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11.9
Le président George Bush, qui le lendemain de lattaque accusait sans ambages Osama ben Laden den être le cerveau, déclara le 13 mars 2002 lors dune conférence de presse: « Je ne sais pas où il se trouve. Vous savez, Kelly, je nai pas beaucoup de temps à lui consacrer ; pour être honnête avec vous... je ne dirais pas nécessairement quil est au cur dun quelconque commandement... Je répéterai ce que jai déjà dit. Vraiment, je ne me soucie pas à ce point-là de lui. »
Le ministre de la justice, John Ashcroft, qui, le 12 septembre 2001, prétendit quau moins cinquante personnes sur le territoire des États-Unis étaient directement impliquées dans la préparation du crime, na fait inculper personne suite à ses déclarations. Il savère maintenant être dans limpossibilité dobtenir la condamnation de Zacarias Moussaoui le seul individu emprisonné aux États-Unis dans le cadre de laffaire, accusé pour avoir eu connaissance du piratage avant son exécution ou sen désintéresser. La capture au Pakistan, en mars 2003, de Khalid Cheik Mohammed provoqua, à la Maison Blanche, la réaction suivante : « Khalid Cheik Mohammed est un des plus jeunes et un des plus importants lieutenants dOsama ben Laden, un stratège clé dAl Quaida et le cerveau de lattaque du 11 septembre [...] Khaid Cheik Mohammed figure sur la liste des terroristes les plus recherchés tenue par le F.B.I. et est sous le coup dune accusation fédérale depuis 1996, à la suite de la conspiration aérienne de Manille, ce complot dont lobjectif était de perpétrer des attaques à la bombe contre des compagnies aériennes civiles américaines. » En dépit de cela, alors quil est emprisonné par les États-Unis depuis sa capture, aucune accusation na été retenue contre lui. Lendroit de sa détention na pas été révélé et la presse na pas été autorisée à lapprocher ni, il va sans dire, à sentretenir avec lui.
On annonce régulièrement la détention dArabes ou de musulmans « suspectés » dêtre plus ou moins impliqués dans laffaire du 11 septembre. Ces suspects sont ensuite relâchés sans tambour ni trompette après sêtre assuré des titres de la presse afin que la version officielle de laffaire ne soit pas remise en cause.
Lorsque des gens perdent la vie dans un accident davion, la première chose que lon fait est davertir les proches des défunts. Dans le cas dun avion de ligne, le personnel au sol établit la liste des passagers avant leur départ et en garde une copie, de sorte quon est en droit de sattendre à trouver sur ladite liste le nom de tous les passagers, équipage compris aussi bien que les pirates supposés, et ce, pour chacun des quatre appareils détournés. Il se trouve cependant que le F.B.I. et les compagnies aériennes dont les avions ont été détruits lors de lattaque du 11 septembre 2001 ont refusé catégoriquement de rendre publiques ces listes. La seule preuve comme quoi les individus concernés sont morts lors de la destruction des avions est gardée secrète, même pour les familles des victimes. Ces dernières ne peuvent donc être sûres que les leurs sont morts à bord de ces avions, plutôt quailleurs.
La principale preuve démontrant que des Arabes ont effectivement été embarqués sur les quatre avions na en fait jamais été présentée au public. Aucune explication na été fournie pour cette surprenante mise au secret. On a émis lhypothèse que la publication de ces listes pourrait porter atteinte à la vie privée des victimes et de leur famille. Mais une telle explication ne tient pas, car le nom de toutes les victimes (à lexception des supposés pirates) fut publié par la presse peu après le 11 septembre, cest-à-dire après que les familles aient été informées de la perte des leurs. Or aucune des listes publiées par les principaux journaux ne contient de noms arabes. Si aucun nom de ce type napparaît dans les listes de passagers originales, lintégralité de lexplication officielle doit être considérée comme une gigantesque fable. Mais, même si les autorités américaines se décidaient un jour à publier ces listes, leur authenticité ne pourrait désormais plus être garantie.
