• L’horreur du contrôle de la population

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    Le projet HAARP:
    L’horreur du contrôle de la population



    Successeur terrestre du projet Star Wars (Guerre des étoiles), le Haarp serait, par ses extraordinaires puissances et polyvalence, "l'arme ultime" des États-Unis.

    Les Américains sont-ils en train de mettre au point un vaste système d'armement capable de scanner les entrailles de la terre à la recherche de bases secrètes, d'interrompre toute forme de communication hertzienne, d'influencer les comportements humains, de modifier la météorologie, de griller les avions dans le ciel comme le ferait un vulgaire four à micro-ondes de votre potage, de provoquer des tremblements de terre ou des explosions aussi puissantes qu'une bombe atomique?  Avec le "Haarp", l'armée américaine serait en train de rééditer, sous une forme plus économique et plus dangereuse encore, son projet "Star Wars" ou Guerre des étoiles.  A une différence près : il s'agit cette fois d'une installation terrestre.

    Plusieurs scientifiques et experts en armement ainsi que des députés du Parlement européen se montrent préoccupés, c'est un euphémisme, par le développement de ce projet.   C'est pourquoi un expert en énergie, Gratan Healy, conseiller auprès des parlementaires, rassemble pour l'instant les pièces accusatoires de ce projet de fin du monde.   Magda Haalvoet, une euro-députée belge, chef de file du groupe des Verts au Parlement européen est en charge du dossier. C'est elle qui doit donner une suite officielle aux demandes d'éclaircissement des membres de son groupe et qui fera en sorte que le Parlement fasse pression, via l'Otan, pour que les États-Unis répondent à toutes questions utiles, Magda Haalvoet est inquiète. Elle affirme même que ce type d'armement ("non lethal weaponery"), outre les conséquences écologiques désastreuses qu'il implique, "peut mettre en danger les libertés individuelles et la démocratie". Rien de moins.

     

     

    30 millions de dollars

    Les initiales HAARP signifient en anglais "High-frequency Active Auroral Research" (recherches dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales).

    De prime abord, derrière ces initiales un peu ésotériques, se cache un projet de 30 millions de dollars de coût annuel que l'armée américaine présente comme d'innocente recherches sur l'ionosphère. Les promoteurs du projet n'épargnent ni leur énergie, ni leurs dollars en campagnes de relations publiques et en publicité pour rassurer l'opinion américaine.  Néanmoins, il est difficile de croire qu'il ne s'agit pas d'un projet à des fins militaires lorsque l'on sait que les vrais bailleurs de fonds sont la Navy, l'Air Force et le Département de la Défense.

    À quoi ressemble Haarp sur le terrain ? Il s'agit d'une vaste installation qui s'étend sur plusieurs hectares, à Gakona, une petite localité au nord-est d'Anchorage en Alaska. Le coin n'est pas si perdu que cela puisque l'installation jouxte les immenses réserves gazières et pétrolières appartenant à la société Arco, par ailleurs propriétaire des brevets technologiques composant Haarp et "financier-écran" de ces équipements. En outre, Haarp est relié à l'un des ordinateurs les plus puissants de la planète à l'université d'Alaska dans le Butrovich building. Quant à son aspect physique, il s'agit somme toute d'un vaste périmètre plat et déboisé, planté de 48 antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur d'un peu moins de 1 million de watts de puissance. A terme, le nombre d'antennes et la puissance des émetteurs sont appelés à se multiplier pour atteindre la puissance phénoménale de 1 milliard de watts émis par un réseau de 360 antennes. Les émetteurs sont alimentés en énergie par 6 turbines de 3.600 CV brûlant quelque 95 tonnes de diesel par jour. On notera ici que l'ensemble de l'installation est assez nocive pour l'environnement proche puisqu'elle émet plus de 7 tonnes de matières polluantes par jour.

     

     

     


    À quoi ça sert?

    Officiellement, les scientifiques qui travaillent sur cet émetteur radio mégalomaniaque veulent étudier l'ionosphère. Officieusement, Haarp va tirer parti de l'ionosphère pour en faire une arme à énergie. L'ionosphère est cette couche située au-dessus de la stratosphère, constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie et qui démarre à une altitude moyenne de 48 km pour se terminer à 600 km de notre surface terrestre. Cette couche à haute densité énergétique est vitale pour notre planète car elle joue un rôle fondamental de bouclier, au même titre que la couche d'ozone. Elle nous protège des dégagements nocifs du soleil. L'ionosphère "capture" entre autres choses les particules chargées électriquement et nées des "vents et tempêtes" solaires et galactiques. On sait par ailleurs que les recherches menées depuis un siècle par une serie de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce  "manteau énergétique" protégeant la terre pouvait, avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique de toute première importance.

