• Les beatles les satanistes populaires

    Les Beatles

     

    " Ils sont complètement antichrists.

    Je veux dire que moi aussi je suis antichrist

    mais eux le sont tellement qu'ils arrivent à me choquer, ce qui n'est pas facile  "

    Derek Tylor (agent de presse des Beatles)

    "Parfois je croyais que c'était Satan lui-même "


    George Martin, Producteur des Beatles

     

    "Jésus, un bâtard d'Espagnol catholique fasciste graisseux, mangeur d'aïl, petit puant et jaune," 

    John Lennon, A Spaniard in the Works, p.14)
     

     " Le christianisme est appelé à disparaître, il va diminuer jusqu'à s'évanouir. Je ne tiens pas à en discuter. J'ai raison et l'avenir le prouvera. Il n'y a qu'à attendre... Nous sommes plus populaires que Jésus-Christ à présent.

    J'ignore qui des deux disparaîtra le premier, le Rock'N'Roll ou le Christianisme ".

    John Lennon (San Francisco Chronicle, 13 Avril 1966, p.26)

     

    " Je sais que les Beatles connaîtront le succès comme aucun groupe ne l’a encore connu. Je le sais très bien, car pour ce succès, j’ai vendu mon âme au diable .

    John Lennon (en 1962)

     

     

    Une dépêche de l’AFP référencée sur Bafweb nous révèle, pourvu que l’on sache relier entre elles certaines informations, des faits très intéressants sur les influences sataniques qui poussent des meurtriers à agir.

    Il s’agit des aveux de Mark Chapman, le fan des Beatles qui a assassiné John Lennon en 1980. Dans un enregistrement de 1992 (mais qui vient seulement d’être rendu public) il révèle qu’il était au moment de son crime « totalement contrôlé par une force ». « J'ai entendu une voix dans ma tête qui me disait 'fais le, fais le' », déclare-t-il.

    L’article poursuit : « Mark Chapman se souvient que son désir de tuer John Lennon est né dans son appartement à Hawaii, un jour où il regardait l'album "Sgt. Pepper's Lonely Heart Club Band". Une rancœur vis-à-vis du chanteur l'a rapidement envahi. »

    Et c’est là que ça devient intéressant ! Ce que l’AFP ignore (ou tait...), mais qu’il faut savoir, c’est que la couverture de cet album n’est pas innocente. Sgt Pepper's est le 1er Concept Album de la musique Pop, et le moindre détail de son packaging a été soigneusement pensé. Le plus frappant est la couverture qui est un montage photo où l’on voit en compagnie des 4 membres du groupe plus de 70 personnalités du XXème siècle, comme pour une photo de famille. Le choix de ces personnalités n’a rien d’anodin.
     
     
     
     


    En haut à gauche de cet album, le 2ème personnage qui apparaît est Aleister Crowley (voir photo).

    Cet anglais mort en 1947 n’est rien d’autre que le plus célèbre sataniste de l’histoire, dont les écrits servent de référence à tous les cultes satanistes et lucifériens contemporains. Ce sinistre personnage se proclamait comme étant « l’incarnation couronnée de la Bête 666 » et il pratiquait effectivement la sorcellerie la plus noire.

    Sur la pochette du disque Sgt Peppers’s, Aleister Crowley regarde fixement le lecteur. Et c’est en contemplant cette même pochette que Mark Chapman a senti qu’une force incontrôlable le poussait au meurtre... N’y voir qu’une coïncidence serait nier la présence maléfique du démon qui profite de la moindre brèche que nous lui ouvrons pour agir.

    Autre exemple montrant qu’il ne faut jamais jouer avec le diable, encore une fois concernant un album des Beatles : le White Album, un double album sorti en 1968 et qui comportait plusieurs titres de musique « expérimentale ». Parmi ceux ci, un morceau très étrange, Revolution number nine, où l’on entend un homme réciter en boucle la phrase « number nine » (numéro 9), comme une incantation. Une remarquable étude du Père canadien Paul Regimbald sur l’influence du satanisme dans le Rock’n Roll a démontré que ce morceau des Beatles contenait un message subliminal. En effet, lorsque l’on écoute cet enregistrement à l’envers, on entend assez distinctement « Turn me on dead man » répété en boucle, ce qui veut dire « excite moi homme mort », ce que le Père Regimbald interprète comme une phrase blasphématoire sur le Christ en Croix. Vous pouvez en juger vous même en écoutant le passage à l’endroit, puis à l’envers. Or à cette période, les Beatles avaient effectivement fait plusieurs déclarations ouvertement hostiles au christianisme.
     
     


    Si je rappelle cette anecdote, que certains d’entre vous doivent connaître, c’est parce que l’on peut la comparer avec l’affaire du portrait d’Aleister Crowley. En effet, et personne n’a fait le rapprochement à ma connaissance entre ces deux infos, il faut savoir que la chanson Revolution number nine ne se contente pas de contenir un message subliminal satanique, elle est également à l’origine d’un des plus effroyables meurtres rituels des années 60, à savoir le massacre de Beverly Hills perpétré par les adeptes de Charles Manson. Ce gourou illuminé avait incité ses adeptes à commettre une série de meurtres rituels, dont la boucherie du 10 août 1969 qui fit 5 victimes, parmi lesquelles l'épouse du réalisateur Roman Polanski, Sharon Tate, alors enceinte de 8 mois.

    Charles Manson a par la suite expliqué qu’il puisait son inspiration dans les textes des Beatles, spécialement ceux tirés du fameux White Album qui se référait selon lui à l’Apocalypse. Et ses adeptes, avant de commettre ces meurtres épouvantables (eux aussi se disaient « sous le contrôle d’une force extérieure ») ont dû écouter continuellement cet album, plus particulièrement un morceau qu’ils écoutaient durant des heures : Revolution Number Nine.

    C’est ce qu’on appelle un lien de cause à effet...

    Je précise que ce post n’a pas pour but d’accuser les Beatles d’être un groupe satanique ni de dénigrer leur oeuvre, que j’apprécie beaucoup d’ailleurs.

    Il s’agit simplement de démasquer le démon et de mettre en garde : s’amuser à tenter le diable a souvent des conséquences mortelles.

    Lesalonbeige.com
     
     
     
     
     
     
     
     
    EXEMPLE No 1 : THE BEATLES - REVOLUTION #9

    Vous entendrez le premier extrait à l'endroit, tel que vous l'entendez sur le disque.
    L'extrait suivant, est le même passage, mais passé à l'envers...
     

     

    EXEMPLE No 2 : THE BEATLES - OBLADI OBLADA

    Autres exemple :

    http://illuminati-project.oldiblog.com/?page=lastarticle&id=1995200

     
    </d