Et comme si cela ne suffisait pas, peu de temps après le 11 septembre, la B.B.C. et dautres grands organes de presse ont révélé que quelques personnes désignées par le F.B.I. comme étant ceux de kamikazes ayant péri dans lattaque étaient en réalité bien vivantes au Maroc et en Arabie saoudite. Ces dernières ont été choquées de découvrir leur nom, ainsi que leur date de naissance et leur photo sur le site du F.B.I., et dy être présentées de surcroît comme terroristes ayant péri. Elles exigèrent des explications et des excuses. À la suite de cela le directeur du F.B.I. admit que certaines identités avaient pu avoir été « empruntées », sans se lancer dans plus dexplication. Plus tard, il revint sur sa déclaration en affirmant que le F.B.I. avait correctement identifié tous les pirates et aucune modification ne fut faite dans la liste dressée par le F.B.I., laquelle est encore accessible sur le site de cet organisme. Il nen reste pas moins que le fait que certains terroristes prétendus sont en réalité vivants est inconciliable avec le fait quils sont déclarés morts. Et dans ce cas, qui sont les vrais terroristes, si tant est quil y en ait eu ? Le F.B.I. napporte aucune réponse à cette question.
Quand bush a menti pour son interet!!!!!
par nansimimniLadministration américaine a tenté avec opiniâtreté dentraver lenquête sur les événements du 11 septembre 2001, ce qui eut pour conséquence quaucune enquête criminelle à proprement parler na été ouverte. En réalité, le F.B.I. sest vu intimer, huit semaines après les attentats, lordre de restreindre le champ de ses investigations sur le crime commis afin de concentrer son activité sur la prévention de nouvelles attaques. Leffondrement des tours du World Trade Center ne fit pas non plus lobjet dune véritable enquête. Un élément qui aurait pu servir à lenquête, tel lacier de la structure effondrée, fut enlevé pour être vendu à la ferraille à létranger avant que les enquêteurs aient pu en examiner les défectuosités éventuelles. Dautres preuves encore furent détruites, parmi lesquelles des enregistrements dans lesquels des contrôleurs aériens témoignaient de ce quils avaient entendu en cette journée tragique. Aucun enregistrement vidéographique ni aucune photographie certifiée des débris des avions ni de lavion qui sécrasa sur le Pentagone ne fut rendus public. Les témoignages individuels susceptibles de contredire la version officielle furent systématiquement ignorés par les enquêteurs. Le F.B.I. exigea des témoins quils sabstiennent de tout contact avec les journalistes. Les familles des victimes furent généreusement indemnisées 1,8 millions de dollars en moyenne lorsquil sagissait de parenté immédiate à la condition expresse de ne pas engager de procédures judiciaires au cours desquelles des témoins pourraient être assignés à comparaître ou des preuves montrées, toutes choses susceptibles de faire éclater la vérité. La Maison Blanche déploya beaucoup defforts pour sopposer à une enquête du Congrès. Cependant, deux ans plus tard, cédant aux pressions des familles des victimes, le Congrès accepta finalement dentreprendre une telle enquête. La Maison Blanche accepta à contrecur de coopérer avec la commission du Congrès, mais seulement après que le mandat de celle-ci fut limité en compétence et en durée, et que son président et son directeur exécutif furent nommés par le président Bush. La commission, dans son « rapport final » présenté en juin 2004, a éludé les questions les plus déterminantes concernant ce qui sest réellement passé le 11 septembre. Il nest pas possible de considérer ce rapport comme étant compréhensif et final. Il disculpe en bloc ladministration américaine de tout méfait, toute négligence ou toute complicité.
Dautres aspects de la version officielle ont encore fait lobjet de recherches.