    Haarp se fonde sur les recherches de Bernard Eastlund, qui s'est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla, un scientifique croate, inventeur de génie du début du siècle, à qui l'on doit le courant alternatif (combattu par Edison favorable au courant continu) et le courant triphasé... Tesla mit notamment au point un procédé permettant de transférer de hautes quantités d'énergie électrique sans l'apport de câble sur une distance de 42 km et il consacra une bonne partie de ses recherches à "l'énergie ionosphérique" et aux phénomènes électromagnétiques. Ses travaux furent financés, canalisés, puis censurés pour des raisons financières par le banquier JP Morgan et la société Westinghouse.

    Un peu moins d'un siècle plus tard, Bernard Eastlund n'a fait qu'adapter les premiers travaux de Tesla dans le domaine de l'énergie électromagnétique. Et c'est ainsi que ce chercheur déposa douze brevets, entre 1987 et 1994, qui constituent l'ossature du projet "Haarp" et de ses technologies dérivées en matière d'armements. Le vrai propriétaire et exploitant de ces brevets n'est plus Eastlund (qui a fini par être éjecté du projet pour des raisons obscures) mais bien la société Apti-Arco, un consortium pétrolier derrière lequel se profilent la Navy, l'Air Force et le Department of Defense US.
    Depuis le dépôt des brevets Eastlund, toute la recherche dans le domaine de l'énergie électromagnétique, par exemple à des fins médicales, est bloquée. C'est donc un vaste champ hautement prometteur de la science et de la médecine qui a été ainsi monopolisé par des intérêts liés à l'armée américaine.

     


    Comment cela fonctionne-il?

    Toute la technologie contenue dans le projet "Haarp" revient, grosso modo, à pointer vers l'ionosphère un faisceau d'ondes (comme le ferait un émetteur radio) à hautes fréquences (HF) afin de voir ce qui s'y passe. Le bombardement d'une zone donnée de l'ionosphère avec ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne.  Cette "antenne" virtuelle réémettra des fréquences extrêmement basses (ELF : extremely low frequency) vers la terre. pour employer une image, outre l'effet d'antenne virtuelle ainsi déployée dans le ciel, on crée une sorte de four micro -ondes géant dans un territoire donné de l'ionosphère. Malheur aux avions et aux missiles qui passeraient dans le ciel à ce moment-là. selon la puissance des émetteurs, on pourrait tout aussi bien affoler les systèmes de guidages électroniques, radars et autres appareils radio de ces missiles et aéronefs que de les griller.

    Par ailleurs, grâce à l'antenne virtuelle constituée d'ondes ELF, on peut véritablement scanner la croûte terrestre à des profondeurs extrêmes pour en faire une sorte de radiographie. De la sorte, les militaires américains sont fiers d'affirmer que grâce à "Haarp", plus aucun pays ne pourra leur cacher l'implantation de bases secrètes souterraines abritant des armes nucléaires...

    Selon des études de spécialistes américains en armement, on pourra également communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés dans des coins reculés des océans, détecter puis détruire tout missile ou avion, même furtif, s'engageant dans l'espace aérien américain. Le but ultime étant de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles ennemies, nucléaires ou conventionnelles, et de les "traiter" de la façon adéquate. Enfin "Haarp" a surtout pour but d'empêcher toutes les communications radio et satellites ennemies dans une zone précise. En plus, avec l'aboutissement de ce projet, les Américains pourront rendre leur propre système de communication quasiment inviolable. Voilà pour la version officielle.

     


    Les buts occultes

    Sur la base des travaux et brevets d'Eastlund, d'autres scientifiques, chercheurs, journalistes et militants écologistes se sont engagés dans un véritable jeu de détective avec l'armée américaine afin de déterminer d'autres aspects non avoués par l'Air Force et la Navy du projet "Haarp". Parmi ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui, naguère, avait été désignée comme expert par l'administration Reagan pour étudier les effets du projet d'armement "Star Wars". Elle est aujourd'hui consultante pour le Parlement européen sur "Haarp". Ou encore le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste indépendante qui s'est spécialisée dans les recherches sur les énergies dites "non conventionnelles" qui sont coauteurs d'un livre "anti-Haarp" au titre évocateur : "Angel dont' play this Haarp", qui a fait grand bruit outre-Atlantique et qui révèle, sur la base de données sérieuses, les applications occultes du projet. Le fruit de leur enquête a été corroboré par d'autres scientifiques comme le Pr Zielinski, un physicien allemand spécialisé dans l'électrodynamique quantique ou le chimiste américain Richard Williams. La liste des détracteurs scientifiques de Haarp est innombrable.

