Ordre Mondial inspiré par Satan. Pour cela, il fallait passer par des guerres. Mais ces guerres devaient être différentes de toutes les guerres que le monde avait connues jusque-là. Ces guerres devaient se dérouler sur une tout autre échelle. Elles devaient être mondiales.

    Le Plan de Pike prévoyait trois guerres mondiales pour établir le Nouvel Ordre Mondial. En lisant cette prophétie satanique, n'oubliez pas que les Illuminati font appel à leur concept occulte de la Thèse, de l'Antithèse et de la Synthèse. La Thèse et l'Antithèse doivent entrer en conflit, afin de produire la Synthèse du Nouveau Système mondial. Les deux premières guerres mondiales ont permis d'établir l'Antithèse, qui a débouché sur la Guerre Froide, destinée à "maîtriser le conflit ou la menace de conflit," afin de déboucher sur la Synthèse finale. Voici les détails de ce Plan :

    La première guerre mondiale a été déclenchée dans le but de renverser le Gouvernement Tsariste en Russie. Il fallait mettre en place en Russie un nouveau gouvernement athée et militariste. En outre, Pike avait clairement précisé que ce nouveau gouvernement en Russie devait être Communiste. Karl Marx avait déjà publié en 1848 son Manifeste Communiste, 22 ans exactement avant la prophétie occulte d'Albert Pike. N'est-il pas intéressant de voir à nouveau surgir un nombre cher aux occultistes ? Vous verrez aussi apparaître plus loin 44 et 66, qui sont aussi des multiples de 11.

     

    L'histoire nous a bien montré que cette première guerre mondiale s'est bien déroulée comme l'avait prévu Pike. Les puissances occidentales européennes, soutenues par les Etats-Unis, ont financé l'expédition de Lénine en Russie. Ils ont financé son gouvernement, et ont continué à aider financièrement le communisme russe par la suite, au moins une fois par décennie.

    Pike avait prévu que la seconde guerre mondiale se déroulerait entre l'Allemagne et la Grande-Bretagne. L'un des objectifs prévus pour cette guerre était de renforcer le nouveau régime communiste en Russie, afin d'affaiblir ou de détruire d'autres gouvernements et religions.

    L'histoire nous a montré à nouveau que la seconde guerre mondiale a accompli ces objectifs. La guerre a commencé quand l'Allemagne a envahi la Pologne, entraînant la Grande-Bretagne à déclarer la guerre à l'Allemagne. Trois puissances principales se sont engagées dans ce conflit. Les occultistes pratiquant la Magie Noire se sont rassemblés, lorsque l'Allemagne s'est alliée à l'Italie et au Japon. Les occultistes pratiquant la Magie Blanche se sont rassemblés de leur côté, lorsque la Grande-Bretagne s'est alliée avec les Etats-Unis et la Russie. Ne vous y trompez pas ! Cette guerre a opposé deux clans du Nouvel Ordre Mondial : la "mauvaise" alliance des puissances de l'Axe, contre la "bonne" alliance des Alliés, c'est-à-dire, en fait, la guerre des puissances pratiquant la Magie Noire, contre les puissances pratiquant la Magie Blanche. Nous aborderons ce thème plus en profondeur à un autre moment.

    Il est certain que cette vision de Pike, concernant une seconde guerre mondiale qui ferait du Communisme Russe une super-puissance, a été accomplie d'une manière étonnante. Les historiens se sont toujours demandés avec étonnement comment Churchill et Roosevelt ont pu abandonner toute l'Europe de l'Est aux Soviétiques, alors que leurs forces militaires combinées étaient bien plus puissantes que celles des Russes. Il est clair qu'au moment où Churchill et Roosevelt ont cédé toute l'Europe de l'Est à la Russie, le gouvernement communiste de Russie (devenue par la suite l'U.R.S.S.) a accédé au statut de super-puissance, exactement comme l'avait prédit Pike dans sa vision. N'oublions pas que la seconde guerre mondiale a permis à la Russie de développer une puissance qu'elle ne possédait pas avant la guerre Ce sont les Occidentaux qui ont aisé la Russie à bâtir sa puissance militaire. Ils ont aussi aidé la Russie à construire une immense zone industrielle, à l'est de Moscou, ce qui lui a rapidement donné la base industrielle dont elle avait besoin. Il est vrai que la Russie a payé un lourd tribut en vies humaines au cours de ce conflit. Mais elle en est sortie avec le statut de super-puissance. Grâce à Roosevelt, la Russie possédait un empire sur lequel elle régnait, ainsi qu'une nouvelle base industrielle et militaire.

    Vous savez à présent que si le Franc-Maçon Roosevelt a cédé à la Russie tous ces territoires, c'est uniquement pour respecter la vision que Pike avait reçue en 1870 ! Vous ne lirez jamais cela dans aucun de vos livres !