Il est loin dêtre prouvé que les deux tours du World Trade Center se soient écroulées à cause de lincendie engendré par limpact des avions. Des pompiers et dautres personnes ont signalé avoir entendu des explosions ou ressenti leurs effets dans les bâtiments avant leur effondrement. Vu de lextérieur, ce dernier évoque une démolition contrôlée. On sait moins que le World Trade Center n° 7, un bâtiment de quarante-sept étages situé près des tours jumelles, sest écroulé également le même jour tard en fin daprès-midi, et ce, sans avoir été percuté par un avion. Il semble quil avait été atteint par des débris en feu provenant des deux tours, débris qui auraient causé un incendie aboutissant à lécroulement de la construction. On na cependant jusquà présent jamais enregistré quun immeuble de cette taille se soit écroulé à la suite dun incendie. Aucune preuve na été apportée démontrant que le feu qui sétait déclaré dans le bâtiment en question était impossible à maîtriser. Limmeuble avait été évacué tôt dans la journée. Son effondrement rappelle de manière très frappante une démolition contrôlée avec des explosifs. Larry Silberstein, le milliardaire juif qui sétait assuré pour lui-même, six semaines avant lattaque, un bail de quatre-vingt-dix-neuf ans sur lensemble constitué par le World Trade Center, déclara lors dun entretien : « Je me souviens avoir reçu un coup de fil du... euh... chef des pompiers me disant quils nétaient pas encore sûrs de pouvoir contenir le feu, et jai répondu : « Nous avons déjà eu tellement de pertes humaines, que la meilleure chose que nous puissions faire est peut-être encore de le faire seffondrer ». Ils prirent alors la décision de le raser et nous avons assisté à leffondrement du bâtiment. » A-t-il été détruit à laide dexplosifs et, si oui, quand ces derniers ont-ils été introduits dans la construction ?
La version officielle prétend en particulier quun avion de ligne sest écrasé sur le Pentagone, mais nous nen avons aucune preuve photographique : lintégralité de lavion, ailes comprises, aurait disparu dans le bâtiment, donnant naissance à une étroite galerie. De nombreuses personnes enquêtant de manière indépendante sur la question remettent fortement en cause lexplication officielle tant pour des raisons techniques que du fait de lexistence de preuves contradictoires. Il semblerait bien plutôt quil se soit agit dun missile. Si tel est le cas, la question est alors de savoir qui la tiré.
Marion Cotillard dérape sur le 11 septembre ??
envoyé par smilaUn quatrième avion, se dirigeant prétendument sur la Maison Blanche, sest écrasé près de Shanksville, dans lÉtat de Pennsylvanie. Selon le compte rendu officiel, il se serait écrasé après que les passagers eurent tenté de maîtriser les pirates, avec pour conséquence la perte de contrôle de lappareil par le pilote et son écrasement consécutif à grande vitesse. Les indices collectés sur les lieux de limpact avec le sol suggèrent que lavion aurait en fait été abattu par larmée américaine. Cette hypothèse est corroborée par des témoins oculaires locaux qui jurent avoir vu un avion non identifié au-dessus du lieu où lavion sest écrasé ainsi que des débris, trouvés à 10 km. de distance, tombant de lavion avant quil eut atteint le sol. Ces témoignages contredisent la thèse officielle et restent inexpliqués.
Dautres questions concernent la connaissance anticipée de lattaque du 11 septembre 2001 quaurait eu à ce quon prétend le gouvernement israélien ou le Mossad. Le jour de la tragédie, cinq individus identifiés par la police comme étant israéliens, ont été vus filmer les deux tours en feu, semblant se réjouir beaucoup du spectacle. Une personne, du nom de Maria, fut à ce point scandalisée par leur comportement, quelle appela la police. Ils furent arrêtés et gardés en prison pendant plus de deux mois, avant dêtre expulsés vers Israël. Alors que la presse a rapporté ces faits et dautres détails encore sur ces personnes, aucune raison na été donnée pour justifier une détention aussi longue. Leur chef apparemment sétait enfui vers Israël.