     

     

                                                     Pensées contrôlées

    Selon ces scientifiques, les militaires n'en sont qu'à la phase expérimentale de leurs travaux mais les résultats déjà enregistrés sont très prometteurs. Ainsi, grâce à l'injection de fortes quantités d'énergie dans l'ionosphère, on pourra influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques dans une région donnée... ou cauchemardesque dans une autre. Comment? Tout simplement en modifiant la circulation des vents en haute atmosphère là où ils entrent en interaction avec l'ionosphère. On pourra également provoquer la libération soudaine d'une énorme quantité d'énergie en imitant par exemple le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude. Un type d'action militaire qui ne relève en rien de la science-fiction puisqu'elle a déjà été utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l'opération "Desert Storm". Selon le périodique militaire officiel Defence News (n°19 du 13 avril 1992), les États-Unis avaient déployé sur le champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon).

    Le but de cette arme est double: il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d'empêcher toute forme de communication radio chez l'ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre.  Autre application de la technologie "Haarp" : transmettre sans l'apport d'un câble électrique de fortes quantités d'énergie d'un point à l'autre. Utile, par exemple, pour ravitailler à distance les batteries électriques d'un sous-marin.

    Mais il reste un domaine d'application, encore plus effrayant dont les militaires américains pourraient tirer parti grâce au projet "Haarp". Vu le passif de l'Air Force et surtout de la CIA en matière d'expérimentations chimiques et bactériologiques, il est concevable que les militaires n'aient pu résister à la tentation de faire de Haarp une arme polyvalente.  On se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur de pauvres soldats conscrits qui consistaient à leur injecter d'énormes quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences pour influencer les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952, le Dr Jose Delgado, professeur à Yale, avait découvert que l'on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d'un individu par l'utilisation de certaines fréquences et certaines ondes.

    Le Dr Nick Begich, coauteur de l'ouvrage Angels dont' play this Haarp, n'hésite pas à affirmer qu'un des buts du projet Haarp est de mettre sur pied une telle arme: "Il est douteux que les organisateurs du projet Haarp n'aient jamais discuté de ce type de recherches. Selon mes sources, tous ceux qui sont impliqués dans le projet sont en fait aux première étapes de développement de ce genre d'application". Des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert Becker ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par Haarp, couplées avec l'emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences "où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l'être humain peuvent être manipulées de l'éxtérieur avec des résultats très tangibles".  Certaines ondes peuvent en effet provoquer l'apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent, nous explique le Dr Begich, "un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, d'amour, etc."

    Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s'en faut. Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in military affairs - Stategic Studies Institute-US Army War College) qui n'est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: "Nos valeurs changent et la technologie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l'armement psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l'ère de l'électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie) pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis tant à l'intérieur du pays qu'à un niveau international... Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée...  Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d'armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques avancées..."

     

     


    Bouclier global

     

    L'utilisation des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme terriblement efficace. Le Dr Rosalye Bertell affirme que les Américains expérimentent à l'insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales ce genre d'armement depuis plus de quarante ans. Se sont succédé ainsi une serie de projets : "Argus" (1958),  "Starfish" (1962), "Solar Power Satellite" (1968 et 1978), "Space Shuttle Experiments" (1985), "Mighty Oaks" (1986) ou "Desert Storm" (1991), qui avaient tous pour but de jouer avec l'ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes raisons : rupture des communications de l'ennemi, armes à plasma, etc.

    "Haarp" est donc le dernier chapitre en date de ces projets. Les Américains auraient même l'intention de développer un véritable réseau de stations similaires à travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier modulable total. Ainsi, il existe d'autres complexes de recherches sur l'ionosphère comme à Puerto Rico, en Norvège à Tromsoe, au Pérou à Jicamarca, en Russie (près de Moscou) ou encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan...

    Source : Telemoustique novembre 1997, Alain Gossens


    Le système H.A.A.R.P. (Highfrequency Active Auroral Research Project), est à première vue un projet de recherche tout à fait inoffensif., composé de 36 antennes érigées en Alaska centrale, à 300 km à l'Est d'Anchorage (62 deg 23.5'N, 145 deg 8.8'W).

     

     

    Le choix de ce site obéit à plusieurs critères :

    • Surface d'implantation disponible non restreinte

    • Espace éloigné des zones habitées à forte densité

    • Zone d'implantation relativement plane.

    • Impact environnemental minime.

    • Coûts de construction et de maintenance diminués.

    Et surtout, le principal atout était d'avoir peu d'individus résidant sur les alentours qui , dans le cas d'expériences désastreuses, seraient isolés et dans l'impossibilité de se révolter. L'erreur fut de croire qu'ils demeureraient passifs et peu curieux. Mais dans ces contrées hostiles, les citoyens débordent d'activités sur le plan intellectuel pendant la nuit polaire. Les paraboles alliées à Internet en ont fait des citoyens surinformés, déjà vigilants de nature, prêts à s'investir et à donner l'alerte..; ce qu'ils firent avec succés.