    Pike a prévu que la troisième guerre mondiale opposerait le Judaïsme et l'Islam. Cette prophétie est remarquable à plusieurs égards. Nous devons bien réaliser que cette prophétie a été faite en 1870, à l'époque où Israël n'existait pas encore en tant que nation. Personne ne pensait que cela serait un jour possible, à part quelques Chrétiens fondamentalistes !

    Suivez donc avec attention les événements du Moyen-Orient, car c'est là que sera écrit le chapitre final du Plan des Illuminati. Les "esprits guides" démoniaques de la Franc-Maçonnerie et des chefs du Nouvel Ordre Mondial planifient une troisième guerre mondiale, la dernière. Cette guerre commencera entre Israël et ses voisins Arabes, et s'étendra au monde entier. C'est de la fumée et des destructions causées par cette troisième guerre mondiale que jaillira littéralement l'Antichrist !

     

     

    La partie la plus intéressante de ce plan démoniaque cadre exactement avec l'Ecriture ! Dieu a prévu qu'il y aurait, dans les derniers temps, un jugement sur les Arabes. On le voit dans plusieurs passages de Sa Parole :

    • Dans Abdias, Dieu annonce la destruction de la Maison d'Esaü, en particulier du peuple d'Edom, dans les derniers jours. Dieu annonce cette délivrance, à cause de la manière dont les Arabes ont traité Son peuple élu, Israël. Il est vrai que la nation d'Edom a déjà été sévèrement jugée en 70 après Jésus-Christ. Mais ils n'ont pas été éliminés en tant que peuple, et ils n'ont pas été détruits par Israël à l'époque, comme l'annonce le verset 18 d'Abdias. En outre, le verset 15 parle du "jour de l'Eternel" au verset 15. Ce jour concerne la fin des temps, ce qui n'étais pas le cas en 70.
    • Dans Joël 2:18 à 3:21, Dieu annonce un terrible jugement sur toutes les nations, en commençant par les Arabes. Dieu "ramènera les captifs de Juda et restaurera la prospérité d'Israël. Nous savons que cela s'est accompli le 14 mai 1848. Relisez soigneusement ce passage de Joël, et vous verrez que la main de Dieu exercera de terribles jugements contre toutes les nations qui entourent Israël, lorsque Israël sera rétabli dans son pays. Joël 2:30-31 semble même prédire une guerre nucléaire dans les temps de la fin.
    • Israël échappera à la destruction physique par la puissance miraculeuse de Dieu. Mais ce pays courra un danger si grand que Dieu Lui-même devra surnaturellement le protéger. Dans Daniel 12:1, nous voyons qu'au temps de la fin, Israël courra un danger tel, que l'Archange Micaël devra "se lever" pour secourir le peuple de Daniel, c'est-à-dire Israël.

    Nous pouvons donc accorder une réelle importance à cette vision démoniaque d'une troisième guerre mondiale. Car elle doit permettre à l'Antichrist de se manifester triomphalement au travers de toutes ces destructions. C'est lui qui mettra fin à cette guerre, pour offrir à un monde meurtri "la paix et la sûreté." Mais il est écrit dans 1 Thess. 5:1-4 que c'est à ce moment précis, quand les hommes diront : "Paix et sûreté !" qu'une ruine soudaine les surprendra.

     

    Les événements actuels montrent qu'Israël cherche à échanger "la terre contre la paix." Cela n'a aucun sens. Même les responsables politiques d'Israël, dont certains sont d'anciens généraux de l'armée, ont fini par soutenir ce plan insensé. Sur le plan militaire, ce plan est un désastre, car il offre aux Arabes la possibilité de s'installer de manière permanente au cœur même d'Israël, dont l'armée ne pourra plus réussir à défendre ce pays, si les attaques proviennent d'un Etat Palestinien. Les Juifs Orthodoxes sont convaincus que ce "Plan de paix" ne peut aboutir qu'à la guerre et non à la paix. Ils ont raison, car c'est ce que recherche le Plan des Illuminati.

    Vous pourriez vous demander pourquoi tant de responsables Israéliens ont fini par accepter l'idée de donner un Etat aux Palestiniens, ou de rendre le Golan à la Syrie, alors qu'ils devraient savoir ce qui va en résulter ? Je crois qu'il y a deux raisons à cela :

    • Ce sont des humanistes. A ce titre, ils peuvent donc être facilement séduits par Satan.
    • Ils ont reçu, de la part des puissances occidentales," des "garanties" quant à la sécurité d'Israël, s'ils acceptent ce plan.

    Quelle qu'en soit la raison, les responsables Israéliens ont fini par concevoir ce plan impossible. Ils ont déjà commencé à en réaliser une bonne partie de ses dispositions. A présent, avec un nouveau Premier Ministre de droite, tout est en place pour une prochaine explosion, car il ne semble pas disposé à s'engager plus loin dans ce "plan de paix." S'il tente de revenir sur les concessions déjà accordées, il ne peut qu'en résulter une guerre !

    Suivez donc de très près tout ce qui se passe en Israël et au Moyen-Orient ! Car l'Antichrist va se manifester au cours de cette troisième guerre mondiale. Les décors sont en place. La vision démoniaque d'Albert Pike, concernant les trois guerres mondiales nécessaires à la mise en place finale du Nouvel Ordre Mondial, est près de s'accomplir dans son intégralité.