La ministre Boutin et le 11 septembre
envoyé par ReOpen911Peu de temps après, des journaux arabes publiaient que quelques quatre mille Israéliens travaillant au World Trade Center ne sétaient pas présentés au travail le 11 septembre 2001, suggérant quils auraient été prévenus par les autorités israéliennes. Cette information sest révélée fausse, mais nétait néanmoins pas une pure invention. En fait, le 12 septembre, le Jerusalem Post avait signalé que le gouvernement israélien sinquiétait du sort de quatre mille Israéliens quon savait résider ou travailler aux alentours du World Trade Center. Maintenant que les choses se sont quelque peu tassées, il savère quun seul Israélien a péri dans lune des deux tours. Il nétait même pas un employé.
Quand ceux qui commettent un crime ne peuvent pas être identifiés, on doit se poser la question suivante : à qui profite le crime ? Dans le cas de lattaque du 11 septembre, il était demblée clair que le crime ne profitait aucunement au monde musulman, pour lequel Osama ben Laden prétend combattre : en fait rien ne pouvait même être plus néfaste à la cause musulmane quun tel acte. Par contre, pour les États-Unis et Israël, ce crime offrait une foule de perspectives.
Il faut rappeler que le groupe dont Donald Rumsfeld est le centre (néoconservateurs) fut signataire dun rapport publié en 2000 sous le sigle de « Projet pour un nouveau siècle américain » et dans lequel était souligné que les États-Unis devaient établir et consolider leur hégémonie (militaire) dans les décennies à venir. Les auteurs de ce rapport y déclarent en substance : « le processus de transformation (de la défence américaine), même sil amène des changements révolutionnaires, demandera vraisemblablement beaucoup de temps en labsence de quelque événement catastrophique ou catalytique, tel un nouveau Pearl Harbor. »
Le 11 septembre fut-il le Pearl Harbor qui devait accélérer les « changements révolutionnaires » au profit de lhégémonie mondiale des États-Unis ? Peut-être, si lon prend en considération les événements qui se sont produits ensuite : ce crime permit aux États-Unis dinitier une « guerre contre le terrorisme » indéfinie à léchelle planétaire ; il leur fournit un prétexte pour bombarder et occuper lAfghanistan, position stratégique en Asie centrale ; il prépare la voie à lagression contre lIraq ; il autorise une augmentation spectaculaire des attributions de fonds à larmée et aux services secrets ; il permet ladoption presquautomatique de lois qui renforcent le pouvoirs policiers et réduisent les libertés des citoyens; et il renforce la popularité du président américain. Des hommes politiques israéliens, tel lancien premier ministre Netanyahu, parlent publiquement des conséquences « fastes » pour Israël des événements du 11 septembre 2001. Le fait que lélite américaine en bénéficie nimplique pas nécessairement que le gouvernement américain soit responsable de méfaits en rapport. Dun autre côté, les perspectives ouvertes par ce crime, reconnues explicitement par les dirigeants américains et utilisées pour promouvoir les intérêts du pays, placent les États-Unis parmi les premiers suspects.
La liste des anomalies et tentatives de tromperie officielles est bien trop longue pour être envisagée complètement ici. Les événements du 11 septembre 2001 servant à justifier deux guerres dagression, loccupation de Afghanistan et de lIrak, des menaces de nouvelles guerres, la réduction des libertés individuelles et laffaiblissement de lO.N.U., lélucidation de ce crime est urgente et concerne tous les peuples. Si les autorités américaines ou des agences fédérales ont facilité la perpétration du crime, voire même lont organisé, avec ou sans laide détrangers, il sera nécéssaire de faire face à cette terrible réalité et en tirer toutes les conséquences qui simposent. Tant que les autorités américaines refuseront de révéler la vérité sur ce qui sest réellement produit le 11 septembre 2001, le gouvernement des États-Unis devra être considéré comme lun des premiers suspects de cette tuerie massive.
Photo de toutes les victimes du 11 septembre
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