    L'un des buts serait de constituer une sorte " d'arc antenne " électrique permettant de provoquer une pluie de radiation électromagnétique sur une zone prédéterminée.

    Au début des années 80, le principe mis en place était axé sur la recherche optimisée de réservoirs de gaz naturel dont le sous-sol est abondamment pourvu, pour les besoins énormes locaux dans un environnement difficile pour l'homme.

    L'un des premiers brevets concernant des systèmes de type radio émetteurs du projet HAARP avait pour projet un site de plus de 70 km de diamètre utilisant de grandes quantités d'énergie électrique fournies par les turbines de centrales fonctionnant au gaz naturel. Le système, tout en rendant obsolète le système de laser destructif à rayons X cher au président Reagan dans le cadre du programme anti-missile de la " guerre des étoiles ", du temps de la présidence de Ronald Reagan et abandonné depuis, permettrait de concevoir un bouclier de protection globale rendant inopérant tout système de navigation et de guidage de n'importe quel missile en vol et ce, sur n'importe quel point du globe.

    Avant d'entrer d'avantage dans le vif du sujet, une référence doit être faite à propos de Nikola Tesla, un génial inventeur…

    Nikola Tesla, ce savant aussi génial que méconnu du grand public, contemporain de T. Edison, avait déjà inventé en 1891 un système de bobine capable de générer plusieurs millions de volts à haute fréquence à partir d'une simple prise électrique murale. Ses travaux concernaient déjà les communications globales, le transport d'énergie électrique sans fil, un système d'éclairage hautes fréquences, une bobine d'amplification électrique, … On lui doit le système de courant alternatif actuel. Il est à l'origine de 30 brevets sur la seule période s'étendant entre 1890 et 1921.

    À l'âge de 12 ans il était capable de réciter par cœur les tables logarithmiques. Il avait des visions et des flashes de lumière qui l'affectaient et pour s'en dissocier, il concevait des mondes imaginaires.

    Il conçut à l'âge de 17 ans, en esprit, une turbine capable de transformer l'énergie délivrée par les chutes du Niagara. Il pensait à la vitesse de l'éclair. Avant de manger, il avait l'habitude de calculer les volumes de nourriture et ceux des ustensiles utilisés pour les contenir. Sa sensibilité était telle qu'il lui fallait isoler son lit sur des coussinets de caoutchouc pour ne plus ressentir les tremblements terrestres ou ce qui pouvait s'en rapprocher. Par un principe de téléforce, il prétendit qu'il pouvait faire fondre les moteurs d'un avion à une distance de 400 Km. Il voulait faire de la planète un système unique, capable de réagir en n'importe quel point Logé dans un hôtel new yorkais, il mourut pauvre à New York, ruiné, délaissé, avec les pigeons pour seuls compagnons. Pour tenter de donner une vague définition du système du projet HAARP, on pourrait associer l'image d'un four à micro-ondes et celle des aurores boréales visibles dans cette partie du globe. L'une des applications serait d'utiliser ces " Lumières du Nord " et d'en faire un transmetteur gigantesque, un miroir résonnant capable de renvoyer des signaux en direction de points terrestres spécifiques comme par exemple les sous-marins nucléaires. Une interaction des vents solaires et des champs magnétiques terrestres est utilisée pour constituer des antennes virtuelles pouvant atteindre plusieurs milliers de kilomètres d'envergure.

     

     

     

    Je propose à l'internaute français de faire l'expérience de chercher des ouvrages faisant référence au phénomène des aurores boréales dans les librairies en Province bien sûr, car à Paris, tout se trouve dans la journée. C'est pratiquement impossible en dehors d'une commande, le choix se limitant aux doigts d'une main. Internet, configuré sur une recherche en anglais est une alternative, moins pauvre mais relativement peu dotée. Des ouvrages fantastiques sont édités avec des photos panoramiques de galaxies situées aux confins de notre Univers connu. De rares prises de vue, parfois uniques dans des ouvrages consacrés aux différents phénomènes célestes, ne donnent qu'un bref aperçu de la beauté toujours renouvelée de ces aurores boréales ou australes (propres quant à ces dernières à l'hémisphère Sud — ce qui est moins connu) alors qu'elles sont relativement courantes. Je laisse à l'internaute l'interprétation finale de cette remarque. Ces aurores boréales sont encore plus fantastiques dans le processus de leur apparition et de leurs transformations successives et la revue en accéléré sur une vidéo est inoubliable. Elles sont comme l'annonce céleste d'évènements cachés par un rideau dans l'attente d'une représentation finale. Il suffit donc d'attendre que les projections hologrammiques dans nos cieux deviennent une réalité " tangible ". Reste à connaître la nature et le thème de ces projections et surtout le contexte de l'expérience.