     

     

    Vous savez à présent pourquoi tout le vingtième siècle a connu autant de guerres et de bruits de guerres ! Jésus l'avait pourtant entièrement annoncé d'avance, dans Matthieu 24:6. Il a dit que des guerres sans précédent caractériseraient l'époque des derniers jours, avant la manifestation de l'Antichrist.

    Rappelez-vous aussi ce qui est écrit dans Apocalypse 17:17 : "Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter son dessein et d'exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies."

    Etes-vous spirituellement prêt ? Votre famille est-elle prête ? Protégez-vous efficacement vos bien-aimés ? C’est la raison d’être de notre ministère : vous permettre de comprendre à quel péril nous sommes confrontés, et vous aider à employer les moyens qui vous permettront d’avertir et de protéger ceux que vous aimez. Quand vous aurez été suffisamment formés, vous pourrez utiliser ce que vous savez pour engager la discussion avec ceux qui ne sont pas sauvés. J’ai pu le faire bien souvent, et j’ai vu des gens venir à Christ à la suite de ces discussions. Ces temps périlleux que nous vivons sont aussi des temps où nous pouvons gagner beaucoup d’âmes à Jésus-Christ, ce qui aura des conséquences éternelles.

    Si vous avez déjà accepté Jésus-Christ comme votre Sauveur, mais si vous êtes tièdes dans votre marche spirituelle avec Lui, vous devez Lui demander immédiatement pardon et Le prier de vous renouveler. Il vous pardonnera instantanément, et remplira votre cœur de la joie du Saint-Esprit. Il vous faudra ensuite veiller à prier et à lire la Bible chaque jour.

    Si vous n’avez jamais accepté Jésus-Christ comme votre Sauveur, mais que vous avez compris qu’Il est vivant, que nous approchons de la fin des temps, et que vous voulez accepter le don gratuit de la vie éternelle, vous pouvez également le faire dès maintenant, dans le secret de votre demeure. Dès que vous acceptez Jésus comme votre Sauveur, vous passez par une nouvelle naissance spirituelle, et vous avez la certitude d’aller au Ciel, comme si vous y étiez déjà. Vous pouvez alors être assuré que le Royaume de l’Antichrist ne vous touchera pas spirituellement.

     Cette lettre du 15.08.1871 fut révélée par le Commodore William (1895-1959) dans son livre « Pawns in the Game » (« Des Pions sur l’Échiquier », Éd. Canadienne éditée en 1954 par la « National Federation of Christian Laymen »). Cet officier de marine canadien faisait partie de l’équipe formée par l’amiral britannique Sir Barry Domville, ancien chef de la « Naval Intelligence », retraité en 1936 et plus tard incarcéré par W. Churchill comme antibelliciste. […]

     



    “ … mais des deux défaites subies par la France, la militaire et sociale, profiteront à la fois les financiers cosmopolites et les disciples de Karl Marx, tandis que les promoteurs du « World Revolutionary » mouvement, Giuseppe Mazzini et son homologue nord-américain, le général Albert Pike [1809-1891], dans leur lettre du 15.08.1871, traitent du schéma « Crise, Guerre, Révolution » des 3 guerres mondiales suivies des 3 grandes révolutions qui doivent marquer le XXe siècle. A. Pike, 33e degré, grand commandeur du Rite écossais du Sud, fonda sa propre obédience luciférienne : le « New Reformed Palladian Rite » destiné à appuyer le Mouvement Révolutionnaire Mondial (cf. Jean Lombard, « La face cachée de l’Histoire moderne », pp. 552-554, 1984, et les pages 555-556 du tome 2 de l’éd. espagnole). ”


    “ La Première Guerre Mondiale devait permettre aux Illuminati de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de transformer ce pays par la mainmise du Communisme athée. Les divergences « naturelles », attisées par les Agents des Illuminati entre les Empires Britannique et Allemand devaient servir à fomenter cette guerre. Le conflit terminé, le Communisme devait se constituer et être utilisé pour détruire les autres gouvernements et affaiblir les religions.

    “ La Deuxième Guerre Mondiale devait être fomentée en jouant sur les divergences entre Fascistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l’Etat souverain d’Israël put s’établir en Palestine. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la puissance du Communisme International devait arriver au niveau de celle de la Chrétienté tout entière. Arrivé à ce point, il devait être contenu et mis en réserve jusqu’à son utilisation pour le dernier cataclysme social.


    “ Quelle personne informée pourrait nier que Roosevelt et ChurchilL ont réalisé cette politique ?


    “ La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l’Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l’Etat d’Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu’à un état d’épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique.




    “ Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours au Proche, au Moyen Orient et à l’Extrême Orient ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ?


    “ Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu’après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu. Nous citons ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres : ”

     

    Franc macon entrain de faire un rituel satanique .




    « Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d’un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement. Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d’un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l’athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps. »