    Pendant la guerre du Golfe, les Américains auraient pu projeter de nuit, l'image hologrammique animée du président Bush au-dessus de l'Irak et s'adresser par son intermédiaire au peuple dans son language en écrasant les médias locaux par une " émission dominante " monitorée depuis leurs bases et leur couverture satellitaire. Mais cette tentative aurait trés certainement retourné le Moyen-Orient contre le Grand Satan incarné par les USA dans le mental des sujets endoctrinés par leur leader dictateur, Saddam Hussein.

    L'idée de base de ce nouveau concept d'arme est de générer un faisceau d'ondes radio d'une intensité énorme (1.7 Gigawatts - 2.8 à10 MHz) en direction de la haute atmosphère selon le mode opératoire inversé d'un radio télescope puisqu'il s'agit d'émission et non de réception, afin d'y provoquer l'ionisation de certaines particules neutres par l'échauffement des électrons à certaines altitudes. N. Tesla avait baptisé ces ondes " ondes stationnaires terrestres ". L'ionosphère serait alors utilisée comme des lentilles, un miroir ou un système d'antennes. L'ionosphère constitue un bouclier électrique contre le bombardement cosmique constant de particules à haute énergie et les pièges pour les empêcher d'atteindre la surface de la planète.

    La partie de l'ionosphère concernée se situe à une altitude comprise entre 60 et 900 kilomètres au-dessus de la surface terrestre..

    Les recherches officiellement reconnues tendent à assurer l'amélioration des communications radio à longue portée, ou des moyens de transmission avec les sous-marins…

    Le Pentagone est le principal pourvoyeur de fonds. Le Département de la défense, de l'Air Force et de la Marine sont tout aussi naturellement concernés.

    Les ondes générées par les systèmes de transmission radio à hautes fréquences classiques sont pour la plupart absorbées par les couches de la basse atmosphère et se désintègrent.

    La basse atmosphère terrestre est principalement composée de gaz constitués de molécules et d'atomes neutres. L'ionisation concerne la haute atmosphère, l'ionosphère donc, où les rayons ultraviolets et les rayons X transforment ces particules en électrons libres et en ions.

    La notion de température est plutôt fonction de l'état " d'excitation " des électrons. Suivant les fréquences et les conditions atmosphériques, l'ionosphère réfléchit, absorbe ou altère les signaux radio. Les ondes radio de Moyenne Amplitude (AM) " passent " mieux de nuit lorsque la réflectivité de l'ionosphère est accrue, alors que leur portée est nettement diminuée de jour. Les champs magnétiques terrestres perturbent d'autre part notablement la nature de l'ionosphère.

    Le potentiel disponible engendré par le système du projet HAARP est absolument fantastique et peu de citoyens du monde ont conscience de la révolution profonde qui va s'appliquer aux moyens de servitude dont va pouvoir disposer un jour ou l'autre une élite qui rêve d'un contrôle total de l'humanité. Les pôles d'intérêt que constituent la " Guerre des étoiles ", l'implication de " grands frères " extra-terrestres bienveillants dans les affaires des hommes ou la " Zone 51 ", deviennent des sujets de science-fiction comme dans la série culte " X Files " et sont ainsi décrédibilisés et s'assimilent à des mythes ou de l'intox planétaire. Le réveil sera terrible pour ceux qui n'auront pas connaissance de l'ensemble des Écritures et la séduction ne fera qu'amplifier l'efficacité du piège qui s'installe tout aussi rapidement qu'un autre dans notre environnement quotidien, c'est-à-dire Internet. Un filet ou une toile sont conçus pour piéger un être vivant. Ne nous y trompons pas ! …//…" La génération Internet se prépare. Are you ready ? " comme l'annoncent à l'envie les spots publicitaires sur les lucarnes babyloniennes…

    Le mot connaissance signifie d'abord :

    1) connaissance

    1a) perception, adresse

    1b) discernement, compréhension, sagesse

    puis de façon générale sur l'ensemble des Écritures :

    …//… connaissance, savoir, dessein, involontairement, sans intention, vouloir, connaître, vérité, intelligence, aveuglement, folie, science, réflexion, sagesse, ... ;

    Afin par exemple d'ausculter la surface terrestre, des antennes virtuelles générant des trains d'ondes gigantesques à fréquences extrêmement basses (Extremely Low Frequency (ELF)), enregistrent leurs réflexions pour les renvoyer à des laboratoires où des calculateurs les analysent.

    L'imagerie ainsi constituée est le reflet des ruptures d'homogénéité du sous-sol terrestre ou des profondeurs marines.

    Des micro-ondes à pulsion rapide excitent les composants électroniques et provoquent leur destruction finale par fusion, tout ceci s'accomplissant à la vitesse de la lumière ; 

    Cette technologie, à caractère environnemental, permet dans le cadre d'applications purement militaires de :

    - perturber sérieusement les systèmes de communications des satellites au point par exemple de plonger dans le silence une partie de la planète…

    - de modifier, intercepter et contrôler la trajectoire de missiles ennemis bien avant qu'ils se profilent à l'horizon…

    - de modifier la météorologie au-dessus de zones prédéfinies en localisation et en étendue… inondations et sécheresses seraient ainsi donc programmables, de modifier les fréquences de l'air, d'affecter par radiation électromagnétique pulsée les fonctions cérébrales propres au processus de la pensée humaine, d'augmenter la température interne du corps pouvant ainsi provoquer des conflits psychologiques; des problèmes de santé, de provoquer par échauffement local, l'explosion de réservoirs d'automobiles…

    - de mettre à feu des munitions transportées par air par fusion des fusibles de protection des systèmes électroniques embarqués, de brouiller les systèmes de communication/navigation utilisés par les compagnies aériennes civiles ou militaires.

    - de modifier les chemins de migration de la faune sauvage. Les suicides de masse des baleines, cachalots et autres dauphins devraient nous faire réfléchir car ces phénomènes étaient inexistants par le passé; les tortues de mer qui meurent faute de pouvoir gagner une plage, des poissons tropicaux que l'on trouve dans les eaux froides du cercle arctique sont autant d'exemples alarmants.

    - d'effectuer une exploration topographique, pour collecter des informations, ausculter et analyser le sous-sol afin de localiser des laboratoires et autres fabriques d'armes souterrains…

    Parmi d'autres fonctionnalités on peut citer celles qui permettent :

    • de détecter des tremblements de terre ou de les provoquer…

    • de faire fondre la/les calotte(s) polaire(s)

    • de créer un bouclier thermique qui permettrait par exemple d'évaluer la composition des éléments constitutifs d'un missile balistique intercontinental,

    • de provoquer une surtension électronique dans les systèmes embarqués de guidage

    d'un avion en vol d'intrusion en basse altitude. Un satellite espion ou " non référencé " pourrait être soumis au même régime.

    • d'améliorer les moyens de commande, de contrôle et de communication militaires;

    • de zapper toute forme de communication radio sur une aire donnée tout en maintenant le fonctionnement du système de communication interne.

    • de constituer un instrument de recherche pour les énergies fossiles

    • de générer une imagerie tridimensionnelle…

    L'énorme potentiel assuré par les ordinateurs de type CRAY ou EMASS permet officiellement de contrôler et d’assurer la non-prolifération de sites nucléaires à visée militaire. Contrairement à ce que l'on pense généralement, la conception et la constante amélioration de la puissance de ces super calculateurs n'est pas liée à la conquête spatiale, la recherche médicale ou scientifique mais à la NSA, l'agence de surveillance nationale américaine à ne pas confondre avec la NASA. De façon analogue les " entités alphabet " de type CIA, FBI, FEMA, DOD… sont tout autant impliquées dans la même logique de contrôle du citoyen du Nouvel Ordre Mondial en gestation. L'accouchement est pour bientôt, les premières douleurs se faisant sentir avec l'OMC, l'ONU, l'OTAN et autres entreprises de mise sous coupe des États. Le monde francophone devrait d'autant plus s'en inquiéter lorsque le logo " UN " s'affiche au gré de l'actualité internationale sur les véhicules des Nations Unies (United Nations) travaillant pour l'entente et la paix entre les nations.

     

    Dangers immédiats  :

    • Humanité sous contrôle d'une élite possédant un savoir-faire technologique qui dépasse notre imaginaire. Les politiques permettant cette prise de contrôle sont déjà mise en place et opérationnelles;

    • Un nouveau système de toile géomagnétique permettrait donc de contrôler les deux hémisphères comme le ferait une araignée.

    • Utilisation des médias pour en faire valoir le bien fondé;

    • Confusion , perturbation, scènes de folie, tueries de masse à première vue " incompréhensibles " et inattendues, spontanément générées au sein de la société…

    • La couche atmosphérique supérieure terrestre pourrait subir des dommages majeurs à long terme ou même irréversibles et ce sur une amplitude mondiale.

    • Les systèmes générateurs d'ondes seraient susceptibles d'engendrer des erreurs de bits sur les ordinateurs qui ne sont pas blindés.

    Très curieusement, des sommités du monde scientifique comme James Van Hallen, découvreur de la ceinture de radiation qui entoure le globe justement baptisée Van Hallen, considèrent que les risques sont minimes et insignifiants à l'échelle cosmique puisque le seul fait de brancher un poste radio modifie l'état de l'ionosphère.

    Ces nouvelles armes à énergie dirigée, et ce sur de longues distances sans dissipation ou divergence, seraient donc indétectables par leurs victimes. Tout comme pour les retombées radioactives d'expérimentation nucléaire, les frontières et les drapeaux n'existent pas dans l'ionosphère.

    L'arrogance des États-Unis d'autre part, en ce qui concerne ces recherches en vue de contrôler le monde et d'accélérer le processus de Globalisation mondiale est tout simplement stupéfiante. La symbolique des signes occultes imprimés sur le billet de 1 dollar est suffisamment éloquente quant aux visées finales depuis longtemps mises en place par les sociétés secrètes d'inspiration luciférienne.  

    Des simulations des effets du projet HAARP sont opérées en chambre close en laboratoire actuellement.

    Une argumentation en faveur du système HAARP allègue qu'il serait possible de protéger les hautes couches atmosphériques en empêchant la dégradation des trop fameuses couches d'ozone.

    200 millions de dollars, aux frais du contribuable américain et pour sa propre ruine à plus ou moins longue échéance, auront été investis dans le programme de recherche d'ici la fin de la décennie.

    Le système prochainement mis en place, dont le nom est " IRI " pour Instrument de Recherche Ionosphérique, sera constitué d'un ensemble de 360 antennes, soit dix fois plus qu'actuellement.

    Crashes d'avion totalement incompréhensibles même lorsque les boites noires sont récupérées, (TWA 800, Egypt' AIR) tornades " du siècle ", catastrophes " naturelles ", inondations ou sécheresses " du siècle ", activité OVNI, (vagues Belges), massacres du Rwanda, du Kosovo, expérimentation de contrôle de la pensée, tueries dans les écoles, constituent autant de scénarios sur lesquels on pourrait et devrait s'interroger.

    Le " rayon de la Mort (ou de la Vie Eternelle) " du Jour du Jugement est d'une autre nature que celui du " Last Day Judgement ", l'avion présidentiel américain est d'une actualité de plus en plus manifeste.


     

    Différents projets de systèmes US
de contrôle de l'esprit humain


    Project Moonstruck,1952, CIA:

    Implants électroniques dans les dents et le cerveau
    Ciblage :
    longue distance
    Implantation pendant une opération chirurgicale ou une " abduction ".

    Fréquences d'utilisation :
    HF - ELF (fréquences extrêmement basses)— implants transmetteurs
    Buts recherchés :
    tracking, contrôle de l'esprit et de l'attitude, conditionnement, programmation,
    Base fonctionnelle : Stimulation électronique du cerveau, E.S.B.

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    Project MK-ULTRA, 1953, CIA:

    Drogues et électronique
    Ciblage :
    courte distance

    Fréquences d'utilisation :
    VHF (fréquences très hautes) HF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes) modulées en ELF (fréquences extrêmement basses).
    Transmission et Réception :
    production locale
    Buts recherchés :
    programmation des comportements, création de mentalités " cyborg "
    Effets:
    transe narcoleptique, programmation par suggestion
    Sous-projets :
    multiples.
    Pseudonyme:
    " Project Artichoke " - (" Projet artichaut ").

    Base fonctionnelle :
    dissolution électronique de la mémoire, E.D.O.M.

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    Project Orion, 1958, U.S.A.F:

    Drogues et hypnose
    Ciblage :
    à courte distance, sur l'individu

    Fréquences d'utilisation :
    ELF (fréquences extrêmement basses) modulées.
    Transmission et réception :
    radar, micro-ondes, modulées en fréquences ELF (fréquences extrêmement basses)
    Buts recherchés :
    " débriefing " de personnel " Top sécurité ", programmation, assurer la sécurité et la loyauté.
    Pseudonyme:
    " Dreamland " (" Pays du rêve ").

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    MK-DELTA, 1960, CIA:

    Programmation subliminale électromagnétique à syntonisation fine
    Ciblage :
    longue distance

    Fréquences d'utilisation :
    VHF (fréquences très hautes) HF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes) modulées en ELF (fréquences extrêmement basses)
    Transmission et réception :
    antennes de télévision , antennes de radio, lignes de puissance, ressorts de matelas en spirale, modulation en 60 Hz filaire.
    Buts recherchés :
    programmation des comportements et d'attitudes de la population de façon générale
    Effets :
    fatigue, mouvements d'humeurs, dysfonctionnements de comportements, criminalité sociale, phases alternatives d'euphorie/dépression.
    Pseudonyme: "Deep Sleep", (" profond sommeil "), R.H.I.C.

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    PHOENIX II, 1983, U.S.A.F, NSA:


    Ciblage multidirectionnel électronique de groupes de populations sélectionnées
    Localisation:
    Montauk, Long Island
    Ciblage : moyenne distance

    Fréquences d'utilisation :
    radar, micro-ondes. EHF UHF modulées
    Puissance :
    estimée en Gigawatts ou même Terawatts
    Buts recherchés :
    chargements de grilles magnétiques telluriques, création de tremblements de terres sur des points particuliers du globe, programmation de masse pour des individus sensitifs.
    Pseudonyme :
    " Rainbow ", (" Arc-en-ciel ") - ZAP

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    TRIDENT, 1989, ONR, NSA:

    Ciblage directionnel électronique de groupes d'individus ou de personnes isolées.
    Ciblage :
    groupes importants de personnes rassemblées

    Déploiement :
    hélicoptères noirs évoluant en triades par trois.
    Puissance :
    estimée à 100,000 watts
    Fréquences d'utilisation :
    UHF (fréquences extrêmement hautes)
    Buts recherchés :
    contrôle et monitoring de comportement de foules, contrôle d'émeutes.
    Agences coopérantes :
    FEMA (Agence des mesures Fédérales pour les cas d'urgence)
    Pseudonyme :
    " Black Triad " (" Triades noires "). A.E.M.C

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    RF MEDIA, 1990, CIA:

    Suggestion et programmation subliminales multidirectionnelles électroniques
    Localisation:
    Boulder, Colorado

    Ciblage : c
    itoyens des États Unis.

    Fréquences d'utilisation :
    ondes VHF (fréquences très hautes) HF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes)
    Puissance :
    estimée en Gigawatts
    Implémentation :
    télévision et communications radio, signaux de type " vidéodrome "
    Buts recherchés :
    programmation et déclenchements de désirs comportementalistes, altération et subversion des habilitées psychiques des membres d'une foule, processus d'initialisation de contrôle électromagnétique des masses.

    Pseudonyme:
    " Buzz Saw " E.E.M.C.

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    HAARP, 1995, CIA, NSA, ONR:

    Induction de résonance électromagnétique et contrôle de population
    Localisation:
    Gakona, Alaska

    Fréquences d'utilisation :
    ondes verrouillées VHF (fréquences très hautes) UHF (fréquences extrêmement hautes)
    Potentiel :
    altération du code génétique sur une population et modification des comportements de masse.
    Puissance :
    estimée en Gigawatts ou Tera-watts Fréquences d'utilisation : approx 1.1 GHz, fréquence de résonance couplée à celle de l'ADN humain, verrouillable en phase avec le système cellulaire humain.

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    TOWER, 1990, CIA, NSA:

    Suggestion et programmation subliminales électroniques sur l'ensemble d'un territoire.
    Ciblage : groupes importants de personnes rassemblées, à intervalles réguliers courts, effet cumulatif sur le long terme.

    Fréquences d'utilisation :
    micro-ondes, EHF SHF
    Méthodologie: système des téléphones cellulaires, modulation en ELF (fréquences extrêmement basses)

    Buts recherchés :
    Programmation à partir de la résonance neurologique et informations encodées.
    Effets produits : dégénérescence neurologique, modification génétique de l'ADN, harcèlement psychique

    Pseudonyme:
    " Wedding Bells " (" cloches de mariage ").

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    PROJECT CLEAN SWEEP, 1997, 1998, CIA, NSA, ONR:

    Induction électromagnétique résonnante et modification de comportement de masse
    Localisation :
    sur l'ensemble du territoire

    Fréquences d'utilisation :
    correspondant à celles des émotions chez l'être humain Données rassemblées et archivées pendant des évènements médiatisés par hélicoptère. Reprogrammation en vue d'opérer une seconde stimulation des niveaux émotionnels dans le cadre de création ou de recréation de scénarios évènementiels.
    Potentiel :
    modification des attitudes et des mouvements d'une foule
    Puissance :
    inconnue. Rediffusion possible à l'aide du réseau GWEN, coordonnées à partir du NBS dans le Colorado.

    Source : http://www.freeflights.net/carl1/haarp.html

    la base des travaux et brevets d'Eastlund, d'autres scientifiques, chercheurs, journalistcologistes se sont engagés dans un véritable jeu de détective avec l'armée américaine afin de déterminer d'autres aspects non avoués par l'Air Force et la Navy du projet "Haarp". Parmi ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui, naguère, avait été désignée comme expert par l'administration Reagan pour étudier les effets du projet d'armement "Star Wars". Elle est aujourd'hui consultante pour le Parlement européen sur "Haarp". Ou encore le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste indépendante qui s'est spécialisée dans les recherches sur les énergies dites "non conventionnelles" qui sont coauteurs d'un livre "anti-Haarp" au titre évocateur : "Angel dont' play this Haarp", qui a fait grand bruit outre-Atlantique et qui révèle, sur la base de données sérieuses, les applications occultes du projet. Le fruit de leur enquête a été corroboré par d'autres scientifiques comme le Pr Zielinski, un physicien allemand spécialisé dans l'électrodynamique quantique ou le chimiste américain Richard Williams. La liste des détracteurs scientifiques de Haarp est innombrable.